1066 - La bataille d'Hastings
La bataille d’Hastings est un tournant de l’histoire anglaise. Elle est déclenchée par une querelle de succession entre plusieurs prétendants au trône d’Angleterre et se solde par la victoire d’un duc étranger, Guillaume de Normandie. Victoire marquante pour les uns et désastre pour les autres, Hastings marque aussi la fin de l’époque anglo-saxonne en Angleterre et l’avènement de celui que l’on nomme par la suite, Guillaume le Conquérant.
Illustration de la bataille d'Hastings par Peter Dunn
Une querelle pour la succession au trône d’Angleterre
Au début de l’année 1066, le 5 janvier précisément, le roi d’Angleterre Edouard le Confesseur venait de décéder. Il meurt sans enfant. La question de sa succession pose alors un problème car deux personnes prétendent être son successeur. Le premier vient d'Angleterre, Harold Godwinson, comte du Wessex et fils de l’un des grands généraux d’Edouard. Le second est d’au-delà de la Manche, Guillaume, duc de Normandie.
Cette querelle de succession prend sa source en 1051. Edouard n’a toujours pas d’enfant et il voit les ambitions de son beau-père, Godwin, alors le plus grand baron d’Angleterre. Mais Edouard ne l’apprécie pas. Il veut donner la couronne à quelqu’un qu’il juge plus digne et se tourne vers Guillaume de Normandie pour lui succéder. Un choix guidé par les liens du sang. En effet, Edouard est lié à la famille du duc par sa mère, Emma, grand-tante du souverain de Normandie. Une promesse est ainsi faite entre les deux hommes.
En 1064, Harold Godwinson, alors en Francie pour une visite, est alors capturé par le comte Guy de Ponthieu. Grâce à l’entremise de Guillaume, Harold est finalement relâché. Pour remercier son bienfaiteur, il l’accompagne même lors d’une expédition contre les Bretons. Peu avant son départ pour revenir en Angleterre, Harold aurait fait serment à Guillaume de respecter la promesse d’Edouard de faire de lui le roi d’Angleterre. Est-ce vrai ou faux, aucun document ne permet de dire l’un ou l’autre.
Portrait du roi d'Angleterre Edouard le Confesseur dans la tapisserie de Bayeux
Mais lorsqu’Edouard meurt, Harold prend la couronne pour lui et devient roi le lendemain. Selon les juristes anglais, sur son lit de mort, Edouard aurait fait d’Harold son successeur et, selon la règle, le dernier testament, même verbal, surpasse tous les autres. (Per verba novissima « par les ultimes paroles »). Furieux, Guillaume décide de réaffirmer ses prétentions sur le trône en faisant déguerpir l’usurpateur. Il entame alors les préparatifs pour débarquer en Angleterre.
Le débarquement en Angleterre
Dès l’annonce de la succession d’Edouard par Harold, Guillaume fait lever une immense armée. Il recrute des soldats venant de Normandie, de Bretagne, de Flandres et de Francie. Des mercenaires, appâtés par les promesses de fortunes, viennent de toute l’Europe chrétienne, même du Saint Empire romain germanique, voire de Hongrie. Le point de ralliement se trouve à Dives-sur-Mer où une immense flotte de plus de 770 navires pouvant accueillir environ 8 000 hommes et plusieurs milliers de chevaux, suffisamment pour équiper une cavalerie de 1 200 soldats, est assemblée. De là, ils partent plus ou nord, à Saint-Valéry-sur-Somme, pour être plus proches des côtes anglaises.
Le 12 août, les préparatifs sont terminés et Guillaume est prêt à embarquer pour conquérir l’Angleterre. Malheureusement pour lui, la météo n’est pas de son côté. Des vents contraires empêchent le déploiement de la flotte. Il doit attendre pendant plus d’un mois pour prendre la mer. Hasard du destin, la flotte de protection d’Harold, qui patrouillait dans la Manche à ce moment-là, est décommissionnée pendant cette période d’attente. En effet, les soldats anglais ne sont pas des professionnels. Ils sont recrutés pour un temps puis renvoyés à la vie civile. Ne constatant par l’arrivée des Normands, Harold a donc renvoyé sa flotte dans ses ports d’attache.
Le 27 septembre, Guillaume décide enfin de se lancer à l’assaut de l’Angleterre. Le 28, il débarque dans la baie de Pevensey, dans le Sussex. Les récits racontent qu’il aurait trébuché en touchant terre, ce qui, pour ses hommes, était un mauvais présage. Mais le duc se serait relevé avec une poignée de sable dans les mains affirmant qu’il prenait, par ce geste, la terre d’Angleterre. Une fois tous ses hommes débarqués, Guillaume fait renforcer un ancien fort romain afin de protéger sa flotte et se lance dans le pillage de la région, qui se trouve être l’une des possessions personnelles d’Harold.
Illustration du débarquement de Pevensey par ©Emmanuel Cerisier
Un autre concurrent, Harald Hardrada, le roi de Norvège
Pendant que le Normand prépare son armée à débarquer en Angleterre, un autre homme du nord entre dans la course au trône d’Angleterre, Harald Hardrada, dit « le Sévère », le roi de Norvège. Harald s’est allié à Tostig, le comte de Northumbrie et frère d’Harold, qui tenta un coup d’État en 1065 pour prendre le pouvoir à la place de son frère. Contraint à fuir, il se réfugie à la cour du roi de Norvège. Ce dernier, avide de conquêtes, prépare, lui aussi, une immense flotte et prend le large pour l’Angleterre.
Avec plus de 12 000 hommes, Harald et Tostig arrivent en Angleterre par la côte est, à une dizaine de kilomètres de la ville d’York. L’aventure commence par une victoire contre les Anglo-Saxons à Fulford Gate, le 20 septembre, mais Harold arrive avec une autre armée où se trouve sa troupe d’élite des housecarls (des soldats professionnels lourdement protégés derrière une cotte de mailles, un imposant casque avec protection nasale, et armés d’une hache à deux mains capable de décapiter un cheval au galop et tranchant le cavalier par la même occasion.
Le 25 septembre, le Norvégien et l’Anglais se font face à Stamford Bridge. Harold prend par surprise les Norvégiens et la bataille se termine en massacre. Les troupes d’Harald sont décimées Le roi et son allié Tostig périssent dans les combats. Le début du règne d’Harold commence donc par une éclatante victoire. Alors que ses hommes reprennent leur force, il apprend l’arrivée de Guillaume sur ses côtes. Il entame donc immédiatement son retour à Londres.
Tableau de Peter Nicolai Arbo, La bataille de Stamford Bridge, 1870. On y voit Harald Hardrada tué par une flèche
La bataille d'Hastings
Le 6 octobre, Harold est à Londres. Il convoque le fyrd, la milice issue de paysans appelés lors de la levée générale dans tous les comtés (shire) des environs. Ils sont peu armés, avec une simple lance et un bouclier pour la plupart, et peu entraînés. Ils sont, malgré tout, près de 6 000, auxquels s’ajoutent un millier de housecarls. Le 13 octobre, il prend position sur la colline Caldebec (Caldebec Hill), à quelques kilomètres du village d’Hastings où campait l’armée de Guillaume.
Plan de la bataille d'Hastings
Le Normand avait envoyé plusieurs éclaireurs dans la région ; lorsqu’il apprend l’arrivée de son ennemi, il rassemble ses hommes et part à sa rencontre. Pour le contrer, Harold prend position sur une autre colline, celle que l’on appelle, a posteriori, Senlac (le lac de sang). Le roi d’Angleterre a positionné ses meilleures troupes en première ligne avec des éléments de ses milices pour combler les vides. Il ne possède pas d’archers car la plupart ont été tués à Stamford Bridge ; ce n’était pas dans la culture militaire locale de les utiliser. Il compte donc sur sa position en hauteur pour ralentir ses ennemis et amortir le choc de la cavalerie. Face aux fantassins d’Harold, Guillaume peut, lui, compter sur une imposante cavalerie lourde, dont les exploits dans la conquête de la Sicile, dans les années 1050, avaient participé à créer la légende. Protégés grâce une cotte de mailles et un grand bouclier en amande, les cavaliers pouvaient foncer sur l’ennemi avec leur lance calée sous le bras et dévaster les rangs en face. Placés en troisième ligne, ils sont devancés par les gens d’armes, les fantassins équipés de manière disparate et, enfin, les armes de traits en première ligne comprenant des archers et des arbalétriers. Guillaume a fait placer ses Normands au centre, les Bretons à gauche et le reste, Francs, Flamands et autres Européens, à droite. Parmi les chevaliers qui participent à l’opération, de grands noms sont aujourd’hui connus comme Odon, évêque de Bayeux et demi-frère de Guillaume, ou encore le comte de Boulogne Eustache ainsi que Robert Montgomerie. Les clercs, bien qu’ayant refusé de porter des épées et de verser le sang, utilisaient des armes comme des massues pour participer aux batailles. Ces armes étaient tolérées car elles ne se résumaient pas à percer ou trancher le corps. Il s’agissait d’une pratique courante jusqu’au XIIe-XIIIe siècle.
La bataille commence tôt le matin, vers 9h00. Plusieurs versions existent concernant le début des hostilités. L’une d’elles, impressionnante mais peu vérifiable, raconte l’exploit du ménestrel Taillefer (ou Ivo Taillefer). C’est un soldat aguerri mais également un jongleur d’exception. Il attise le moral des Normands en jonglant avec son épée tout en récitant les vers de la Chanson de Roland, l’un des grands poèmes épiques du Haut Moyen Âge. Lorsqu’il a terminé, il se lance seul à l’assaut des troupes anglaises. Plusieurs soldats anglo-saxons sortent des rangs pour l’arrêter mais finissent tous par être vaincus. Ce n’est que lorsqu’il arrive au niveau du reste des Anglais qu’il est tué, laissant derrière lui une empreinte indélébile du courage normand. Enfin, c’est la légende.
Illustration de la bataille d'Hastings par ©Jason Askew
Là où les historiens s’accordent, c’est lorsque les archers et arbalétriers normands entament le combat en envoyant plusieurs volées de flèches qui viennent se ficher dans les boucliers anglais, faisant très peu de victimes. Devant ce manque d’efficacité, Guillaume fait envoyer ses fantassins. À quelques mètres avant d’arriver, ils reçoivent une pluie de javelots qui tuent de nombreux soldats. Mais plus que cela, les Anglais ont formé un mur de boucliers, compact et résistant, qui repousse les assauts des Normands. Vaincus, ils reculent. Alors qu’ils s’en vont, les Anglais exultent, exprimant un moral sans limite, renforcé par les acclamations du roi Harold. Pour prendre sa revanche, Guillaume envoie toute sa cavalerie. Mais cette dernière ne fait pas mieux. Les chevaux se fatiguent à grimper la colline et le mur de boucliers est impénétrable. Les Normands se retirent encore et lancent plusieurs vagues d’assaut pour affaiblir les Anglais.
À force de combattre, le moral d’une partie des troupes normandes faiblit. C’est en particulier le cas pour les Bretons sur le flanc gauche. Ces derniers se retirent et lorsqu’ils entendent une rumeur disant que Guillaume venait d’être tué, ils prennent leurs jambes à leur cou, emmenant avec eux une partie des soldats Anglo-Saxons qui les prennent en chasse. Pour sauver son flanc, Guillaume accourt avec son cheval après avoir enlevé son casque pour découvrir son visage et montrer à ses soldats qu’il était toujours en vie. Une contre-attaque est alors lancée. Elle parvient à anéantir les Anglo-Saxons qui étaient sortis du rang, tout en stoppant une autre avancée, au centre et à l’est, qui tentait de soutenir les Anglo-Saxons. Elle était menée par les propres frères du roi, Leofwine et Gyrth. Malheureusement pour eux, les troupes normandes parviennent à résister et reprennent l’avantage. Les deux commandants sont tués lors de cette contre-offensive. L’armée d’Harold est désormais affaiblie. Ses rangs s’amenuisent et il vient de perdre des officiers précieux. Il garde malgré tout l’avantage de la situation. Les troupes de Guillaume sont aussi fatiguées et il sait que s’il n’obtient pas la victoire avant la tombée de la nuit, ses plans de conquête de l’Angleterre pourraient être anéantis.
Illustration d'un assaut de cavaliers normands sur la colline de Senlac. Tapisserie de Bayeux
Au milieu de l’après-midi, les deux armées se retrouvent pour un nouvel échange. Elles se sont mises en une seule rangée et s’affrontent dans un combat à mort d’une grande violence. C’est cependant dans cet affrontement que les choses changent. L’aile gauche de Guillaume plie une nouvelle fois et se retire. Elle emporte avec elle, encore une fois, une partie de l’aile droite anglaise. Mais il s’agit d’une feinte. Les Normands espèrent attirer un groupe suffisamment important d’Anglo-Saxons pour pouvoir les anéantir, petits groupes par petits groupes. Guillaume peut pour cela compter sur l’inexpérience des miliciens qui ne se doutent pas du stratagème. Les housecarls, trop peu nombreux, n’arrivent pas à contenir l’énergie des autres fantassins et sont happés par le groupe. La manœuvre des hommes de Guillaume fonctionne et, rapidement, cette partie du champ de bataille tombe aux mains des Normands.
Illustration de la bataille d'Hastings par ©Emmanuel Cerisier
Afin de soutenir ses soldats, Guillaume fait avancer ses archers pour qu’ils fassent pleuvoir des volées de flèches sur les troupes désorganisées d’Harold. Incapables de se protéger et de combattre, les Anglo-Saxons subissent de lourdes pertes. Guillaume lance une nouvelle charge de cavalerie dont il prend la tête. Il parvient à enfoncer la ligne anglo-saxonne et se retrouve à proximité d’Harold. Bien qu’entouré par ses housecarls, le roi d’Angleterre est au cœur de la mêlée et combat comme un lion. Malheureusement, il est touché par une flèche à l’œil et il tombe sous les coups des cavaliers de Guillaume. Peut-être ce dernier a-t-il participé à la mise à mort du roi, les chroniques ne permettent pas de le dire.
Une fois la mort du roi confirmée, les troupes anglo-saxonnes se débandent et s’enfuient. La plupart des hommes d’Harold sont tués dans cette fuite, notamment la quasi-totalité des housecarls. Guillaume vient de vaincre son ennemi. Il a désormais le champ libre pour marcher sur Londres.
Guillaume de Normandie devient Guillaume le Conquérant
La bataille d’Hastings fut douloureuse pour les deux camps. On ne connaît pas les pertes précises mais les historiens conviennent qu’entre 5 et 6 000 hommes, au total, ont donné leur vie sur la colline Senlac. En souvenir de cette bataille, Guillaume ordonne la construction d’une abbaye sur place, inaugurée par son fils Guillaume II en 1094. Elle se fait appeler, à ce titre, Battle.
Bien que le roi Harold soit mort, les portes de l’Angleterre ne s’ouvrent pas pour Guillaume. Le grand conseil anglo-saxon, le witan, a déjà élu un nouveau roi, Edgar Atheling. Dans sa marche sur Londres, Guillaume prend de nombreuses villes comme Cantorbéry et gagne plusieurs batailles contre les soutiens d’Edgar. Mais avec le temps, la résistance s’épuise et abandonne. Londres abdique et le 25 décembre 1066, Guillaume est sacré roi d’Angleterre par l’archevêque Albert d’York à l’abbaye de Westminster. Il a réussi à conquérir ce royaume, dépassant ainsi les prétentions des autres souverains.
Même s’il est roi, il doit faire face aux révoltes des grands seigneurs anglais. Pour protéger et contrôler le pays, il fait construire un immense réseau de forteresses à travers le pays. La première de cette série est la future Tour de Londres. Il transforme l’administration en remplaçant une partie des seigneurs terriens anglais par des compatriotes normands et changent les méthodes administratives avec l’utilisation plus prononcée des registres et de la justice à la normande. L’un de ces registres les plus célèbres est le Domesday Book, écrit en 1086. Il recense toutes les propriétés foncières d’Angleterre. L’Angleterre est ainsi, d’une certaine façon, francisée. La langue du pouvoir devient le normand, c’est-à-dire le franc. Les conséquences de cette métamorphose de l’Angleterre vont se voir jusqu’à la fin du XIVe siècle avec la guerre de Cent Ans. Ce n’est qu’à ce moment-là que les élites anglaises commencent à développer, ou plutôt redévelopper, la langue anglaise et une culture purement anglaise, autour d’une première forme de nationalisme.
Gravure colorisée du couronnement de Guillaume Ier d'Angleterre
De son côté, Guillaume est bien venu en Angleterre en tant que conquérant. À peine sa victoire sur Atheling entérinée qu’il retourne en Normandie dès mars 1067. Il réalise d’autres voyages en Angleterre mais séjourne principalement dans sa Normandie natale. À sa mort en 1087, il sépare ses terres en deux. D’un côté, la Normandie revient à son fils aîné, Robert Courteheuse, de l’autre, l’Angleterre pour son cadet, Guillaume II.
La tapisserie de Bayeux
L’histoire de la bataille d’Hastings et de la conquête de l’Angleterre par Guillaume nous sont rapportées par des chroniqueurs mais aussi par la tapisserie de Bayeux. En réalité une broderie, elle retrace l’ensemble du parcours de Guillaume depuis 1064 jusqu’à Hastings. Elle fut réalisée entre 1066 et 1083 à la demande de l'épouse de Guillaume, Mathilde et de son demi-frère Odon de Bayeux. Elle présente des centaines de personnages, d’animaux, de décors et d’objets pour raconter cette histoire, sur une longueur de près de 68 mètres. Cependant, il s’agit d’une œuvre de propagande, à la gloire du duc de Normandie. Malgré la mise en scène, on y découvre des scènes de vie qui aident grandement l’historien à comprendre la période. La tapisserie reste sujette à précaution. La mort d’Harold par exemple, est difficile à déterminer car sur le panneau la représentant, deux soldats sont indistinctement présentés sous le nom « Harold » (voir ci-dessous). L’un a une flèche dans l’œil mais est-ce vraiment lui ? Malgré les doutes concernant sa véracité, la tapisserie de Bayeux est depuis entrée dans le patrimoine mondial de l’UNESCO et continue de faire rêver les amateurs de récits sur la Normandie et les Normands.
Episode de la mort d'Harold sur la tapiserie de Bayeux
Publié par Adrien RASATA, le 24/05/2025
Sources
Articles et ouvrages :
• Coz, Y. (2011). Hastings, 1066 : la plus longue bataille. L’Histoire, 370, 82 87. L’histoire.fr. [en ligne] Consulté le 24/05/2025 à l’adresse https://www.lhistoire.fr/hastings-1066-la-plus-longue-bataille
Articles internet :
• Bayeux Museum. (2021, 24 juin). La Bataille d’Hastings - Bayeux Museum. [en lign] Consulté le 24 mai 2025, à l’adresse https://www.bayeuxmuseum.com/la-tapisserie-de-bayeux/decouvrir-la-tapisserie-de-bayeux/la-bataille-hastings/
• Bonhomme, M. (2025, 13 mars). Pourquoi la bataille de Hastings est-elle considérée comme décisive ? Futura. [en ligne] Consulté le 24 mai 2025, à l’adresse https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/moyen-age-bataille-hastings-elle-consideree-comme-decisive-22043/
• British Battles. (s. d.). Battle of Hastings. British Battles. [en ligne] Consulté le 24 mai 2025, à l’adresse https://www.britishbattles.com/norman-conquest/battle-of-hastings/
• Cartwright, M. (2019, janvier 11). Bataille d'Hastings [Battle of Hastings]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-17034/bataille-dhastings/
• Jeanneteau, S. (2014). La Bataille d’Hastings (1066) : La Conquête Normande de l’Angleterre. Hist-europe.com. [en ligne] Consulté le 24 mai 2025, à l’adresse https://www.hist-europe.com/les-batailles-%C3%A9piques-1-1/la-bataille-d-hastings-1066
• Ninon du Plessy. (2022, 29 novembre). Bataille d’Hastings (14 octobre 1066). Historie-pour-Tous. [en ligne] Consulté le 24 mai 2025, à l’adresse https://www.histoire-pour-tous.fr/batailles/5685-bataille-d-hastings-14-octobre-1066.html
Vidéos YouTube :
• Battle of Hastings. Animated film., par la chaîne 3D battlefield reconstruction, mise en ligne le 18 août 2022 [en ligne] [visionnée le 24/05/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/lTBX1nAwNa4
• Battle of Hastings Reenactment, par la chaîne Alex The History Guy, mise en ligne le 15 octobre 2024 [en ligne] [visionnée le 24/05/225]. Disponible sur : https://youtu.be/A39hO7moT2M
• De cavalier à chevalier : La Bataille d’Hastings (1066), par la chaîne Sur le champ, mise en ligne le 19 août 2024 [en ligne] [visionnée le 24/05/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/wD7mU9gbyN8
• Hastings 1066 – Normans vs. Anglo-Saxons DOCUMENTARY, par la chaîne Kings and Generals, mise en ligne le 15 novembre 2020 [en ligne] [visionnée le 24/05/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/jB47xpnJzE0
• La Bataille d’Hastings- 14 octobre 1066, par la chaîne lgb lesgrandesbatailles, mise en ligne le 25 mars 2018 [en ligne] [visionnée le 24/05/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/Zqj0bagpGF0
• The Battle of Hastings 1066 – The Normans – BBC, par la chaîne BBC, mise en ligne le 3 août 2010 [en ligne] [visionnée le 24/05/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/oLy1LskT6Y8
• The Brutal Battle That Killed King Harold of England, par la chaîne Smithsonian Channel, mise en ligne le 13 novembre 2018 [en ligne] [visionnée le 24/05/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/jurwgaFyuLU
Crédits images :
1) Illustration de la bataille d’Hasting par ©Peter Dunn. Disponible sur : https://www.sciencephoto.fr/image/13755793-Battle-of-Hastings-1066-illustration
2) Extrait de la tapisserie de Bayeux avec Edouard le Confesseur. Disponible sur : https://anglotopia.net/british-history/monarchs-edward-confessor/
3) Illustration du débarquement de Guillaume à Pevensey par ©Emmanuel Cerisier. Disponible sur : https://ecerisier.canalblog.com/archives/2013/11/03/28352261.html
4) Tableau de Peter Nicolai Arbo, La bataille de Stamford Bridge, 1870. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:Arbo_-_Battle_of_Stamford_Bridge_(1870).jpg
5) Plan de la bataille d’Hastings. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Battle_of_Hastings-fr.svg
6) Illustration de la bataille d'Hastings par ©Jason Askew. Disponible sur : https://www.sciencephoto.fr/image/14078812-Battle-of-Hastings-illustration
7) Illustration de la bataille d’Hastings par ©Emmanuel Cerisier. Disponible sur : https://ecerisier.canalblog.com/archives/2013/11/03/28352261.html
8) Illustration d'un assaut de cavaliers normands sur la colline de Senlac. Tapisserie de Bayeux
9) Gravure colorisée du couronnement de Guillaume Ier d'Angleterre. Disponible sur : https://www.amazon.com.tr/Conqueror-1027-1087-1066-1087-Coronation-Westminster/dp/B07C8C8SSJ
10) Episode de la mort d'Harold sur la tapiserie de Bayeux. Disponible sur : https://arthisto.fr/guillaume-le-conquerant-star-de-la-tapisserie-de-bayeux/
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