Arminius (Hermann)

Si le règne d’Auguste représente souvent une époque de gloire pour l’Empire romain, il est cependant aussi rempli de revers comme durant l’année 9 de notre ère. Dans la forêt dense de Teutobourg, en Germanie, 3 légions romaines, commandées par le général Varus, sont tombées dans une embuscade et anéanties. Nommée plus tard les Clades Variana (« désastre de Varus »), la bataille de Teutobourg a marqué son temps car elle a mis un terme aux projets d’expansion romaine en Germanie. Les Romains, jusque-là invincibles, sont finalement arrêtés par un chef germain du nom d’Arminius dont l’histoire semble rappeler celle d’un homologue gaulois, un ancien prince transfuge élevé à la romaine qui se rebelle contre l’autorité de Rome pour sa partie natale, au nom de ses traditions et de la liberté.  

Arminius illustration

Représentation artistique d'Arminius (auteur inconnu)

La conquête romaine de la Germanie

Si les premiers contacts entre Germains et Romains remontent à la fin du IIe siècle av J.-C., les légionnaires ne posent le pied en Germanie qu’à partir de l’époque de la guerre des Gaules. Jules César affronte à ce moment-là plusieurs tribus germaniques qui franchissent le Rhin pour venir au secours de certains Gaulois ou pour piller. C’est d’ailleurs César qui crée ce nom de Germain. Mais tout comme les Gaulois, ce mot ne permet pas de distinguer la grande variété de peuples, tribus ou confédérations, qui vivent en Germanie, un territoire s’étendant du Rhin à la Vistule. Ces tribus s’étendent sur de vastes espaces et se composent de plusieurs chefferies réparties dans des villages de quelques dizaines voire centaines d’âmes. Les chefs se réunissent plusieurs fois par an pour régler des affaires de gouvernement lors d’assemblées appelées thing.

Lorsqu’Auguste devient empereur en 27 av J.-C., il commence à se tourner vers la Germanie comme nouvelle zone d’expansion de l’empire. Pour cela, dès 38, il fait construire par son légat des Gaules, sorte de gouverneur, et ami Agrippa, la colonie qui porte son nom sur le Rhin, Colonia Agripina (actuelle Cologne). L’attaque de la colonie et le meurtre de Romains en 27 avant notre ère mobilise davantage l’intérêt d’Auguste sur ces contrées. À partir de 15, il envoie le général Nero Claudios Drusus (dit Drusus) conquérir une partie des tribus germaniques jusqu’à la Visurge (la Weser actuelle). Ces nombreuses victoires lui valent le surnom de Germanicus, le « vainqueur des Germains ». Après sa mort en 9 av J.-C., c’est autour de Tibère, son frère, de prendre en main la conquête et la pacification de la Germanie jusqu’en 5 av J.-C. Il fait des tribus des clients de Rome, payant des impôts en argent, en nature et surtout en hommes pour les troupes auxiliaires. Pour s’assurer la fidélité des chefs, Tibère ordonne que les princes soient envoyés enfants à Rome en tant qu'otages pour y être éduqués à la romaine. À leur retour à l’âge adulte, ces princes devaient propager la culture romaine et maintenir des relations pacifiques et bénéfiques avec Rome.

 

Carte empire romain et germanie

Carte de l'empire romain en 116 de notre ère avec la Germanie (Germania Magna) en vert

Les premiers pas d'un prince chérusque

En 18 avant notre ère, naît un petit garçon appelé Arminius qui est le fils de Sigimer (ou Segimer), un chef de la tribu des Chérusques qui vit dans l’actuel ouest de l’Allemagne, à proximité de la Weser. Les Chérusques font partie des nombreux peuples vassaux de Rome et entretiennent des relations étroites avec les autorités romaines. En tant que fils de chef, Arminius, ainsi que son petit frère Flavus, sont envoyés à Rome lorsqu’ils sont en âge de porter les armes.

À 10 ans, les deux frères quittent leur famille pour la capitale de l’Empire. Ils y reçoivent une éducation romaine, c’est-à-dire apprentissage du latin, des mathématiques, de la rhétorique ainsi que les arts militaires. Arminius s’illustre dans toutes ces disciplines et parvient, à 20 ans, à entrer dans les légions en tant que commandant d’une troupe auxiliaire de cavaliers germains. Avec eux, il s’illustre en Pannonie lors de la grande révolte d’Illyrie (6 – 9 de notre ère), sans doute sous les ordres du général Tibère. Ses succès lui valent également l’acquisition du statut de chevalier romain, ce qui lui permet d’accéder à la noblesse romaine.

Le retour au pays et la rébellion d'Arminius

En 8, Arminius est envoyé en Germanie afin de seconder le gouverneur Publius Quinctilius Varus dans l’administration de la province. Il retrouve ainsi sa terre natale après une absence de 16 ans. Sur place, Arminius constate les mauvais traitements infligés aux Germains par les hommes de Varus. Bien qu’il s’agisse d’un peuple allié, le gouverneur les accable d’impôts, les humilie publiquement et n’hésite pas à recourir aux châtiments corporels. Prenant parti pour son peuple, Arminius commence à fomenter une rébellion contre son commandant. Il profite de son statut de prince chérusque pour s’allier avec certains alliés de son père parmi sa tribu et de son poste de conseiller de Varus pour être au fait des mouvements de troupes. Sous le nez et à la barbe des Romains, il constitue une coalition germanique prête à combattre. Il peut également compter sur les hommes de sa troupe de cavaliers qui sont en grande partie des Chérusques.

 

Portrait de varus sur une piece de monnaiePortrait de Publius Quinctilius Varus sur une pièce de monnaie retrouvée en Phénicie

 

L’armée romaine de Varus comptait alors 3 légions romaines, les XVIIe, XVIIIe XIXe, soit entre 14 et 20 000 hommes, équipés et entraînés. En face, Arminius parvient à rassembler une armée de 15 000 hommes mais qui se composaient surtout de paysans très mal équipés, la classe guerrière étant une infime portion de la société germanique de l’époque. Connaissant les tactiques romaines, Arminius fait le choix d’éviter la bataille rangée, où les Romains excellent, et privilégie la guérilla et les embuscades.

Le prince chérusque opte pour une attaque dans un défilé à travers la forêt voisine de Teutobourg, aujourd’hui proche de la colline de Kalkriese et du fleuve Weser. La forêt se trouve être sur une ligne potentielle de repli des légions vers le sud pour passer l’hiver. Très étroit, ce passage obligerait les Romains à marcher en convoi serré et donc étendu sur des kilomètres, sans compter la présence de chariots, d’artisans, de femmes et d’enfants qui suivent habituellement les légions pour fournir tout le nécessaire aux soldats. À Teutobourg, Arminius venait de trouver un lieu parfait pour attaquer Varus, il ne manquait plus qu’une excuse pour passer par là.

 

Carte site de teutobourg

Localisation de la forêt de Teutobourg (Teuteburgo sur la carte - zone entourée; les ronds à épines représentent les forts romains)

 

Malgré le discours de liberté promu par Arminius, les peuples germaniques ne se sont pas tous unis sous la bannière chérusque. En effet, les dissensions étaient grandes et certains, comme l’oncle d’Arminius, Inguiomerus ou le chef des Marcomans Marbod, ont fait le choix de la neutralité. Parmi les Chérusques, Ségeste, un chef de village en conflit avec Arminius car celui-ci aurait enlevé sa fille Thusnelda pour l’épouser, serait allé jusqu’à voir Varus pour éventer la rébellion. Heureusement pour Arminius, Varus maintint sa confiance en son protégé et renvoya Ségeste. Arminius et son plan sont saufs.

 

La bataille de Teutobourg

À l’automne 9, l’armée de Varus entreprend son retour vers la garnison de Vetera pour passer l’hiver. Alors qu’il continue d’administrer la province, il entend parler de plusieurs embuscades de troupes germaniques contre des convois de légionnaires plus au sud. Ces embuscades, sans doute réelles, font partie du plan d’Arminius pour contraindre Varus à quitter sa position et à l’attirer à Teutobourg. Il lui sert d’ailleurs de guide pour traverser la Germanie. Alors que Varus s'engouffre dans la forêt, Arminius part en reconnaissance avec ses cavaliers et annonce à son commandant qu’il ne sera de retour que dans trois jours. Confiant, Varus continue d’avancer alors qu’Arminius de son côté part rejoindre ses hommes en embuscade.

 

Plan bataille de teutobourgPlan de la bataille de Teutobourg (en rouge l'avancée romaine et en bleu les troupes germaniques d'Arminius)

 

Ces derniers sont rassemblés de part et d’autre du chemin forestier qu’ils ont aménagé en le rendant plus étroit et en bouchant les éventuelles déviations. Un remblai de terre et de branches a également été construit pour cacher les hommes d’Arminius. Alors que les Romains se fraient un chemin, Arminius décide d’attaquer en plusieurs points de la colonne. Étirés sur une dizaine de kilomètres, les Romains ne peuvent pas coordonner leurs efforts pour répondre à une éventuelle menace. Celle-ci arrive très vite. Arminius ordonne un assaut général sur les légions en attaquant par les flancs. Éparpillés, les Romains parviennent malgré tout à offrir une certaine résistance aux Germains mais les 14 000 légionnaires tombent par centaines.

 

La bataille de teutobourg

Massacre des légions romaines par les troupes d'Arminius (auteur inconnu)

 

Repoussant un premier assaut, les Romains parviennent à se regrouper et cherchent à continuer leur chemin, au détriment des blessés qui sont laissés derrière, pour sortir de la forêt. Le moral est au plus bas et la météo renforce la détresse romaine. Une intense pluie est tombée et le sol est devenu une gigantesque flaque de boue. Profitant de cette détresse, Arminius lance une succession d’assauts qui font fondre les légions. Acculé, Varus décide de se suicider en se transperçant de son glaive alors que ses hommes subissent une nouvelle attaque. Après quatre jours de combats, les Romains sont anéantis. Une infime partie parvient à s’enfuir mais légionnaires et accompagnants du convoi ont été tués par milliers dans la forêt ou dans les marécages environnants lorsqu’ils ont essayé de fuir.

 

Teutobourg centurion contre germains

Illustration des combats à Teutobourg ©Peter Dennis

 

C’est une victoire éclair et retentissante pour les Germains qui neutralisent durablement la présence romaine dans la région. Après les combats, Arminius fait couper la tête de Varus et l’envoie au roi Marbod comme preuve de sa réussite et pour le rallier à sa cause. Ce dernier maintient sa neutralité mais envoie la tête à Rome. Dans la capitale, le pouvoir enrage devant la perte de 3 précieuses légions. Selon Suétone, l’empereur Auguste serait entré dans une rage folle, se serait laissé pousser la barbe, se taperait la tête contre les murs et aurait crié vers le ciel : « Varus, rend moi mes légions ! » (Quintili Vare, legiones redde !).

 

Les campagnes de Germanicus et la fin des prétentions romaines sur la Germanie

Après sa victoire à Teutobourg, Arminius repousse les armées romaines jusqu’au Rhin. Auguste envoie en 10 le général Tibère pour reprendre la Germanie mais il ne parvient qu’à reprendre une bande de terres de l’autre côté du fleuve et retourne à Rome en 11, où il célèbre un triomphe qui n’est qu’une victoire de façade pour calmer la douleur de la défaite de Teutobourg.

En 14, l’empereur Auguste meurt et Tibère lui succède. Ce dernier confie la reconquête de la Germanie à son fils adoptif et héritier Germanicus (portrait ci-contre), le fils de Drusus. Tete de germanicus musee saint raymondAvec 8 légions, il reprend une partie des terres au-delà du Rhin en mettant à feu et à sang toutes les terres et tribus germaniques qu’il croise. Il se porte également au secours du parti pro-romain au sein des Chérusques mené par Ségeste. Ce dernier a réaffirmé ses dissensions avec Arminius et s’est barricadé dans sa forteresse qui fut assiégée par son gendre. Germanicus parvient à défaire le siège avec ses légions et libère Ségeste et sa famille qu’il fait conduire jusqu’en Italie pour leur protection. Parmi eux se trouve la femme d’Arminius, Thusnelda, qui a été enlevée par son père. Pour Germanicus, Thusnelda apparaît comme un immense trophée, d’autant plus qu’elle est enceinte. La nouvelle de la disparition de sa femme met en rage Arminius qui redouble d’effort contre les Romains.

En 15, Germanicus part soumettre la tribu voisine des Bructères, également une fidèle alliée des Chérusques d’Arminius. C’est alors qu’il tombe, au détour d’une bataille, sur les enseignes des armées de Varus. Curieux, les Romains se dirigent alors vers la forêt voisine de Teutobourg et découvre le champ de la bataille, jonché de squelettes. Pour honorer leurs morts, les Romains enterrent les squelettes et procèdent aux rites funéraires adéquats et promettent vengeance à leurs défunts.

La campagne de cette année-là se termine et Germanicus décide de diviser son armée en trois groupes pour traverser la Germanie et rentrer en terres romaines. Il prend le commandement d’un groupe qui part vers le nord pour remonter l’Ems, un autre prend par le sud et enfin un dernier par le centre, à travers les terres bructères, en direction de Cologne. Ce dernier groupe, mené par le Romain Aulus Caecina Severus, doit passer par une zone marécageuse connue comme les « Longs Ponts » (Pontes Longi) car elle se constitue d’une série de ponts en bois. Le passage y est difficile et long, parfait pour une embuscade. C’est en effet ce que fait Arminius. La bataille des Longs Ponts fut terrible pour les Romains qui perdirent leur ravitaillement et une bonne partie des troupes mais Caecina parvient miraculeusement à s'échapper et les survivants rentrent en Gaule. Ce demi-succès assure à Arminius le soutien des autres tribus mais a également montré que les Romains peuvent encore se battre.

 

Romains contre germains par peter dennis

Combats entre Romains et Germains ©Peter Dennis

 

L’année suivante, Germanicus revient avec de nouvelles troupes et consolident ses positions en fortifiant les voies de replis, notamment dans la région des Longs Ponts. Pour sa nouvelle campagne, il décide de diviser son armée entre une force terrestre et une force maritime qui vient remonter la Visurge pour se retrouver et constituer le camp d’Idistaviso. Arminius a également levé une armée et se poste sur la rive orientale de la Visurge. Selon Tacite, une rencontre improbable a lieu, celle d’Arminius et de son frère Flavus qui fait partie des troupes de Germanicus. Les deux frères se lancent dans un débat sur le bien fondé de leur campagne respective, entre les bienfaits de la civilisation romaine et la puissance de Rome pour Falvus ou le retour aux traditions de leurs ancêtres et la liberté pour Arminius. Le débat ne se termine plus et les deux frères abandonnent. La bataille prend alors place. Une première charge des Romains vient enfoncer les rangs des Germains. Chariovald, commandant de la cavalerie batave, compagnie auxiliaire romaine, montre aux yeux de tous la légende des charges des Bataves. Mais il finit encerclé et donne sa vie dans une charge héroïque pour qu’une partie de ses troupes sortent de l’encerclement. Germanicus, de son côté, maintient la pression et sur son ennemi et fait construire un fort pour organiser la logistique. La bataille dure jusqu’au soir et reprend le lendemain mais cette fois, les Romains l’emportent par le nombre et la technique. À Idistaviso, les Germains sont vaincus par une armée supérieure. Germanicus venait de venger Teutobourg.

Arminius, qui était parvenu à s’enfuir de la mêlée mais était blessé, réorganise la défense dans le territoire voisin des Angrivariens. Ils se rassemblent autour d'un immense mur de défense fortifié, le Mur des Angrivariens, qui servaient au départ de frontière avec leBataille du mur des angrivariens territoire des Chérusques. Germanicus met le siège devant le mur et au terme d’une longue et épuisante bataille, parvient à bout des fortifications grâce à l’appui d’engins de siège et au surnombre de ses troupes. Arminius subit ainsi une nouvelle défaite mais les pertes du côté romain lui permettent de souffler car les légionnaires doivent se replier pour rétablir leurs forces, même si au passage, Germanicus pille et saccage les terres des tribus traversées. De plus, Germanicus fait le choix de prendre la mer pour rejoindre l’empire mais ses navires sont pris dans une tempête alors qu’ils traversent la mer du Nord. Des milliers d’hommes trouvent la mort.

Finalement, en 17, le général est rappelé à Rome par Tibère, sans doute pour mettre un terme à ses campagnes coûteuses en hommes et en argent. Le général virulent étant parti, Arminius peut renforcer sa position et les tribus peuvent se relever de tous les pillages. Après le départ romain, la frontière romain se fixe légèrement au-delà du Rhin et ne bouge plus jusqu’à la fin de l’Empire. À Rome, Germanicus obtient un triomphe et exhibe Thusnelda au reste de la population. Malgré ses origines, cette dernière est admirée comme la femme d’un grand chef qui a su également prendre les armes pour protéger les siens.

En Germanie, Arminius devient le héros libérateur et obtient le statut de roi. En 17, il entre en guerre contre le roi Marbod qui était devenu son rival et qu’il parvient à faire fuir chez les Romains. Mais au sein de son peuple, les tensions sont de plus en plus vives. Déjà au début de la décennie, son oncle Inguiomerus s’était placé du côté de Ségeste. Finalement, par crainte d’une trop grande acquisition de pouvoir, Arminius est assassiné par des proches, possiblement empoisonné lors d’un repas, en 21.

 

La construction d'un héros de la nation allemande

Statue arminiusTacite relate les événements des campagnes romaines en Germanie dans le livre éponyme qu’il écrit aux alentours de 98. La Germanie est une œuvre qui a réussi à traverser les siècles et l’image d’Arminius, le « libérateur des Germains » est réinvestie à partir du XVIe siècle lorsque l’histoire est retrouvée dans un monastère à Hersfeld. C’est alors qu’une importante littérature et œuvre culturelle se forme autour de celui qu’on nomme désormais Hermann pour le germaniser.

Au XIXe siècle, la figure d’Arminius devient un symbole du nationalisme allemand en construction. Sous le IIe Reich de Guillaume Ier, l’Etat allemand fait ériger la statue d’Hermann, la Hermansdenkmal (débutée en 1838 par Ernest von Bandel) sur le site de la forêt de Teutobourg en 1875. Elle fait écho à celle de Vercingétorix à Alise-Sainte-Reine construite sous Napoléon III et érigée en 1865. La statue d’Hermann fait face à l’ouest, sans doute comme un défi à la France de se frotter à nouveau à l’Allemagne après sa défaite lors la guerre franco-prussienne de 1870-1871, mais aussi comme un symbole de l’identité germanique face à Rome, venue elle aussi de l’ouest.

Publié par Adrien RASATA le 07/04/2023

Sources

Articles internet :

Vidéos YouTube :

  • Arminius : Hero of Germania, Traitor to Rome – BARBARIANS DOCUMENTARY, par la chaîne Kings and Generals, mise en ligne le 27 octobre 2020 [en ligne] [visionnée le 06/04/2023] Disponible sur : https://youtu.be/logbxY7_FCw 
  • Avenging Varus – The Germanic Wars [FULL DOCUMENTARY], par la chaîne Invicta, mise en ligne le 5 décembre 2021 [en ligne] [visionnée le 07/04/2023] Disponible sur : https://youtu.be/ZyzY4ayG8R4
  • Forêt de Teutberg 9 après JC – Guerres romano-germaniques DOCUMENTAIRE, par la chaîne Kings and Generals, mise en ligne le 14 février 2019 [en ligne] [visionnée le 06/04/2023] Disponible sur : https://youtu.be/imEyKWMDM2o
  • Pourquoi la conque^te romaine de la Germanie a-t-elle échoué ? [QdH#50], par la chaîne Questions d’Histoire, mise en ligne le 27 mars 2023 [en ligne] [visionnée le 06/04/2023]. Disponible sur : https://youtu.be/D004EOl88zQ

Crédits images :

  1. Illustration d’Arminius ou d’un guerrier romain. Source inconnue. Disponible sur : https://www.pinterest.fr/pin/322077810836173446/
  2. Carte de l’empire romain en 116. ©Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Imperium_Romanum_Germania.png
  3. Portrait de Publius Quinctilius Varus sur une pièce retrouvée en Phénicie datant du règne d’Auguste. ©Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Augustus-Varus_Æ_22mm_6_BC_2060369_(cropped).jpg
  4. Carte de la frontière romano-germanique et localisation de la forêt de Teutobourg. Source inconnue. Disponible sur : https://www.romanoimpero.com/2014/06/battaglia-di-teutoburgo.html
  5. Plan de la bataille de Teutobourg. Source inconnue. Disponible sur : https://deltalazb.blogspot.com/2021/09/battle-of-teutoburg-forest-map.html
  6. Illustration des combats de Teutobourg. ©Peter Dennis. Disponible sur : https://www.elgrancapitan.org/foro/viewtopic.php?f=87&t=16979&p=743520#p743520
  7. Illustration des combats de Teutobourg. ©Peter Dennis. Disponible sur : https://www.pinterest.fr/pin/437341813808663013/
  8. Tête de Germanicus en marbre. Auteur inconnu. Présenté au musée Saint-Raymond. ©Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:(Toulouse)_Portrait_de_Germanicus_-_Musée_Saint-Raymond_Ra_342_c.jpg
  9. Illustration de combats entre Romains et Germains. ©Peter Dennis. Disponible sur : https://www.pinterest.es/pin/433893745338804072/
  10. Illustration de la bataille du Mur des Angrivariens. ©Peter Dennis. Disponible sur : https://www.pinterest.co.kr/pin/613756255438078332/
  11. Photographie de la statue d’Hermann. ©Daniel Schwen. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Hermannsdenkmal_statue.jpg

A voir

Série : Barbares, par Andreas Heckmann, Arne Nolting et Jan Martin Scharf (2020 - 2022)

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