Jules Brunet, le samouraï français

Le film Le dernier samouraï d’Edward Swick sorti en 2003, met à l’honneur un capitaine américain, Nathan Algren, interprété par Tom Cruise, qui a combattu en tant que samouraï durant les affrontements après l’ouverture et la modernisation japonaise de l’ère Meiji (1868 – 1912). Si pour le monde le dernier samouraï est américain, selon l’histoire, ce dernier est en réalité français, et il s’appelle Jules Brunet. Également capitaine, ce Français combat pour le shogun durant la guerre de Boshin (1868 – 1869) en devenant instructeur, soldat puis grand organisateur d’une République rebelle. Voici l’histoire méconnue du samouraï français.

 

Jules brunet et officiers japonais a hakodate

Jules Brunet (deuxième en partant de la gauche au premier rang) en compagnie d'officiers japonais

Un jeune officier avide d'aventures

Jules Brunet (ci-contre en habits d'officiers) naît en 1838 dans une famille de militaires. En 1855, une fois son baccalauréat réussi, il entre à l’écoleJules brunet en uniforme militaire de Saint-Cyr, qu’il quitte peu après pour rejoindre une autre école prestigieuse, Polytechnique, en 1857. Il se passionne alors pour l’artillerie qui est en pleine révolution technique. Une fois sortie de Saint-Cyr, il entre à l’École d’application de l’Artillerie et du Génie, à Metz et en sort en 1861 avec les honneurs.

Il fait ses premiers faits d’armes durant l’expédition française au Mexique (1861 – 1867) où il débarque en 1863. L’empereur Napoléon III voulait alors renforcer la présence française en Amérique, en mettant notamment un souverain catholique, dirigé par la France, en place face aux Etats-Unis protestants. Il y fonde l’éphémère empire du Mexique. C’est lors de cette expédition, aux multiples affrontements, que Brunet réalise son baptême du feu. Il se fait à ce titre remarqué, notamment par Napoléon III qui lui décerne, en main propre, la Légion d’Honneur. Reconnu pour ses talents militaires, Jules Brunet est sélectionné ainsi qu’une quinzaine d’autres officiers pour une mission spéciale au Japon en 1867.

Le Japon des années 1850-1860

Après des siècles d’isolement (le sakoku 1625 – 1853), le Japon s’ouvre à la modernité au milieu du XIXe siècle lorsque les navires à vapeurs du commodore américain Matthew Perry entrent dans la baie d’Edo. Ce dernier, persuade, notamment par la menace de ses canons, le Japon de s’ouvrir à l’Occident. La voie de la modernisation s’ouvre et bouleverse l’ordre de l’archipel.

Le Japon d’alors est bicéphale. Il a à sa tête un empereur (tenno ou Mikado) une figure divine qui a cependant perdu son pouvoir depuis le XIIe siècle en devenant une figure religieuse et symbolique. Les rênes du pouvoir sont détenues par la shogun (prononcé shogoune) ou Taïcoun, un seigneur militaire. Ce dernier gouverne sur l’ensemble de la société japonaise en contrôlant notamment les seigneurs provinciaux, les daimyos, au sein d’un conseil, le bakufu. Depuis 1603, celui-ci est dirigé par la famille Tokugawa, installé depuis sa capitale, Edo, aujourd’hui Tokyo, durant ce que les historiens japonais nomment l’ère d’Edo.

Après son ouverture, le Japon modernise à grande vitesse sa société. Son artisanat est transformé par les progrès de l’ère industrielle avec l’arrivée de nouveaux matériaux comme l’acier, les habits traditionnels laissent place au costume européen, le peuple découvre l’éducation à l’européenne et, surtout, l’armée entame sa métamorphose. En effet, faute d’attaque extérieure, l’armée japonaise n’a pas eu besoin de se moderniser constamment comme ses homologues européennes. Les armes à feu sont peu répandues et souvent de mauvaises factures. Les soldats sont des paysans recrutés dans des armées seigneuriales, peu voire pas entraînés. Afin de résoudre ce problème, le shogun Tokugawa envoie une offre aux pays européens pour envoyer une mission militaire afin de former ses soldats. Il reçoit alors réponse favorable de la France.

Representation d une rue du quartier ginza pendant sa modernisation

Estampe anonyme représentant une rue du quartier Ginza (Tokyo) durant l'ère Meiji

Au sein de la société japonaise, les conflits entre clans sont nombreux et les ressentiments contre les Tokugawa qui monopolisent le pouvoir depuis 200 ans se font sentir. Satsuma et Choshu, deux clans de l’ouest du Japon, font partie des grands opposants du shogun. Voyant le pouvoir shogunal faiblir face aux prétentions étrangères, ces clans choisissent de restituer le pouvoir impérial afin de détrôner le shogun. Lentement mais sûrement, la révolte gronde et c’est dans ce climat d’instabilité et de changement que la mission française débarque en 1867.

La mission française au Japon

Partie de Marseille en novembre 1866, la mission française, commandée par le capitaine Charles Chanoine, arrive à Edo en janvier 1867. Composée d’officiers appartenant aux trois armes (infanterie, cavalerie et artillerie), elle a pour objectif, sur une durée de 3 ans, de former aux méthodes militaires de la France 1 000 fantassins, 350 cavaliers et 650 artilleurs de l’armée shogunale.

Mission francaise au japon 1867

Jules Brunet (deuxième assis en partant de la droite) et la mission militaire française (1867)

La délégation est installée à Otamura, près de Yokohama et sur place, les officiers font le constat d’une armée archaïque. Ce constat peut s’expliquer en partie par la mentalité japonaise. En effet, depuis des siècles, le Japon est une société où règne le pouvoir militaire et l’influence des bushi (guerriers), les samouraïs. Or, ces derniers se battent essentiellement avec des arcs, lances ou au sabre, le katana. Dès lors, l’arquebuse est vue comme une arme de « lâches », faite pour les paysans qui composent les milices. Dans une société conservatrice, traditionnelle et autarcique, les progrès technologiques des Européens ne sont pas parvenus jusqu’au pays du Soleil levant.

Ainsi, pendant plusieurs mois, les Français instruisent aux soldats japonais des rudiments à la fois techniques et scientifiques et les dotent de matériels neufs tels que des fusils Chassepots (modèle 1866). Jules Brunet, en charge de l’artillerie, donne des cours de mathématiques, enseigne le maniement des canons modernes tels que le Schneider ou le Armstrong. Il modernise également les arsenaux afin de pouvoir produire sur place les futures pièces de l’artillerie japonaise. Pour cela, il fait notamment le tour des installations, à l’image de celles de Sekinoji où il introduit les techniques françaises de production industrielle pour produire des canons fiables et efficaces.

Jules brunet aquarelle 1867

Aquarelle personnelle de Jules Brunet représentant l'état des troupes shogunale en 1867

 

À côté des heures de cours, Jules Brunet découvre une société qui le fascine. Il peut compter sur les élèves du collège franco-japonais de Yokohama qui forme les Japonais au français, d’où sortent notamment les interprètes militaires. Durant ses permissions, il découvre la vie locale, notamment les us et coutumes, comme ceux des samouraïs. Brunet détonne dans le paysage par sa taille (1,85 m) mais il se fait aussi remarquer par ses talents artistiques. Sa maîtrise de l’aquarelle lui permet de communiquer grâce à un art inédit au Japon. Avec ses œuvres et en tant qu’instructeur, il se fait petit à petit intégrer parmi le peuple japonais qui le considère vite comme l’un des leurs.

Fier des avancées déjà engagées et pour remercier les Français, le shogun Tokugawa Yoshinobu convie la délégation à venir le rejoindre dans son château d’Osaka en avril 1867. Le 1er mai, les officiers sont reçus par le gorodjos, le conseil du shogun, puis par celui-ci. Ils sont stupéfaits par le cérémoniel et les coutumes japonaises. Le shogun avait eu vent des talents artistiques de Brunet et demande que son portrait soit réalisé. Brunet réalise alors le premier portrait en pied du shogun, en opposition à la tradition qui les représente toujours assis.

La mission montre vite des résultats satisfaisants lors des représentations face au shogun durant l’été 1867. Elle quitte alors la base de Yokohama pour se rendre à Edo, auprès du Shogun, où ils doivent poursuivre l’instruction des hommes pour une armée d’environ 12 000 soldats. Entre-temps, pour sa participation dans la réorganisation de l’artillerie, Jules Brunet est fait capitaine le 3 août.

 

Jules brunet shogun 1867

Portrait du Shogun Tokugawa Yoshinobu par Jules Brunet

La guerre de Boshin éclate

En 1867, un nouvel empereur arrive sur le trône, ce dernier n’a alors que 15 ans, il s’appelle Mutsuhito mais la postérité se souviendra de lui comme l’empereur Meiji (qui se traduit par « gouvernement éclairé »). Ce dernier est approché par les clans d’ouest Satsuma et Choshu afin de renverser les Tokugawa. Le nouvel empereur se range de leur côté et en novembre 1867, annonce le retrait des pouvoirs au shogun. Yoshinobu, qui ne veut pas faire couler le sang, abdique sans résistance. Mais ce n’est pas au goût de tous et des samouraïs acquis à la cause anti-shogunale mettent le feu à sa demeure à Kyoto. Les affrontements se multiplient entre bandes puis armées rivales, c’est le début de la guerre de Boshin (1868 – 1869). Face aux troupes impériales, le shogun est soutenu par les puissances étrangères, en premier lieu la France et les soldats formés par la délégation participent aux affrontements.

Soldats nagaoka tirant avec un canon gatling durant la guerre de boshin 1

Scène de bataille où des soldats du clan Nagaoka tirent au canon Gatling durant la guerre de Boshin

La guerre montre vite l’infériorité de l’armée shogunale, dépassée technologiquement par les armées impériales. En janvier 1868, 5 000 soldats impériaux parviennent, grâce à l’utilisation de canons, de fusils et de mitrailleuses Gatling, à repousser une armée de 15 000 hommes aux alentours de Kyoto lors de la bataille de Toba-Fushimi. Les troupes sont dépassées et Yoshinobu est contraint de partir pour Edo en février. Malgré les insistances françaises à la résistance, Yoshinobu capitule. Le 18 février, le ministre de France, le représentant de la France au Japon, déclare, afin d’éviter la fin des relations franco-japonaises, de retirer son soutien au Tokugawa et proclame la neutralité française. Dès lors, la mission militaire a ordre de suspendre ses opérations et de s’éloigner des zones de combat.

 

L'implication de Jules Brunet dans la résistance shogunale

Pendant l’année 1868, les Français sont logés à Yokohama et regardent le déroulement de la guerre de loin. En mai, un nouveau ministre de France est envoyé au Japon pour organiser le retrait des soldats, organisé pour la fin septembre. Mais pour Jules Brunet, ce retour en France a un goût amer. Dès juillet, il fait savoir à un autre officier avec qui il a sympathisé, Matsudaira Taro, son désarroi et son envie de rester, notamment pour finir sa mission. Finalement, le 4 octobre, il donne sa démission et le fait savoir par une lettre au ministre de la Guerre, une au capitaine Chanoine et enfin une à Napoléon III où il explique les raisons de son départ dont il prend l’entière responsabilité. Le même jour, il profite d’une visite d’un arsenal à Yokohama pour quitter la délégation et rejoindre les troupes shogunale dans le nord du Japon. Il est accompagné, malgré ses protestations, d’un autre Français, le brigadier Cazeneuve. Plus tard, ils sont rejoints par d’autres compatriotes, tel qu’Eugène Collache, lui aussi entré dans l’histoire.

Désormais privée du shogun, l’armée rebelle, dirigée depuis par l’amiral Enomoto Takeaki, se réfugie sur l’île du nord du Japon, aujourd’hui Hokkaido, où elle fonde la République d’Ezo. Brunet et les officiers qu’il a formé à Otamura participe à la prise de contrôle de l’île. Il anticipe également une invasion impériale après la conquête de l’ensemble de l’île d’Honshu, la grande île du Japon par l’empereur. Brunet participe à la consolidation des fortifications côtières de la base d’Hakodate en mobilisant notamment le fort de Goryôkaku, un fort construit en 1855 sur le modèle des forteresses de Vauban de la fin du XVIIe siècle en France. Il enseigne aux Japonais comment utiliser judicieusement les canons avec des forts de cette configuration.

Sa maîtrise de la guerre moderne, son implication dans les décisions militaires, son lien étroitForteresse goryokaku a hakodate avec Enomoto, devenu entre-temps le chef d’Ezo, et les soldats font de Jules Brunet l’homme fort de la résistance shogunale. N’ayant plus de grade après sa démission, il se fait simplement appeler « Monsieur » mais il est au cœur de toutes les décisions.

En plus des fortifications, Burnet réorganise l’armée selon un modèle français. Il met ainsi en place une armée de terre mais aussi une marine. Les officiers sont choisis au mérite et les hommes de l’armée de terre, environ 3 000, sont répartis en quatre brigades, chacune dirigée par un officier français : Cazeneuve, Fortant, Bouffier et Marlin, ces derniers l’ayant rejoint depuis. Il établit également un règlement militaire inspiré de celui mis en place en France et réparti ses brigades aux points stratégiques de l’île. Brunet organise également un roulement des troupes et réalise des inspections régulières.

À la fin avril 1869, les armées impériales se lancent dans la soumission du dernier îlot de résistance. Une première bataille a lieu dans la baie de Miako le 5 mai où Brunet tente par la ruse, en camouflant son navire par un pavillon américain, de capturer le navire blindé Koketsu, ce qui donnerait un avantage de taille à la république rebelle. Malheureusement, l’opération est un échec. La flotte de Brunet est rapidement mise en déroute et le 17 mai, les impériaux débarquent à Hokkaido. Surpassant en nombre et en puissance de feu les rebelles, les soldats de l’empereur viennent à bout des défenses locales et obligent les soldats de Brunet à se retrancher à Hakodate le 5 juin. Cette dernière subit, en plus des affrontements qui mettent la ville en feu, les bombardements des navires. Le 9 juin, il ne reste plus que 800 hommes en capacité de se battre, les blessés sont nombreux, notamment des Français comme Cazeneuve. Finalement, afin de sauver ce qu’il peut de son armée, Enomoto Takeaki se rend aux impériaux.

Bataille de hakodate par utagawa yoshitora

Scène de la bataille d'Hakodate par Utagawa Yoshitora (signée Nagashima Mosai) vers 1870, Archives numériques du musée de la ville d'Hakodate

Avant la reddition de ses hommes, Brunet, voyant la fin proche, évacue la place avec les autres soldats français. Il embarque sur le navire Coëtlogon qui mouillait non loin et navigue, en grande discrétion, jusqu’à Yokohama où il fait soigner Cazeneuve. Le 15 juin, il entame son voyage retour vers la France où il débarque le 17 septembre à Toulon.

 

Le retour en France et la fin du samouraï français

Une fois de retour en France, le dossier de Brunet est étudié par sa hiérarchie. Malgré la désertion du capitaine et son implication dans le conflit, les revendications de ce dernier d’avoir agi pour la France lui permettent d’échapper à toute condamnation. En effet, il est tout simplement mis en suspension d’emploi pendant quelques mois. Portrait jules brunet 1890

Cependant, l’action de Jules Brunet (ci-contre en 1890) n’est pas passée sous silence au Japon et l’empereur exige que des actions soient entreprises contre le Français par son gouvernement. Pour toute réponse, l’état-major français affirme que Jules Brunet était en congé sans solde pendant toute la durée du conflit. Il n’était donc pas sous l’autorité de la France et agissait selon son propre chef. Finalement, face à la non-action des Français, l’empereur finit par abandonner les poursuites plusieurs années après et gracie même tous les soldats français qui se sont battus pour la République d’Ezo. De même, Jules Brunet reçoit également des médailles et des titres pour son implication durant la guerre de Boshin. Il est en effet nommé commander de l’ordre militaire du Soleil Levant en 1881 puis grand officier du Trésor sacré en 1895, marquant ainsi sa réhabilitation au Japon. L’amiral Enomoto Takeaki, réinstitué depuis dans l’armée après la fin de la République d’Ezo aurait joué dans le processus auprès de l’empereur.

En France, la suspension de Jules Brunet dure à peine quatre mois. Il est rappelé dans l’armée après le déclenchement de la guerre franco-prussienne de 1870-1871 où il est fait prisonnier lors du siège de Metz. Après la guerre, il participe à la soumission de la Commune de Paris dans le camp républicain. Sous la IIIe République, il continue sa carrière militaire en gagnant du galon en finissant notamment général de division en 1898. Il est plusieurs fois envoyé en tant qu’attaché militaire dans des missions internationales comme en Autriche ou en Italie et devient également, pendant un bref moment, chef du cabinet du ministre de la Guerre de 1898, son ancien commandant, le capitaine puis général Chanoine. Ses différentes missions lui ont valu d’être élevé au grade de grand commandeur de la Légion d’honneur. Sa carrière et sa vie prennent fin en 1911 après une longue suite d’aventures.

Jules brunet chef du cabinet du ministre chanoine

Jules Brunet (képi à la main au centre) et les membres du cabinet du ministre de la guerre Jules Chanoine (1898)

 

Publié par Adrien RASATA le 12/03/2024

A voir

Edward Zwick, Le dernier samouraï, 2003

Affiche le dernier samourai

Affiche du film Le dernier samouraï (2003) ici en anglais

Image du film le dernier samourai

Scène du film avec Nathan Algren (Tom Cruise) à droite et Katsumoto (Ken Watanabe)

Sources

Ouvrages :

Gérard Siary, Histoire du Japon, Tallandier, Paris, 2020

Héon, F. (2010). Le véritable dernier Samouraï : l’épopée japonaise du capitaine Brunet. Stratégique, ˚99, 193-223. https://doi.org/10.3917/strat.099.0193

Articles en ligne :

Articles de presse :

Vidéos YouTube :

  • Jules Brunet et la guerre de Boshin, par la chaîne La Folle Histoire, mise en ligne le 26 juillet 2020 [en ligne] [visionnée le 26/02/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/i5DZzmvMEBo
  • Jules Brunet et les derniers samouraïs – Fragment de temps #3 par la chaîne Ducky, mise en ligne le 14 septembre 2016 [en ligne] [visionnée le 12/03/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/Kj8wkbMwVE0
  • Jules Brunet: La véritable histoire du dernier samouraï par la chaîne Arratos, mise en ligne le 19 mars 2019 [en ligne] [visionnée le 12/03/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/KGqwCZE2a7c
  • Un Officier Français organise une République au Japon : L’Epopée de Jules Brunet. par la chaîne Sombre Histoire, mise en ligne le 5 avril 2023 [en ligne] [visionnée le 12/03/2023] Disponible sur : https://youtu.be/Jz_O7JFZ7S4
  • The Last Samurai – The True Story, par la chaîne Maxi Giant, mise en ligne le 28 septembre 2010 [en ligne] [visionnée le 12/03/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/U6m7WLmAUeY

Crédits images :

  1. Les conseillers militaires français et leurs alliés japonais à Hokkaidō. Second rang : Cazeneuve, Marlin, Fukushima Tokinosuke, Fortant. Premier rang : Hosoya Yasutaro, Jules Brunet, Matsudaira Tarō (vice-président de la république d'Ezo), Tajima Kintaro, par Tamoto Kenzo (1868-1869). Licence Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:French_Military_Advisors_Jules_Brunet_and_Japanese_Allies_Boshin_War_1868-1869.png
  2. Portrait de Jules Brunet en habits d’officiers en 1868. Auteur inconnu. Licence Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:JulesBrunetAlone.jpg
  3. Estampe du quartier de Ginza à Tokyo. Auteur anonyme. Disponible sur : https://www.fujiarts.com/cgi-bin/item.pl?item=216939
  4. Les quinze membres de la mission militaire envoyée par Napoléon III au Japon, photographie de 1866. Par Emile Gsell (1867). Licence Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:JulesBrunet.jpg
  5. Les troupes du Bakufu près du mont Fuji en 1867, estampe de Jules Brunet (1867). Licence Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:BakufuTroopsIn1867.JPG
  6. Portrait du shogun Tokugawa Yoshinobu par Jules Brunet (1867). Disponible sur : http://ccfjt.com/meiji150eme/moi-jules-brunet-peintre/
  7. Représentation d’une scène de bataille de la guerre de Boshin. Auteur anonyme. Disponible sur : https://history-maps.com/fr/story/Meiji-Era
  8. Vue panoramique du fort de Goryokaku à Hakodate, Hokkaido. Keihin Nike, Licence Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Hakodate_Goryokaku_Panorama_1.JPG
  9. Scène de la bataille d'Hakodate par Utagawa Yoshitora (signée Nagashima Mosai) vers 1870, Archives numériques du musée de la ville d'Hakodate. Licence Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Battle_of_Hakodate_Nishiki-e_by_Nagashima_Mosai.png
  10. Portrait de Jules Brunet en 1890. Auteur inconnu. Licence Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:JulesBrunet1890.JPG
  11. Photographie de l’état-major de Jules Brunet pour le nouveau ministre de la Guerre par Valéry (1898). Licence Wikicommons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:BrunetEtatMajor.jpg
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Commentaires

  • Elise Duffour
    • 1. Elise Duffour Le 13/03/2024
    Fan du film "le dernier samouraï ", je découvre ainsi l'origine de l'histoire inspirée de celle d'un capitaine français. Intéressant

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