1415 - Bataille d'Azincourt
Aux côtés des batailles de Crécy et de Poitiers, Azincourt (Agincourt pour les Anglais) est l’une des nombreuses défaites qui ponctuent la guerre de Cent Ans. Le 25 octobre 1415, une armée anglaise de 8 000 soldats, sous le commandement du roi Henri V (1413 - 1422), est sur le retour d'une expédition de pillages en France débutée quelques mois plus tôt. Elle est stoppée aux abords d'un village nommé Azincourt par l’armée royale de Charles VI (1380-1422), commandée par le connétable (commandant en chef) Charles Ier d’Albret, qui pouvait compter 10 000 soldats. Bien qu’inférieurs en nombre, les Anglais ont, une nouvelle fois, fait preuve d’ingéniosité tactique en utilisant les flèches des archers longs anglais contre une cavalerie lourde française, embourbée dans un terrain détrempé après une nuit pluvieuse, qui s’est faite massacrée. Azincourt résonne dans les mémoires comme la dernière fois où une armée vassalique, l’ost royal, est envoyée sur le champ de bataille par le roi de France. Les nobles qui composaient la cavalerie et commandaient aux gens de pied, ont montré leur inefficacité face à une armée anglaise réduite mais disciplinée et rompue aux manœuvres collectives. Cette bataille marque une rupture dans la tradition militaire de l'Europe occidentale où le besoin d’une armée permanente de soldats professionnels se fait sentir. Miracle pour les Anglais, désastre pour les Français, à Azincourt, s’est joué le sort des deux royaumes. La défaite française laisse le royaume, déjà déstabilisé par une guerre civile entre factions des Armagnacs et des Bourguignons, ouvert aux ambitions anglaises.
Le retour des ambitions anglaises sur le royaume de France
Depuis 1337, la France et l’Angleterre s’opposent dans un conflit pour la couronne du royaume de France, la guerre de Cent Ans. Après la capture du roi de France Jean II le Bon à Poitiers en 1356, un traité de paix avait été signé entre Edouard III et le dauphin Charles, le futur Charles V, à Brétigny en 1360. La paix est de courte durée et les hostilités reprennent en 1369. Le royaume de France, alors dirigé par Charles V (1364 - 1380),parvient à conquérir les possessions anglaises en terres de France : la Guyenne (l’Aquitaine) et la Normandie. Sous le règne de son fils, Charles VI, des négociations ont lieu avec le roi d’Angleterre Richard II (1377 - 1399) qui se concrétisent par des trêves signées régulièrement entre 1384 et 1398 dans l’abbaye de Leulinghen, en Picardie. La dernière se conclut par une trêve de 28 ans et par le mariage de Richard II et de la fille de Charles VI, Isabelle de France. Cependant, en 1399, Richard II est renversé par son cousin, Henri de Lancastre, qui l’emprisonne à la Tour de Londres où il trouve la mort peu de temps après. Le nouveau roi prend le nom d’Henri IV et renoue avec les ambitions de son grand-père, Edward III, en voulant reprendre la couronne de France.
En 1413, Henri IV meurt et son fils, Henri V (portrait ci-contre), lui succède sur le trône. Le nouveau roi désire reconstituer l’empire Plantagenêt au moment de son apogée au début du XIIIe siècle. De l'autre côté de la Manche, depuis 1407, la France est divisée par une guerre civile que se mènent les Armagnacs et les Bourguignons après l’assassinat du chef des premiers, Louis d’Orléans, commandité par Jean sans Peur, duc de Bourgogne. Chaque faction cherche à prendre la main, notamment en demandant l’aide de puissances étrangères comme les Anglais. Les Armagnacs sont les premiers à le faire en 1411 mais les Anglais prennent finalement le parti des Bourguignons l’année suivante. Une chevauchée anglaise en 1412 vient ensuite fragiliser davantage la France. En échange d’une importante somme d’argent, Henri IV accepte de repartir en Angleterre.
Face à l’instabilité régnante outre-Manche, Henri V décide d'en tirer avantage et envoie plusieurs ambassades à partir de 1414. Dans les lettres transmises, le roi exige qu’on lui rende les possessions anglaises du temps de Richard Ier l'Aquitaine et la Normandie, la fin de la rançon pour le retour de Jean le Bon après sa capture en 1356 à Poitiers soit 1.6 millions d'écus, stoppée en 1369 par Charles V, ainsi que la main de la fille du roi, Catherine. Il accepte en échange de renoncer à ses ambitions sur la couronne de France. Henri V est conscient que ses demandes ne peuvent aboutir et il cherche plutôt, derrière ce stratagème, à gagner du temps pour préparer un plan d’invasion. Voulant éviter une guerre, le parti Armagnac, qui secondait alors le roi, décide de négocier. Les Français proposent la main de Catherine et une dot de 850 000 écus. Henri refuse les contre-propositions françaises et l’affaire s'éternise.
En juillet 1415, le roi d’Angleterre décide finalement d’arrêter la voie diplomatique et déclare la guerre à la France. La guerre vient de reprendre. En prévision de la fin des négociations, il a entre temps réussi à rassembler une armée de 12 000 hommes venus de tout son royaume. Elle compte environ un millier de chevaliers, 2 000 hommes d’armes composant l’infanterie auxquels s’ajoutent 8 000 archers et leurs serviteurs respectifs. Selon les chroniqueurs, l'armée aurait pu compter jusqu'à 30 000 soldats.
L'invasion anglaise de la France
À la mi-août, Henri V et son armée prennent enfin la mer pour la France. Sa première cible est le port d’Harfleur. Installé sur l’embouchure de la Seine, il est une porte vers l’intérieur des terres françaises et constitue ainsi une parfaite tête de pont pour de futures invasions. Le 14 août, les Anglais arrivent à Harfleur et assiègent la ville. La garnison d’une centaine d’hommes ne peut se défendre face à une armée cent fois plus nombreuse. Bien qu’ayant résisté pendant un mois, les défenseurs capitulent et ouvrent la ville le 22 septembre.
Le roi décide de ne pas pousser plus loin son avancée en terres françaises. Son invasion a en effet commencé à la fin de l’été et les pluies d’automne sont très peu propices aux combats. De plus, afin de renforcer le nord de son royaume, Charles VI et son fils, le Dauphin Louis de Guyenne, ont installé l’armée royale à Rouen. Pour protéger son armée et maintenir son nouveau port, Henri V prend la direction du nord vers Calais, le dernier bastion anglais depuis la reprise des terres anglaises par Charles V à la fin du XIVe siècle. Il quitte Harfleur le 8 octobre, tout en laissant une garnison sur place, longe la côte pour s’éloigner le plus possible de l’armée française et en même temps se moquer du roi en pillant librement ses terres.
De leur côté, les Français ont tardé à réagir. Après l’arrivée des Anglais à Harfleur, le roi fait lever l’oriflamme de Saint-Denis, symbole du roi en temps de guerre. Ce faisant, il somme tous les seigneurs du royaume de rassembler leurs vassaux (l’ost royal) et de se réunir à Rouen. Il s’agit ici d’un retour au temps des armées féodales. En effet, durant le règne de Charles V (1364 – 1380), l’armée avait subi de nombreuses réformes dont la première est la constitution d’une armée permanente composée de plusieurs compagnies de quelques milliers de soldats professionnels. Bien que plus réduites par rapport à l’immense ost royal, elles sont plus maniables et se reposent bien plus sur la mobilité d’une cavalerie légère et l’emploi massif d’archers. La paix de 1398 a mis fin à ces réformes et l’armée est revenue à sa forme féodale. A Rouen, le haut commandement comprend les grands seigneurs de France. Le roi étant malade, il est représenté par le Dauphin Louis de Guyenne appuyé par les armées des ducs d’Orléans, d’Alençon, de Berry, de Bourbon, du comte de Vendôme et peut compter sur le commandement du connétable de France, chef des armées royales, Charles Ier d’Albret. Cette armée est principalement composée de seigneurs armagnacs. Les armées bourguignonnes sont, en raison du climat politique, exclues de la campagne, le premier visé étant leur chef, Jean sans Peur. Deux de ses frères, dont le duc de Brabant, sont cependant autorisés à venir avec leur compagnie. Dès le départ de Henri d’Harfleur, les Français partent à leur poursuite. Après deux semaines d’une marche intensive, les deux armées se retrouvent le 24 octobre près du village d’Azincourt.
Une terrible défaite française
Le 25 octobre, les deux armées se font face. Les Anglais ont choisi un terrain dégagé encadré par deux forêts. Il a plu la veille, le sol est détrempé, boueux et le brouillard recouvre la plaine. Les deux camps sont relativement semblables contrairement aux affirmations des contemporains décrivant une armée française deux fois plus nombreuse. La France compte en tout 10 000 soldats avec une majorité de fantassins et une cavalerie lourde redoutable. En face, les Anglais, bien que possédant aussi une cavalerie, privilégient les armes de jet avec leurs 8 000 archers équipés d’arcs longs. Faciles à construire et ne demandant pas une formation longue et couteuse, les arcs longs ont permis aux hommes du peuple de prendre une part active dans l’armée anglaise allant jusqu’à être le symbole de celle-ci dans les mémoires. Du côté français, le choix a été fait de se concentrer sur l’arbalète. Certes plus puissante, elle peut tirer jusqu’à 4 voire 5 carreaux à la minute, là où un archer anglais expérimenté peut tirer jusqu'à 15 flèches par minute. Afin de combler le déficit du combat à distance, les Français peuvent cependant compter sur la puissance destructrice de leur cavalerie, où se trouve la noblesse, lorsqu’elle est lancée au galop.
Les Anglais reproduisent les tactiques qui les ont rendus victorieux au siècle précédent et placent leurs archers au centre, protégés par une barrière de pieux pour stopper la charge de cavalerie. Les Français, quant à eux, se positionnent en trois rangs, l'avant-garde, le centre et une arrière-garde, avec la cavalerie venant en soutien à l'arrière et sur les flancs. Les troupes françaises restent un assemblage hétéroclite de soldats aux ordres de leur suzerain et sous le commandement général du connétable Charles d’Albret. La chevalerie de la fin du Moyen Âge est gagnée par les idéaux de l’exploit guerrier, de la recherche perpétuelle de gloire au combat, et chaque chevalier est prêt à faire acte de bravoure. Il règne ainsi un profond climat d’individualité et d’excitation qui fait défaut aux Anglais pour lesquels, après plusieurs semaines de combat, la discipline et l’ordre règnent. Si les premiers combattent pour la gloire, les autres combattent pour survivre et rentrer chez eux avec leur butin.
Afin de provoquer les Français, Henri V (représenté en armure ci-contre) fait avancer ses hommes vers l'ennemi. Preuve de l'indiscipline française, une partie des nobles lance la charge. À cause du poids de leur équipement et de la boue, la charge est totalement inefficace. La majorité des assaillants tombe de cheval avant d’avoir atteint les archers anglais qui entre temps assaillent les cavaliers de plusieurs vagues de flèches. Pour ceux qui y réchappent, leurs chevaux s’empalent sur les pieux et sont ensuite tués par les fantassins anglais. Seuls les nobles qui semblent les plus riches survivent car ils sont le signe d’une rançon s’ils sont capturés. Après cette première confrontation, l’avant-garde français avance à son tour mais est, elle aussi, accueillie par les archers anglais qui continuent de faire des ravages. Une fois la mêlée engagée, c’est un véritable bain de sang où les lames s’entrechoquent, les hommes tombent par dizaines dans un parfait désordre. Certains sont mêmes étouffés sous le poids des corps et de leur armure, ensevelis par les piles de soldats tombés ou dans la boue. Au cœur du combat, le connétable Charles d'Albret arrive tant bien que mal jusqu'au camp anglais et dans un échange de coups, parvient à trancher une partie de la couronne du roi. Il est ensuite repoussé par ses gardes du corps et meurt dans les combats. Les fantassins français ne peuvent être soutenus par les arbalétriers qui, à l'arrière-garde, se retrouvent gênés par les troupes devant eux. Antoine de Bourgogne, duc de Brabant et frère de Jean sans Peur, arrive avec une partie de son armée et tente lui-aussi de se frayer un chemin en chargeant les troupes anglaises. Il est toutefois accueilli par les pieux et les archers et succombe rapidement devant la puissance de l’ennemi. Arrivé en retard sur le champ de bataille, le frère de Jean sans Peur, n'a pas eu le temps de montrer ses talents guerriers. Une fois à court de flèches, les archers anglais dégainent leur arme de mêlée, qui peut être une épée courte, une masse d’arme ou une petite hache, et viennent soutenir les rangs de fantassins. En seulement une heure, les troupes françaises sont anéanties. Les hommes fuient de tous côtés, ils s'enlisent dans la boue, se bousculent. La 3e ligne n’a même pas tenté de venir secourir ses compatriotes de peur d’être elle aussi terrassée. Les soldats anglais font alors de nombreux prisonniers malgré l'interdiction d'Henri V qui ne souhaitait pas alourdir sa troupe.
En retard, une troisième armée française, commandée par le seigneur d’Azincourt Ysembart, arrive au secours de ses compatriotes. Souhaitant profiter de l’épuisement des Anglais, elle se dirige vers les lignes arrière et veut redonner de l’espoir aux Français. Face à ces renforts inattendus, Henri V prend la décision de faire exécuter les prisonniers afin d’alléger un maximum sa fuite vers Calais et surtout de dissuader le seigneur d’avancer s’il ne veut pas que le massacre continue. Les chevaliers faits prisonniers dès le début des combats sont égorgés les uns après les autres. Seuls les plus importants sont épargnés. Les fantassins sont massacrés sans hésitation. Bien qu’importante en nombre, l’armée d’Ysembart est uniquement composée de paysans rassemblés dans l’urgence et n’est pas une réelle menace pour les Anglais qui les mettent rapidement en déroute en menaçant de continuer le massacre des prisonniers s'ils avançaient davantage. Cet épisode a participé à créer la légende d'Azincourt, notamment dans son aspect sinistre et meurtrier pour les Français.
Conclusion et conséquences
La bataille d'Azincourt vient s'ajouter aux défaites précédentes de l'armée française de Crécy et Poitiers. La France a perdu son connétable, les ducs de Brabant et de Bar, au moins une centaine de chevaliers ainsi que 15 baillis et sénéchaux, le tout sans compter les fantassins morts pendant la mêlée et les hommes emmenés comme ôtages en Angleterre. La France accuse près de 6 000 morts durant cette bataille. Ces pertes affaiblissent à la fois l'armée car elle perd une grande partie de ses officiers mais également l'administration même du royaume car les baillis et sénéchaux sont les représentants du roi et de son pouvoir de gestion dans leur circonscriptions. Côté anglais, les pertes ont été plus minimes avec quelques centaines de morts dont une dizaine de chevaliers. Toutefois, parmi ces morts, se trouve un cousin du roi, le duc d'York, Edouard, petit-fils de l'ancien roi Edouard III.
Bien qu'il s'agisse d'une défaite dure pour la France, les conséquences ne sont pas immédiates. Henri V repart le 16 novembre en Angleterre et le comte d'Armagnac, Bernard VII, est nommé connétable. Dans le royaume de France, les divisions se renforcent avec l'affaiblissement du parti armagnac après la défaite et l'accroissement du pouvoir de Jean sans Peur. En 1417, Henri V relance une expédition en France et parvient à conquérir la Normandie. Depuis cette tête de pont, il arrive aux portes de Paris en 1418. Profitant de la perte de prestige armagnac, Jean sans Peur se retrouve à la tête du gouvernement et décide d'ouvrir les portes de la ville. Un massacre du parti armagnac a alors lieu avec la mort du comte Bernard VII. Le prince héritier Charles, qui résidait alors sur place, s'enfuit de justesse. Le prince n'étant plus là, Henri V est en pleine possession de la ville. Pour finaliser son emprise sur le royaume, il signe avec le duc de Bourgogne, Philippe III le Bon (1419 - 1467) le traité de Troyes le 21 mai 1420. Il accède alors à la couronne de France au nom de l'héritage des Plantagênets et gouverne avec l'aide des Bourguignons. Le prince Charles s'étant réfugié à Bourges, perd la mainmise sur la moitié nord du royaume. Orléans devient la ligne frontière entre la France sous domination anglo-bourguignonne et celle sous le contrôle de Charles VII de Valois, aussi appelé le roi de Bourges. Sept ans après son ascension au trône d'Angleterre, Henri V est devenu roi de France. Mais, il existe encore une France irréductible, au-delà d'Orléans, qui reconnaît Charles comme l'unique souverain. La guerre entre les deux nations n'est pas finie et ne se terminera pas avant, encore, une trentaine d'années en raison notamment d'une certaine Jeanne, pucelle d'Orléans.
Publié par Adrien RASATA le 24/05/2021
Bibliographie
Ouvrages et articles :
- BOVE Boris, 1328 - 1453, Le temps de la guerre de Cent Ans, Belin, Paris 2009 (réédition de 2014)
- DREVILLON Hervé et WIEWORKA Olivier, Histoire militaire de la France, 1. Des Mérovingiens au Second Empire, Perrin, Paris, 2018
- Boffa Serge. Antoine de Bourgogne et le contingent brabançon à la bataille d'Azincourt (1415). In: Revue belge de philologie et d'histoire, tome 72, fasc. 2, 1994. Histoire medievale, moderne et contemporaine - Middeleeuwse, moderne en hedendaagse geschiedenis. pp. 255-284
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Gauvard Claude, « La France du traité de Troyes (1420) », dans : , Le temps des Valois. (de 1328 à 1515), sous la direction de Gauvard Claude. Paris cedex 14, Presses Universitaires de France, « Une histoire personnelle de ... », 2013, p. 120-128. URL : https://www-cairn-info.sidnomade-2.grenet.fr/le-temps-des-valois--9782130619659-page-120.htm
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Cottret Bernard, « Chapitre IX. La « révolution » lancastrienne », dans : , Histoire de l'Angleterre. sous la direction de Cottret Bernard. Paris, Tallandier, « Texto », 2019, p. 125-137. URL : https://www-cairn-info.sidnomade-2.grenet.fr/histoire-de-l-angleterre--9791021039650-page-125.htm
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Hélary Xavier, « Azincourt : la plus grande défaite française », dans L’Histoire n°380, 2012, p 72-75
Article internet :
- Battle of Agincourt [en ligne], BritishBattle.com [consulté le 12/05/2021], disponible sur : https://www.britishbattles.com/one-hundred-years-war/battle-of-agincourt/
Vidéos :
- Agincourt - Documentary | Battles That Changed History par la chaîne Doug A James. Mise en ligne le 31 octobre 2018 [visionnée le 19/12/2020]. Disponible sur : https://www.youtube.com/watch?v=zkwKWaakz-Q
- History of England - Agincourt - Extra History - #5 par la chaîne Extra Credits. Mise en ligne le 22 juin 2019 [visionnée le 20/01/2021], disponible sur : https://www.youtube.com/watch?v=mUgMlZU9TSw
- How Accurate is the Battle of Agincourt in The King? par la chaîne History with Hilbert. Mise en ligne le 22 novembre 2019 [visionnée le 12/05/2021], disponible sur : https://www.youtube.com/watch?v=jonNAqHkXcI&list=WL&index=47
- Medieval Dead - Season 1, Episode 3: Agincourt's Lost Dead par la chaîne Medieval Dead. Mise en ligne le 21 juin 2016 [visionnée le 12/05/2021], disponible sur : https://www.youtube.com/watch?v=StcM7x2uzpo&list=WL&index=49&t=981s
- La (désastreuse) bataille d’Azincourt par la chaîne Dis Clio. Mise en ligne le 13 mai 2018 [Visionnée le 1/04/2021], disponible sur : https://www.youtube.com/watch?v=oSHVyr4CLq0&list=WL&index=49
Crédits images :
1) Localisation cartographique d'Azincourt, disponible sur : https://www.weather-forecast.com/locations/Azincourt/forecasts/latest
2) Miniature tirée de l’Abrégé de la Chronique d'Enguerrand de Monstrelet, XVe siècle, Paris, disponible sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_d%27Azincourt
3) Portrait de Henri V, fin XVIe - début XVIIe siècle, disponible sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_V_%28roi_d%27Angleterre%29
4) Carte de la chevauchée de Henri V, disponible sur : https://ugc.futurelearn.com/uploads/images/8e/fe/hero_8efe8d83-d451-4a44-9d65-b9cad0445599.jpg
5) Illustration des combats entre les fantassins Anglais et Français, source anonyme, disponible sur : https://www.pinterest.fr/pin/751608625284589133/
6) Carte tactique de la bataille d'Azincourt. Auteur : Eamezaga, 2006. © Wikimedia Commons, domaine public , disponible sur : https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/moyen-age-azincourt-1415-raisons-defaite-francaise-13006/
7) Représentation de Henri V au corps à corps pendant la bataille, source inconnue, disponible sur : https://i.servimg.com/u/f68/19/07/99/61/tm/aginco10.jpg
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