La garde varangienne

Lorsque l’on parle des Vikings, les habitants d’Europe occidentale et centrale pensent tout de suite aux puissants guerriers venus du Nord qui ont ravagé les côtes de la mer du Nord, la Grande-Bretagne et la France. Ces invasions, menées par des Norvégiens et des Danois, ne constituent pas l’ensemble des expéditions qu’organisèrent les Scandinaves, les Suédois ont également participé mais vers l’Europe orientale, dans ce que sont aujourd’hui la Pologne, les pays baltes, l’Ukraine et la Russie. Ces guerriers-marchands ont colonisé les frontières du monde connu et se sont même frayé un chemin jusqu’à la grande Constantinople. Mieux encore, une partie de ces Scandinaves est restée sur place pour devenir les gardes du corps de l’empereur. Retour sur la garde varangienne, l’une des troupes les plus redoutées de son temps et une des plus mystérieuses.

Garde varangienne par mariusz kozik

Garde varègue à Constantinople, ©Mariusz Koniz

 

À l’origine, les Varègues

Les termes de Varègues ou de Varanges servent à désigner les Scandinaves qui ont choisi d’aller explorer et de s’installer en Europe orientale, en particulier dans la Russie et l’Ukraine actuelles. Pour la plupart suédois, il existe aussi des Danois, ces hommes ont cherché richesses et aventures à l’Est. Ils ont même fondé un État avec les populations locales, la Rus (ou la Rous, prononcé "rousse") de Kiev, l’ancêtre de la Russie. Le mot varègue ou varange est dérivé du vieux norrois værengi qui désignait un homme, ou plusieurs, soumis à un serment de fidélité à un autre et/ou entre eux et pouvant être désigné sous l’appellation de « compagnons ».

Varegues et habitants de la rus de kiev

Varègues commerçant avec des habitants de la Rus de Kiev

 

Au IXe siècle, les Varègues commencent à vendre leurs servicesBasile ii et la garde varangienne d’hommes de guerre à des seigneurs européens, notamment à l’empereur byzantin qui possédait un important trésor pour financer ses troupes. Il était encore plus prompt à engager des mercenaires qu’il s’agit d’une pratique qui remonte à la Rome antique. Également, les premiers explorateurs vikings ont découvert à Constantinople, une ville pleine de richesses, de trésors architecturaux et où vit un commerce multi continental, qu'ils ont surnommée Miklagarðr, la « Grande Cité ». Cette proximité avec Constantinople a également été pour certains une motivation pour lancer des raids à partir des rives de la Rus de Kiev sur la cité byzantine et toute la mer Noire. Pour garantir la paix, l’empereur byzantin accepte d’engager certains Varègues comme mercenaires avec un salaire conséquent.

Au cours du Xe siècle, de plus en plus de Varègues intègrent l’armée byzantine mais ils sont alors diffus parmi les autres mercenaires. Il est ainsi fait mention dans certaines chroniques de l'empire de la présence de Varègues (écrit plutôt Rus, Rhosi ou « Tauroskuthai »en grec) sur des champs de bataille, notamment contre les Arabes sous les règnes de Basile Ier (867 - 886) et Nicéphore II Phocas (963 - 969).

Tout change en 988, sous le règne de l’empereur Basile II (960 - 1025) (représenté ci-contre avec sa garde varangienne), alors occupé par plusieurs rébellions en Anatolie, organisée d'abord par Bardas Skleros, un usurpateur, puis par un ancien général byzantin, Bardas Phocas, et devait également traiter avec des voisins belliqueux en Grèce, en particulier les Bulgares. Il avait donc un besoin important et incessant en troupes. De l’autre côté de la mer Noire, le prince de Kiev Vladimir Ier est entouré par une population de Varègues turbulents et prêts à se battre à la moindre occasion. Il offre d’envoyer 6 000 Varègues à l’empereur afin de calmer son propre territoire. En échange, Vladimir reçoit la main de la sœur de Basile II, Anne, mais doit aussi se convertir au christianisme. Par la même occasion, Vladimir christianise aussi les Varègues selon la foi orthodoxe, c'est le début de la christianisation de cette région de l'Europe. Redoutables guerriers, les Varègues viennent à bout des rebelles et maintiennent Basile II sur son trône. Conscient du potentiel militaire de ces hommes, Basile II les fait intégrer sa garde personnelle, c'est le début de la garde varangienne.

 

Les premiers pas de la garde varangienne

Une fois à Constantinople, les Varègues intègrent directement les armées de mercenaires impériaux, les Hétairi, aux côtés de guerriers asiatiques comme les Scythes, ou bien européens comme des Grecs, des Italiens, des Francs, etc. Guerriers nés, les Varègues brandissent, en héritage de leurs ancêtres scandinaves, une imposante hache de guerre, tenue à deux mains, une épée à la ceinture, un bouclier rond, une côte de mailles qui protège le torse puis le crâne et remonte jusqu'aux yeux avec le temps. Ils portent aussi un casque à protection nasale ainsi qu’une tunique bleue et rouge. À partir du XIe-XIIe siècle, ils ajoutent une cuirasse lamellaire et des protections en fer au niveau des bras et des jambes. Leur stature imposante, par rapport aux Méditerranéens, fait que les premiers empereurs les ont placés en première ligne, comme troupe de choc. Il était également courant de les voir avec des tatouages recouvrant tout leurs bras et leur torse, ce qui rajoute à leur allure bestiale voire mystique.

Armure des varegues

Armures de membres de la garde varangienne (Varègue à gauche et Anglo-Saxons à droite à partir du XIe siècle)

Au combat, les Varègues sont en général placés à l’arrière afin de protéger le chef de l’armée et combler les trous créés par les percées ennemies, ou être utilisée comme troupe d'assaut sur les premières lignes ennemies. Ce choix de privilégier des soldats étrangers pour protéger l'empereur ou un général à des Byzantins est un héritage des règnes précédents où l'empereur a souvent été trahi par sa garde rapprochée. Au début de son règne, c'est la propre garde de Basile II qui se rallie au rebelle Bardas Phocas. Malgré leurs origines lointaines, les Varègues apparaissent bien plus dignes de confiances, notamment après avoir fait un serment d'allégiance à l'empereur en échange de leur paiement.

Garde varangienne chronique de jean skylitzes

Représentation de la garde varangienne avec leurs célèbres haches de guerre, XIIe siècle (Bibliothèque nationale d'Espagne, Madrid)

Au cours du règne de Basile II, les Varègues continuent de s'illustrer au combat, par leurs victoires et leur férocité presque bestiale. Il est fait mention de Varègues sont plusieurs des campagnes de l'empereur, par exemple en 999 lors de son invasion de la Syrie du califat des Fatimides, en Grèce face aux prétentions des rois bulgares entre 980 et 1018, en Géorgie entre 1000 et 1023, mais aussi en Italie où les Normands et les Lombards cherchent à conquérir les terres byzantines. En 1018, Basile II envoie à ce sujet un détachement de Varègues pour soutenir le gouverneur de la région de Bari. Ils participent d'ailleurs à la victoire byzantine de Cannes cette année-là. Véritable force tout terrain, les Varègues sont présents sur presque tous les théâtres d'opération des Byzantins et ont donc autant d'opportunités de montrer leur valeur en tant que soldats, et de s'enrichir, en particulier grâce au pillage.

Les Varègues, une garde d’élite au service de l’empereur

Fidèles à leur employeur, la loyauté des Varègues n’est pas à prendre à la légère. Ces imposants hommes du nord obéissentGarde varangien a constantinople uniquement à l’empereur légitime et donne leur vie pour lui durant les combats, souvent dans un dernier baroud d’honneur. Avec le temps, les Varègues deviennent une force de choc dans les campagnes byzantines, courant avec leur hache contre les premières lignes ennemies comme les légendaires berserkir (pluriel de berserker). Au sein du palais, les gardes varègues sont chargés de la protection de l’empereur, et du trésor impérial, mais peuvent aussi servir de bras armé du souverain lors de conflits politiques entre l’empereur et des courtisans ou des conseillers ou dans le cas de tentatives de coups d’État ou d’assassinats. Les Varègues ne peuvent d'ailleurs pas sortir du palais sans la présence de l'empereur et sont donc chargés constamment de sa protection. 

La renommée de la garde varangienne atteint rapidement les contrées russes et scandinaves, et de nombreux contingents de guerriers viennent la renforcer, ce qui permet la formation d’une petite flotte varègue autour de Constantinople. Grâce à ces ajouts, la garde varangienne a les effectifs pour à la fois entretenir un corps de garde de la cité, les "Varègues de la Cité", et une troupe militaire qui suit l’empereur sur le champ de bataille, les "Varègues hors de la Cité".

D’autre part, la paie des Varègues était l’une des plus importante de l’époque, ce qui en faisait l’un des corps de mercenaires les plus prisés par les Scandinaves. Le trésor byzantin, l’un des plus important d’Europe pouvait en effet payer grassement les mercenaires qu’il embauchait. En outre, selon une ancienne coutume nordique, à la mort de l’empereur, les gardes étaient autorisés à piller le trésor en emportant tout ce qu’il pouvait transporter jusqu’à l’arrivée d’un successeur. Grâce à cette pratique, de nombreux Varègues se sont constitué de véritables fortunes, voire ont pris leur retraite, un idéal pour toutes les nouvelles recrues.

 

Harald Hardrada, l’un des plus grands Varègues de l’histoire

Parmi les rangs de la garde, certains noms sont entrés dans l’histoire comme celui de Harald Hardrada « l’Impitoyable » (1015-1066), futur roi de Norvège. Harald est le demi-frère d'Olaf Haraldsson, roi de Norvège, mais ce dernier est chassé de son royaume par le roi du Danemark Knut le Grand en 1028. Harald participe avec Olaf a une reconquête du trône en 1030, alors qu'il est âgé de 15 ans. Knut et Olaf s'affronte à Stiklestad, où Harald combat avec sa troupe personnelle de 600 hommes, mais l'armée d'Olaf est défaite et le roi meurt dans la bataille. Pour sauver sa vie, Harald est contraint de quitter la Norvège avec ce qui lui reste de soldats. Il s'exile dans un premier temps dans la Rus kiévienne puis atteint Constantinople en 1033-1034 avec 500 compagnons.

Il s’illustre sur les champs de bataille, en Italie et en Orient et obtient rapidement et durablement la loyauté de ses hommes. En 1041, il est Harald hardrada le garde varegueremarqué lors d'une des campagnes de Michel IV contre les Bulgares. Redoutable et invincible au combat, il est surnommé le "brûleur de Bulgares". Malgré ses origines royales, il combattit en tant qu'officier de bas niveau dans l'armée byzantine, sans doute pour ne pas attirer l'attention. Pour autant, la gloire de ses victoires et la fortune qu'il a accumulée font qu'il est la cible d'un complot de l'impératrice Zoé et de Michel V puis de Constantin IX entre 1041 et 1042. En 1042, il quitte secrètement Constantinople pour retourner en Rus auprès du roi Iaroslav. Trois ans après, il part revendiquer la Norvège de son frère auprès du roi du Danemark et de Norvège Magnus le Bon, fils illégitime d'Olaf Haraldsson qui succède à Knut en 1035. Harald n'obtient pas le soutien des nobles norvégiens et c'est seulement après plus d'un an de diplomatie et de négociations qu'il obtient le trône de Norvège mais il reste sous le contrôle suprême de Magnus. Il doit attendre la mort de ce dernier en 1047 pour être pleinement roi.

Une fois la Norvège pleinement sienne, Harald envisage de conquérir l'Angleterre, en prétextant un droit aux terres qui auraient appartenu à Olaf Haraldsson puis à son fils Magnus. En 1066, le roi anglais Édouard le Confesseur décède et le trône est revendiqué par trois seigneurs : le fils du défunt, Harold Godwinson, Harald Hardrada et un certain Guillaume, duc de Normandie. Avec une armée de plus de 9 000 hommes et 300 navires, il fait voile jusqu'aux côtes de Grande-Bretagne, c'est d'ailleurs l'une des dernières grandes invasions vikings de l'histoire. Les premiers succès des Norvégiens à Fulford et York les mettent en confiance mais ils sont finalement défaits par l'armée d'Harold Godwinson à Stamford Bridge le 25 septembre 1066. La bataille est un désastre pour les Norvégiens et Harald est tué dans les combats. Stamford Bridge marque à la fois la fin d'une grande épopée, source de nombreuses sagas scandinaves, mais aussi la fin de l'âge des Vikings qui avait commencé à la fin du VIIIe siècle. Moins de trois semaines après la bataille, Harold Godwinson était défait et tué par l'armée de Guillaume le Conquérant à Hasting qui revendiqua ensuite le trône de l'Angleterre.

 

Les mutations de la garde varangienne aux XIe et XIIe siècles et le lent déclin

Après la victoire normande de Hasting, de nombreux guerriers saxons quittent la Grande-Bretagne pour ne pas vivre sous la domination normande. Ils s’installent alors dans différents royaumes qui auraient besoin de mercenaires, par exemple le Saint-Empire romain germanique ou l’Empire byzantin. De nombreux Saxons intègrent ainsi la garde varangienne à partir de la fin du XIe siècle, en particulier sous le règne d'Alexis Ier Comnène (1081 - 1118). La garde se diversifie avec l’arrivée de ces nouveaux guerriers et finit par être majoritairement peuplée d’Anglo-Saxons, ce qui, malgré le changement dans les effectifs de la garde n'influence en rien le prestige des Varègues. Ils continuent de protéger farouchement l'empereur et plusieurs chroniques, dont l'Aléxiade d'Anne Comnène, la fille d'Alexis Ier, font référence à ces soldats comme des "barbares porteurs de haches" et les "Anglo-Varègues". Il est également fort probable qu'au moment de la première croisade (1095 - 1099), des soldats Francs aient rencontré des Varègues lorsqu'ils sont venus rencontrer Alexis Ier sur la route de Jérusalem.

Les differents gardes varegues du xiiie siecle

 

Sous le règne de Manuel Ier (1143 - 1180), la garde varangienne se fit à nouveau remarquer au combat, par exemple contre l'invasion du roi de Sicile Roger II en Grèce en 1147. Un contingent varègue fut envoyé par l'empereur pour protéger les possessions byzantines mais la mort d'un de ses généraux, Etienne Constostephanos, à Thèbes oblige l'empereur a venir personnellement en Grèce avec sa garde varangienne pour y défaire Roger II et libérer la ville. Durant la bataille, de nombreux Varègues sont morts en protégeant coûte que coûte la ville byzantine et en  répondant à l'appel de leur souverain de se battre jusqu'au bout.

En 1155-1156, les Varègues sont une nouvelle fois présents dans les chroniques après l'invasion ratée de Chypres du prince croisé d'Antioche Renaud de Chatillon. Fait prisonnier, ce dernier est amené devant Manuel Ier par la garnison varègue de Chypres. Il est contraint de devenir le vassal de l'empereur en échange de sa liberté, le tout en présence du roi de Jérusalem Baudoin IV, scène extrêmement humiliante pour ce prince d'Antioche qui s'est fait connaître par ses razzias d'une extrême violence contre les terres musulmanes.

Malgré leurs nombreux succès comme à Cannes en 1018 sous Basile II ou en 1122 contre les Petchenègues, un peuple nomade d'origines turques, à Béroïa, les Varègues ont aussi leur lot de défaites, parfois retentissantes comme celle de Manzikert en 1071. L'empereur Romain IV combattait alors l'armée seldjoukide du sultan Alp Arslan mais il fut défait malgré le barroud d'honneur de toute la garde varangienne. En 1081, Alexis Ier affronte une armée normande à Dyrrachium (aujourd'hui sur la côte adriatique de l'Albanie). Les Varègues étaient placés en première ligne et ont réussi malgré les assauts des Normands, notamment des cavaliers, à maintenir leur position, la garde faiblit mais ne rompt jamais. Lors des combats, voyant que l'une des ailes normande faiblissait et que des chevaliers s'enfuiyant, les Varègues se lancèrent à leur poursuite, leur hache fochant hommes et chevaux à la traine. Mais ils se retrouvèrent vite isolés, trop en avant de l'armée byzantine, et fatigués après plusieurs heures de combats. Varegues contre croises a constantinople 1204En sous-nombre et encerclés, ils se sont fait submergés et massacrés. Une petite partie parvient à s'échapper et à se réfugier dans une églis mais les Normands l'incendièrent et toute la garde mourrut sur le champ de bataille et dans les flammes. Manzikert et Dyrrachium représentent les plus grands désastres du corps d'élite.

En 1204, la quatrième croisade et le sac de Constantinople par les armées croisées porte un coup dur à la garde varangienne et à son prestige. Fidèles à l'empereur, la garde devait le protéger coûte que coûte mais une rumeur disant qu'ils ne pourraient pas être payés après les combats mina leur moral, sans oublier une crise politique entre différents empereurs, et une partie des Varègues abandonna les combats. Les guerriers du nord ont, avec 1204, failli à leur mission de protection.

Une partie de la garde suivit ensuite un gouvernement byzantin au sein de l'Empire de Nicée, en Anatolie, fondé par des survivants du sac. Les Varègues de Nicée sont les successeurs directs de ceux de Constantinople et font les mêmes missions, notamment représenter le bras armé du pouvoir face à de potentiel contre-pouvoir comme celui du patriarche. Avec la reconquête de Constantinople en 1261, les Varègues réintègrent leur place originelle mais leur heure de gloire est cependant passée. Le prestige de la garde varangienne n'est plus celui d'antan et elle devient progressivement une garde d'apparat et non une force militaire. A partir du XIIIe siècle, les mentions dans les chroniques cessent et le nom de Varègues devient un souvenir d'un autre temps. Il est cependant possible que des descendants de Varègues soient encore présents lors de la chute de la cité face aux Ottomans de Mehmet II en 1453.

 

Conclusion

Guerrier atypique, les Varègues sont entrés dans les chroniques et l’histoire comme l’un des premiers corps de mercenaires étrangers « institutionnalisés », ils ont par exemple précédé le corps des mercenaires suisses des rois de France des Temps moderne, qui ont existé jusqu'à la Révolution française, et ceux du pape, encore en activité. Leur stature mais aussi leur implication dans les campagnes impériales et les complots du palais en font une troupe au cœur du fonctionnement de l’empire, de ses institutions et les garants du trône et de la fonction impériale. Tout comme leurs homologues norvégiens et danois, les Varègues ont acquis auprès des générations actuelles l'image du Viking qui, armé de sa hache, pourfend son ennemi et symbolise la masculinité d'un Moyen Âge populaire.

La garde varangienne est aussi la cible de passionnés qui, le temps d'une convention, d'un festival ou d'une reconstitution, revêttent les habits de ces fameux gardes du corps impériaux.

Reconstitution garde varangienne

 

Publié par Adrien RASATA le 15/05/2022

Sources

Ouvrages :

BOYER Régis, Les Vikings, Perrin, Collection Tempus, 2015, Paris

Articles internet :

Vidéos YouTube :

  • Units of History – The Varangian Guard DOCUMENTARY, par la chaîne Invicta, mise en ligne le 20 novembre 2021 [en ligne] [visionnée le 18/01/2022] Disponible sur : https://youtu.be/0H2Gs87dTfU
  • Varangians – Elite Bodyguards of the Byzantine Emperors, par la chaîne Kings and Generals, mise en ligne le 13 juin 2019 [en ligne] [visionnée le 22/01/2022] Disponible sur : https://youtu.be/PRr44d-3gsg

Crédits images :

  1. Illustration d’un Varègue à Constantinople par Mariusz Kozik. Disponible sur : https://lacedemon.artstation.com/projects/oOEo3B
  2. Illustration de Varègues arrivant en Europe de l’Est et commerçant avec des locaux. Auteur inconnu. Disponible sur : https://14milimetros.com/ucrania-rusia-identidad-dividida-rus-de-kiev-y-sus-origenes/
  3. Basile II et sa garde varangienne. Auteur inconnu. Disponible sur : https://weaponsandwarfare.com/page/611/
  4. Armures de la garde varangienne. Auteur inconnu. Disponible sur : http://www.passion-histoire.net/viewtopic.php?t=33449
  5. La garde varègue, très certainement représentée sur cette planche du manuscrit Skylitzès (XIIe siècle) est reconnaissable aux haches portées par les guerriers (Merrony 2004, p. 57). Auteur inconnu. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:The_body_of_Leo_V_is_dragged_to_the_Hippodrome_through_the_Skyla_Gate.jpg
  6. Garde varègue en poste à Constantinople. Auteur inconnu. Disponible sur : https://www.pinterest.at/pin/238761217725356540/
  7. Représentation de Harald Hardrada commandant des gardes varègues. Auteur inconnu. Disponible sur : https://www.pinterest.fr/pin/497577458832132627/
  8. Illustration des différents soldats de la garde varangienne en 1204. Auteur inconnu. Disponible sur : https://www.pinterest.fr/pin/363313894920677655/
  9. Gardes varègues contre des chevaliers croisés lors du sac de Constantinople en 1204. Auteur inconnu. Disponible sur : https://www.pinterest.com.mx/pin/604256474982336434/
  10. Reconstitution de la garde varègue par des reconstituteurs. Auteur inconnu. Disponible sur : https://discover.hubpages.com/education/VIKINGS-IN-THE-PAY-OF-AN-EMPEROR-The-Varangian-Guard-From-Early-Times
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