1944 - La bataille de la Pointe du Hoc
La Pointe du Hoc fut l’une des batailles les plus difficiles du Débarquement du 6 juin 1944. Mené par les Rangers américains, l’assaut consistait à prendre une position surélevée à 30 mètres au-dessus du niveau de la mer où devaient se trouver des canons capables de toucher les plages d’Utah et d’Omaha. Ce faisant, la batterie de la Pointe du Hoc représentait un vrai danger pour les futurs soldats débarqués. C’est ainsi une mission de haut vol pour ces soldats hors-pairs et prêts à tout.
Illustration de Vincent Wai sur l'ascension de la Pointe du Hoc par les Rangers du lieutenant-colonel James E. Rudder
La Pointe du Hoc, une position stratégique en Normandie
La Pointe du Hoc est un promontoire rocheux à la base occidentale du Cotentin. Il est à mi-chemin entre les deux futures plages du Débarquement, Omaha (à l'est) et Utah Beach (à l'ouest). Sa vue dégagée, à presque 180 degrés, en fait un lieu idéal pour y placer une batterie d’artillerie et c’est chose faite par l’armée allemande. Le lieu est en effet compris dans le grand dispositif du Mur de l’Atlantique, un ensemble de positions fortes avec des bunkers, des nids de mitrailleuses, des canons, de la DCA (Défense Contre l’Aviation) et des garnisons pour prévenir l’arrivée de navires et de troupes en Europe. À cela viennent s’ajouter des pièges pour ralentir l’ennemi et bloquer l’avancée de chars. Pour sa défense et son entretien, la Pointe du Hoc est habitée par le 3e bataillon du 726e Régiment de Grenadiers, de la 716e Division d’infanterie de la Wehrmacht. En tout, c’est un peu plus de 200 hommes, à la fois des combattants et des artilleurs spécialisés. Ils peuvent compter sur les renforts de la 352e Division allemande, stationnée à Omaha Beach.
Pour ce qui est du relief de la Pointe du Hoc, elle est constituée d’une falaise calcaire raide de près de 30 mètres de haut, surmontant une plage de galets d’à peine 15 mètres de large, ce qui en fait une position difficile à prendre en venant de la mer. Jugée imprenable, la Pointe est surtout protégée du côté sud, celui des terres, par un important collier de champs de mines, tandis que le nord, celui de la mer, est plus dégagé.
Vue aérienne de la Pointe du Hoc ©Dday-Overlord
Au cours de l’année 1943, six canons de 155 mm français, capturés en 1940, furent placés sur le promontoire. Les reconnaissances aériennes alliées repèrent les lieux lors de raids et tentent à plusieurs reprises de les détruire. Pour les protéger, les Allemands construisent d’immenses bunkers, ou casemates anti-bombes qui résistent aux bombardements alliés. Cependant, l’un d’eux, fit de nombreux dégâts le 15 avril 1944 (voir ci-dessous). Il endommagea trois canons et détruisit des encuvements, lieux où se trouvent les canons pour tirer. Pour leur protection, les canons sont déplacés à 1 300 mètres plus loin dans les terres et cachés. La construction des bunkers est arrêtée, seulement deux ont été achevés, ce qui fait penser aux alliés que les canons sont vulnérables.
Ces canons mais aussi ce point de vue panoramique sont des cibles de choix pour les Américains qui décident de mettre sur pied un plan audacieux pour prendre la Pointe du Hoc.
Bombardements du 15 avril 1944 par des A20 Havocs américains
Un plan d’attaque ambitieux
L’idée de prendre la Pointe du Hoc émerge au début de l’année 1944, pendant le processus de préparation du Débarquement. Le plan consiste à envoyer un détachement, à l’aube du 6 juin 1944, pour prendre la Pointe du Hoc par la falaise. Pour cela, les hommes devront escalader l’escarpement avec des cordes et des grapins, se hisser au sommet et prendre les différents canons et blockhaus, les abris fortifiés allemands. Pour réaliser l’opération, on fait appel à la division des Rangers, une unité d’infanterie créée en 1943 sur le modèle des commandos britanniques. Grâce à un entraînement intense, notamment sur l’île de Wight, les Rangers sont capables de franchir les obstacles les plus difficiles et réussir les missions les plus invraisemblable. Enfin, c’est la promesse tenue.
Pour le débarquement sous la Pointe du Hoc, les hommes des 2e et 5e bataillons de Rangers sont missionnés. Ils sont répartis en deux forces. La première, forte de 261 Rangers, les compagnies D à F, est dirigée par le lieutenant-colonel James Earl Rudder, chef des Rangers et personnellement impliqué dans l’opération. Elle doit débarquer à 6h30 et prendre les positions stratégiques tout en détruisant les canons allemands. Le débarquement se fait sur les deux pants de la Pointe du Hoc, deux compagnies à l’est et l’autre à l’ouest, afin d’affaiblir le plus possible les défenses allemandes. À 7h00, il doit envoyer une fusée éclairante pour annoncer la réussite du projet.
La seconde force, environ 500 soldats du 5e bataillon et deux compagnies du 2e, attend en retrait et se tient prête à débarquer dès l’annonce de la fusée éclairante. Dans le cas d’un échec, ils sont déroutés vers Omaha Beach pour renforcer les autres zones du Débarquement et contourner par les terres pour prendre la zone cible. Une fois la position sur la Pointe gagnée, les Rangers devaient libérer la zone côtière et s’enfoncer de plus en plus loin dans les terres pour contrôler la liaison entre les deux plages, et, seconder les régiments de parachutistes largués dans la nuit du 5 au 6 juin.
Portrait de James Earl Rudder
Plan d'attaque de la Pointe du Hoc par les Rangers américains du lieutenant-colonel Rudder.
Les cercles noirs indiquent les positions des casemates pour les canons de 155 mm. Des nids de mitrailleuses MG42 sont placés à différents lieux stratégiques, notamment face à la plage.
On observe le poste d'observation au nord, qui donne sur la mer.
Des réseaux de barbelés et de tranchées serpentent ensuite sur le site.
Non visible sur cet extrait de carte : les champs de mines plus au sud.
L’assaut sur la Pointe du Hoc
Alors que l’opération du Jour J débutait sur les plages normandes, les hommes de Rudder embarquent dans les barges de débarquement : 6 LCA (Landing Craft Assaut) et 4 barges amphibies (ou DUKW). Deux barges sont spécifiquement réservées pour l’équipement. À 4h30, Rudder adresse un dernier mot à ses hommes et ils se lancent à l’assaut de la Pointe du Hoc.
Tout commence à partir de 5h30 par un premier bombardement mené par 3 navires : l’USS Texas, l’USS Satterlee et le HMS Talybont. Malheureusement pour Rudder, à peine a-t-il lancé ses hommes sur les flots qu’une barge se renverse, submergée par les vagues. Il perd ainsi tout l’équipement et la quasi-totalité des hommes à bord, emmenés au fond des eaux par leur équipement. Seul le capitaine Slater parvient à être secouru. Mais ce n’est pas la fin des ennuis pour les hommes de Rudder. Les barges restantes sont, bien malgré elles, déportées vers l’est par le courant, les vagues et le manque de visibilité due à la fumée des canons qui n’arrange rien à l’affaire. Il est 6h30 lorsque Rudder remarque qu’il a dérivé de quelques kilomètres et il fait faire un détour, perdant au passage un autre DUKW et une quarantaine de minutes. Finalement, il touche terre, avec tous ses hommes, sur la côte est à 7h10, bien évidemment en retard. Et ce détour lui fait perdre ses précieux renforts qui ont été, comme prévu, déroutés vers Omaha Beach, faute de fusée à 7h00.
Illustration de ©Howard Gerrard de l'ascension de la Pointe du Hoc par les US Rangers.
Maintenant débarqués, les Rangers, réduits à 220 hommes, doivent escalader la trentaine de mètres de la falaise. Pour ce faire, ils avaient emmené des cordes dont les grappins étaient propulsés par des canons ou fusées depuis les barges. Malheureusement, encore, les cordes ont pris l’eau et leur poids les empêche d’atteindre le sommet. Les Américains doivent donc y aller à l’ancienne, avec quelques cordes lancées à la main ou accrochées par des éclaireurs qui se lancent dans l’ascension. Les plus chanceux peuvent compter sur des échelles de cordes, gracieusement offertes par les pompiers de Londres, voire des versions métalliques de 30 mètres. Les Rangers utilisent pleinement le terrain qui s’offre à eux. Ils empruntent par exemple un amas de débris tombés pendant les bombardements pour gagner quelques mètres et établir un chemin praticable jusqu’au sommet.
Bravant les balles de mitrailleuses MG42 qui sifflent dans l’air et les grenades allemandes, les premiers Rangers arrivent au sommet en à peine vingt minutes. Ils sécurisent les cordes et débutent l’occupation de la zone. Une fois arrivés sur la Pointe du Hoc, les Américains découvrent un paysage lunaire. Les bombardements de la veille et celui du jour par leurs navires de soutien ont ravagé le plateau. Des trous d’obus de plus de dix mètres de diamètre jalonnent la place. Ils sont à la fois de très bons lieux pour se protéger des balles mais aussi un véritable obstacle à franchir lorsqu’il faut en sortir pour aller dans le prochain. Malgré les tirs des MG42 qui fusent au-dessus de leurs têtes, les Américains parviennent à former une tête de pont puis à étendre leur zone sécurisée vers le centre du plateau. Alors que les Rangers encore valides poursuivent les combats, les blessés sont évacués le long de la falaise. Rudder établit également un poste avancé où il peut utiliser sa radio.
Illustration de l'arrivée des Américains au sommet de la Pointe du Hoc ©Larry Sleman
La sécurisation difficile de la Pointe du Hoc
À 8h00 du matin, la majorité de la Pointe du Hoc était occupée par les Américains. Ils avaient pris toutes les casemates où devaient se trouver les canons de 155 mm. Mais lorsqu’ils entrent dans les bunkers, ils trouvent des poteaux de bois, censés tromper les pilotes des avions de reconnaissance. Cet objectif est un échec mais ils continuent leur conquête du terrain. Un petit groupe, d’environ 35 hommes, est envoyé plus au sud pour sécuriser la route Vierville-Grandcamp qui menait au site et ainsi prévenir toute arrivée de renforts. Une paire d’éclaireurs, composée du First Sergeant Leonard Lomell et du Staff Sergeant Jack Kuhn, parvient finalement à faire une découverte inattendue. Au détour d’un chemin, ils tombent sur les cinq canons qui manquaient dans les casemates, le sixième ayant été détruit dans un bombardement. Ils entreprennent alors de détruire les appareils de visée des canons et glissent dans les bouches des canons des grenades thermiques, ou « thermites », qui produisent une forte chaleur et font fondre le métal pour rendre le tout inopérable. Tout s’est fait sans alerter les Allemands, pourtant à une centaine de mètres.
Leonard Lomell et Jack Kuhn sur l'un des canons détruits, pris en photos après les combats
De l’autre côté de la Pointe du Hoc, les combats continuent, notamment pour prendre le poste de commandement à l’extrémité nord du champ de bataille et la batterie de DCA où se trouve un canon qui maintient les Rangers en respect. À 8h00, le colonel Rudder annonce par radio la prise de position sur la Pointe du Hoc et demande urgemment des renforts. Malgré ce succès, le commandement lui annonce que tous les renforts disponibles ont été redirigés vers Omaha Beach. Ils sont donc seuls et les hommes se font de plus en plus rares. En effet, l’arrivée sur la plage avait déjà coûté à Rudder une bonne vingtaine d’hommes et les combats sur la Pointe continuent d’amenuiser ses maigres troupes. En voulant prendre la batterie de DCA, 20 soldats sont à ce titre fait prisonniers. Il ne reste à l’Américain qu’un peu plus d’une centaine d’hommes en état de se battre sur les 200 qu’il avait au départ. Malgré les difficultés, Rudder lance tout ce qu’il a dans les combats. Les mitrailleuses américaines BAR détonnent à travers le champ de bataille, les obus des quelques mortiers acheminés sur place font vibrer les derniers blockhaus de la DCA et du poste d’observation. On se bat entre les tranchées et parfois dans des combats à très courtes distances, voire au corps-à-corps.
Dans l’après-midi, les munitions commencent à sérieusement manquer pour les Américains mais les appels à l’aide de Rudder sont sans réponse satisfaisante. Finalement, vers 20h00, une avant-garde du 5e bataillon, débarqué à Omaha Beach, parvient jusqu’à la Pointe du Hoc pour annoncer l’arrivée prochaine des renforts. C’est une nouvelle inespérée pour les Rangers du 2e bataillon. Il ne leur reste plus qu’à tenir et les renforts vont permettre de souffler.
Lorsque la nuit tombe sur la Pointe du Hoc, le chaos règne encore entre les deux camps. Les Américains ont l’avantage de la position mais sont en infériorité numérique et encerclés par les Allemands. Les renforts ne sont toujours pas là. Ils tardent à cause de contre-attaques lancées par les Allemands sur Omaha Beach. Puis c’est au tour de Rudder de subir une attaque, organisée par le 914e Régiment d’infanterie allemand. Un peu avant minuit, des échanges de tirs se font entendre et les combats reprennent, parfois au corps-à-corps. Cela se fait à plusieurs reprises jusqu’à ce que, finalement, les Allemands reprennent la main vers 6h00 du matin, le 7 juin. Les postes de contrôle sur la route sont tombés et les Américains doivent reculer jusqu’aux abords de l’ancienne batterie allemande. Certains Rangers, séparés des autres, finissent cachés dans le bocage, esquivant les troupes ennemies.
Rangers en train de combattre à la Pointe du Hoc (auteur anonyme)
En fin d’après-midi, des renforts sont débarqués au pied de la Pointe du Hoc. Une trentaine d’hommes environ ainsi que des munitions et des vivres. Grâce à ce nouveau soutien, Rudder parvient à faire tomber le poste d’observation au nord de la Pointe du Hoc grâce à des charges de C4. Une épine de moins dans le dos des Américains. Vers 20h00, une autre patrouille américaine vient s’ajouter aux défenseurs de Rudder.
Les renforts arrivent enfin
Prisonniers allemands escortés par les rangers après la conquête de la Pointe du Hoc
Le matin du 8 juin, les combats reprennent une nouvelle fois et les promesses infructueuses d’arrivée des renforts continuent de plomber le moral des Américains. Mais au cours d’une énième attaque allemande, des coups d’obus de chars Sherman se font entendre. Les renforts sont là ! Le 5e bataillon de Rangers, aidés des hommes du 116e régiment d’infanterie et les chars du 743e bataillon viennent soutenir leurs camarades. Grâce à eux, la dernière position allemande tombe vers midi et les soldats d’Hitler sont repoussés plus loin dans les terres. L’offensive américaine se termine par la prise de Saint-Pierre-du-Mont, à un peu plus de 1,5 km de la Pointe du Hoc.
Au moment des comptes pour évaluer les pertes, le lieutenant-colonel Rudder constate, bien attristé, que sur les 200 hommes qu’il avait emmenés avec lui, moins de 90 étaient encore en état de combattre. Lui-même avait été blessé à deux reprises au niveau de la jambe, ce qui lui vaut une évacuation une fois la position sécurisée.
L’action des Rangers est une victoire pour les Américains qui ont conquis une position très stratégique et permis, par la même occasion, de faire grandir la légende des Rangers. En outre, au même moment sur Omaha Beach, la devise de la troupe venait de naître. Le général Norman Cota était alors embourbé dans le sable et la situation parvient à se dégager avec l’aide des Rangers. Pour les motiver, Cota leur lance « Les Rangers montrent la voie ! « Rangers, lead the way ! », faisant d’eux les éclaireurs, et débroussailleurs pour les troupes de l’US Army.
Un champ de bataille devenu lieu de mémoire
La bataille de la Pointe du Hoc a marqué les esprits et le site fut transformé en lieu de mémoire. La plupart des cratères ont été rebouchés mais l’aspect vallonné est lui préservé. En 1979, le site est transféré à une organisation américaine, la American Battle Monuments Commission. Elle a pour mission la sauvegarde des lieux mais aussi leur entretien et s’attèle à favoriser la transmission des connaissances grâce à un musée.
Un monument à la mémoire des Rangers est érigé sur le toit du poste d’observation allemand. En forme de dague, cet édifice en granite symbolise le courage de ces soldats qui ont parfois gravi la falaise avec juste leur dague de service. Un message en anglais, et en français, est écrit au pied de la garde : « Aux héroïques commandos des Rangers des compagnies D, E et F du 2e bataillon du 116e régiment d’Infanterie, qui, sous le commandement du lieutenant-colonel James E. Rudder de la 1re Division américaine ont attaqué et pris possession de la Pointe du Hoc ».
Ronald Reagan, président des Etats-Unis d'Amérique, à la Pointe du Hoc, en présence de vétérans pour le 40e anniversire de la bataille.
Chaque année, des temps de commémorations sont organisés sur le site avec parfois des invités particuliers, comme en 1984, lorsque le président américain Ronald Reagan est venu en personne sur le site. En 1954, James Rudder a lui aussi fait un tour sur ce lieu de souvenirs, avec son fils, pour se rappeler ce que ses hommes avaient fait et qu’il qualifie encore de pure folie. En 2020, des hommes du 75e régiment de Rangers ont d’ailleurs recréé l’ascension de la falaise, certains en uniformes d’époque et d’autres avec un équipement moderne.
L’histoire de la bataille de la Pointe du Hoc est également transmise par les œuvres de fictions telles que le film de Ken Annakin, Andrew Marton, Darry F. Zanuck et Bernard Wicky, Le jour le plus long, sorti en 1962.
Anecdote
Parmi les nombreux soldats américains qui ont participé à la bataille, on trouve deux parachutistes de la 101e division aéroportée, les fameux Screaming Eagles (voir à ce titre la série Frères d’armes ou Band of Brothers). Les soldats de première classe Leonard Goodgal et Raymond Crouch faisaient partie d’un largage pour préparer le Débarquement et devaient être largués plus au sud. Malheureusement, ils finissent à la mer lorsque leur avion prit feu et se cracha. Ils sont secourus par les hommes de Rudder, bien surpris de les voir là, et participent aux combats jusqu’à la fin.
Photographie de soldats américains se reposant à la Pointe du Hoc. On peut observer un parachutiste de la 101e Aéroportée (2e à droite,assis). On remarque ses bottes réservées aux parachutistes et le blason des Screaming Eagles (un picargue à tête blanche sur fond noir) derrière l'homme placé devant lui.
Publié par Adrien RASATA, le 06/06/2025
Sources
Ouvrages :
• FALBA B., FABBRI D. et DALLA VECHIA C., Operation Overlord, La Pointe du Hoc, Glénat, Paris, 2016
Articles en lignes :
• Champagne, D. R. (2024, 10 janvier). The Pointe du Hoc Rangers : a Madman’s D-Day Mission. Warfare History Network. [en ligne] Consulté le 4 juin 2025, à l’adresse https://warfarehistorynetwork.com/article/the-pointe-du-hoc-rangers-a-madmans-d-day-mission/
• Johnson, M. (2024, 9 juillet). Rudder’s Rangers and the Boys of Pointe du Hoc : The U.S. Army Rangers’ Mission in the Early Morning Hours of 6 June 1944. The Army Historical Foundation. [en ligne] Consulté le 4 juin 2025, à l’adresse https://armyhistory.org/rudders-rangers-and-the-boys-of-pointe-du-hoc-the-u-s-army-rangers-mission-in-the-early-morning-hours-of-6-june-1944/
• Laurenceau, M. (2025, 1 mars). L’assaut de la pointe du Hoc par les Rangers américains le 6 juin 1944. D-Day Overlord. [en ligne] Consulté le 4 juin 2025, à l’adresse https://www.dday-overlord.com/debarquement-normandie/plages/pointe-du-hoc
• Pacaut, V. (s. d.). Visiter la pointe du hoc. Normandie Tourisme. [en ligne] Consulté le 4 juin 2025, à l’adresse https://www.normandie-tourisme.fr/decouverte/d-day-et-bataille-de-normandie/visiter-la-pointe-du-hoc/
• Roger, D. (2025, 3 avril). Voici pourquoi Utah Beach reste l’un des lieux les plus marquants du Débarquement. Détours En France. [en ligne] Consulté le 4 juin 2025, à l’adresse https://www.detoursenfrance.fr/patrimoine/destinations/regions/normandie/tout-savoir-pour-une-balade-eclairee-sur-les-plages-du-debarquement-1111706
• Tomes, L. (2020). Pointe du hoc memorial. History Hit. [en ligne] Consulté le 4 juin 2025, à l’adresse https://www.historyhit.com/locations/pointe-du-hoc-memorial/
Articles de presse :
• Quellien, J. (2024, 26 mai). 8 juin 1944. À la Pointe du Hoc : les Rangers assiégés. Ouest-France.fr. Ouest-France. [en ligne] Consulté le 04/06/2025 à l’adresse https://www.ouest-france.fr/d-day/histoire-du-debarquement/8-juin-1944-a-la-pointe-du-hoc-les-rangers-assieges-a77dd4fc-d3ea-11ee-b1bc-6aaac57ff91a
Articles Wikipédia :
• Wikipedia contributors. (2025b, avril 13). Pointe du hoc. Wikipedia. [en ligne] Consulté le 4 juin 2025, à l’adresse https://en.wikipedia.org/wiki/Pointe_du_Hoc
• Contributeurs aux projets Wikimedia. (2025b, mars 18). Pointe du hoc. [en ligne] Consulté le 4 juin 2025, à l’adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Pointe_du_Hoc
Vidéos YouTube :
• Capturer les canons ou le jour J sera un bain de sang, par la chaîne Yarnhub, mise en ligne le 11 juin 2024 [en ligne] [visionnée le 04/06/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/hInKZw88DaM
• Episode 39 : POINTE DU HOC, par la chaîne Les Capsules de l’Histoire, mise en ligne le 10 octobre 2024 [en ligne] [visionnée le 04/06/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/Ee5f--YGgDA
• La Pointe du Hoc, par la chaîne Ad Memoriam, mise en ligne le 21 juin 2018 [en ligne] [visionnée le 04/0/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/8VcDQmX-52c
• La Pointe du Hoc – Les Rangers Ouvrent la Voie – 6 juin 1944, par la chaîne Temps de Bataille, mise en ligne le 29 octobre 2024 [en ligne] [visionnée le 04/06/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/3vISHTmYyJE
• The U.S Rangers at Pointe du hoc | History Traveler Episode 53, par la chaîne The History Underground, mise en ligne le 16 avril 2020 [en ligne] [visionnée le 04/06/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/pXsOUdoU4vg
• US Army Rangers climb a cliff while under fire! – Battle of Pointe du Hoc, 1944 – D-Day Landings, par la chaîne HistoryMarche, mise en ligne le 26 août 2023 [en ligne] [visionnée le 04/06/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/kCI8wi6Z5_M
Crédits images :
1) Illustration de Vincent Wai l'ascension de la Pointe du Hoc par les Rangers du lieutenant-colonel James E. Rudder. Disponible sur : https://military-art.blogspot.com/2005/12/2nd-rangers-at-pointe-du-hoc-normandy.html
2) Vue aérienne de la Pointe du Hoc ©Dday-Overlord
3) Des Douglas A-20 en mission de bombardement à la Pointe du Hoc, en mai 1944 ( U.S.Air Force/National Archives). Disponible sur : https://normandie44.canalblog.com/archives/2011/12/25/23045245.html
4) Portrait du lieutenant-colonel James Earl Rudder. Auteur anonyme. Disponible sur : https://bayeuxshuttle.com/james-e-rudder/
5) Plan de bataille pour la Pointe du Hoc. Auteur et source inconnus. Disponible sur : https://d-dayinfo.org/en/landings/pointe-du-hoc/
6) Illustration de ©Howard Gerrard de l'ascension de la Pointe du Hoc par les US Rangers. Disponible sur : https://fr.pinterest.com/pin/19562579617079369/
7) Illustration de l'arrivée des Américains au sommet de la Pointe du Hoc ©Larry Sleman. Disponible sur : https://warfarehistorynetwork.com/article/the-pointe-du-hoc-rangers-a-madmans-d-day-mission/
8) Leonard Lomell et Jack Kuhn sur l'un des canons détruits, pris en photos après les combats. Auteur anonyme. Disponible sur : https://fr.pinterest.com/pin/513832638734269698/
9) Rangers en train de combattre à la Pointe du Hoc (auteur anonyme). Disponible sur : https://county10.com/the-boys-of-pointe-du-hoc-d-day-78-years-later/
10) Prisonniers allemands escortés par les rangers après la conquête de la Pointe du Hoc. Auteur inconnu. Disponible sur : https://normandie44.canalblog.com/archives/2011/12/25/23045245.html
11) Ronald Reagan, président des Etats-Unis d'Amérique, à la Pointe du Hoc, présence de vétérans pour le 40e anniversire de la bataille. Disponible sur : https://www.businessinsider.com/ronald-reagan-pointe-du-hoc-2014-6
12) Photographie de soldats américains se reposant à la Pointe du Hoc. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Soldiers_resting_at_Pointe_du_Hoc.jpg
Ajouter un commentaire