69 - Année des quatre empereurs
L’année des quatre empereurs est une particularité de l’histoire de l’Empire romain. Après la fin du règne de Néron en 68, l’Empire entre dans une période d’instabilités politiques qui voit se succéder quatre empereurs dont trois renversés dans le sang et la destruction. Elle marque aussi la transition dynastique entre les Julio-Claudiens (27 av J.-C. – 68), dynastie d’Auguste, et celle des Flaviens (69 – 96).
Pièces d'or (aureus ou aurei au pluriel) représentant les quatre empereurs de l'année 69. Dans le sens des aiguilles du montre : Galba (haut à gauche), Othon, Vitellius et Vespasien
La fin tumultueuse du règne de Néron
La fin du règne de Néron est marquée par plusieurs scandales et événements marquants comme l’incendie de 64 qui a ravagé une partie de Rome, l’exécution de sa mère et de sa première femme Octavia. De plus, la gestion des dépenses de l’empire n’est pas au goût des sénateurs et de la population. Néron se concentrait en effet davantage sur les arts que sur les questions politiques et économiques.
L’année 68 a aussi sa part d’événements en commençant par la révolte de plusieurs gouverneurs contre le pouvoir de Néron. En Gaule lyonnaise, Caius Julius Vindex se soulève et obtient le soutien du gouverneur de Tarraconaise, en actuelle Espagne, Servius Sulpicius Galba. Au même moment, une autre révolte, en Égypte, par Lucius Clodius Macer paralyse l’empire en stoppant les approvisionnement en grains. En Gaule, l’insurrection de Vindex est matée en mai par les armées de Germanie à Vesontio, près de Besançon. En Espagne, Galba poursuit sa révolte et il est même acclamé comme nouvel empereur par ses troupes. Mais pour éviter d’attirer trop l’attention, il préfère le titre de Lieutenant du Sénat et du peuple romain, octroyé par le Sénat lui-même.
Buste de Néron. Musée du Capitole, Rome
À Rome, le peuple s’agite et les actions de Néron finissent par le faire désigner comme ennemi public. L’empereur a perdu tout soutien, même celui de la garde prétorienne, sa garde rapprochée, qui rallie le camp de Galba après que ce dernier aurait promis une récompense en or, un donativum. Acculé, Néron est contraint de quitter Rome pour sa sécurité en juin 68 et se suicide le 9 en se transperçant la gorge d’un glaive. Néron s’éteint et avec lui prend fin la dynastie des Julio-claudiens, instaurée par Auguste, le premier empereur en 27 avant notre ère.
L'arrivée au pouvoir du premier des quatre empereurs, Galba (juin 68 - janvier 69)
Buste de Galba. Musée des Antiquités Gustav III, Stockholm, Suède.
Dès la mort de Néron annoncée, Galba est désigné comme nouvel empereur par le Sénat et prend la route de Rome. Il est cependant accueilli au porte de la ville en octobre par une légion levée par Néron. Après un dur combat avec les troupes de Galba, les néroniens sont vaincus et Galba décide de les décimer. La décimation était une punition qui voulait qu’un soldat sur dix soit exécuté par les siens. Dès le début de son règne, Galba marque le ton par rapport à son prédécesseur.
Une fois installé, Galba débute une politique d’austérité, économique mais aussi culturelle. Il diminue les privilèges des sénateurs, arrête le financement des jeux et activités artistiques, prétextant une perte de temps, les soutiens de Néron sont exécutés et plusieurs exécutions sommaires ont lieu à Rome. Il refuse aussi de payer le donativum promis aux prétoriens, arguant qu’il préfère que ses troupes soient volontaires plutôt qu’achetées. Bien que le Sénat ait pensé que Galba était apte à gouverner, ses fonctions de consuls et gouverneurs en Germanie, en Afrique et en Espagne le laissaient entendre, ses mesures conservatrices lui valent le désamour des sénateurs et du peuple.
Les soutiens de Galba fondent comme neige au soleil. Dans les provinces germaniques, les légions élisent une nouvel empereur, Aulus Vitellius, en janvier 69, qui, ironie de l’histoire, fut nommé là-bas par Galba. Vitellius, fort du soutien des légions, prend alors la route de Rome. Dans la capitale de l’empire, Galba perd l’un de ses proches conseillers, Marcus Sulvius Otho, dit Othon. Alors gouverneur de Lusitanie en 68, il avait rejoint la cause de Galba après que Néron ait décidé de prendre pour nouvelle épouse la femme d’Othon, Poppée. Pour ses loyaux services, Othon espérait être fait héritier de Galba. Celui-ci était alors âgé de 70 ans et n’avait pas d’enfant, mais il n’en fut rien. L’empereur décida plutôt d’adopter Lucius Calpurnius Piso (dit Pison et petit-fils de Pison, l’un des conspirateurs ayant cherché à assassiner Néron en 65). Son choix fait basculer Othon qui décide d’organiser la déchéance de Galba. Pour ce faire, il achète le soutien de la garde prétorienne, déjà en froid avec Galba.
Le 15 janvier 69, alors que Galba et Pison sont de sortie dans les rues de Rome, ils sont pris à partie par des soldats et des membres de la garde prétorienne et assassinés sur le forum romain. L’instigateur de la conspiration est alors acclamé par le Sénat comme nouvel empereur.
Assassinat de Galba par des soldats (image générée par une intelligence artificielle). ©CTUH
La prise de pouvoir d'Othon (15 janvier - 16 avril)
Tout comme Galba, Othon n’est pas un inconnu dans le politique. Il a côtoyé le pouvoir du temps de Néron et sa fonction de gouverneur de Lusitanie l’a formé à la politique. Contrairement à son prédécesseur, Othon prend bien soin de récompenser les prétoriens. Cependant, son règne est menacé par Vitellius qui a continué sa marche sur Rome malgré la mort de Galba. Les armées de Germanie, commandées par deux officiers de renoms, Cæcina et Valens, sont déjà aux portes des Alpes quand Othon obtient le titre impérial. Des négociations sont organisées par Othon mais lorsque ces dernières n’aboutissent à rien et que la guerre civile est aux portes de Rome, il lève une armée à son tour et se dirige vers le nord de l’Italie pour faire face aux forces de Vitellius en mars 69.
La rencontre entre les deux armées se passent près de Crémone, à la bataille de Bedriacum (aujourd’hui Bédriac), le 14 avril 69. Vitellius attaque avec deux armées, celle de Cæcina, venue du nord, et celle de Valens, arrivant avec un peu de retard par le sud des Alpes. Ces deux armées comptabilisent en tout 70 000 hommes, trois légions (I Italica, V Alaudae et XX Rapax). En face d’eux, Othon peut compter sur 50 000 hommes répartis elles aussi en trois légions (I Adiutrix, XI Claudia et XIII Gemina) ainsi que des membres de la garde prétorienne et de gladiateurs. Othon est soutenu par un général talentueux, Gaius Suetonius Paulinus, qui s’est illustré dans la répression de la révolte de Boudicca en Grande-Bretagne en 60 et sous le commandement général de Lucius Salvius Otho Titianus, frère d’Othon.
Buste d'Othon. Palais Palazzo Medici-Riccardi, Florence, Italie
Illustration de la bataille de Bedriacum, 14 avril 69, par Sean O'Brogain
Les premiers affrontements consistent en de petites escarmouches aux environs de Bedriacum, remportés par les troupes d’Othon le 13 avril. Le 14, sous les ordres de Titianus, les troupes d’Othon marchent sur Crémone où les attendent Cæcina et Valens. La bataille de Bedriacum fut longue mais les troupes d’Othon, fatiguées par la marche et en infériorité numérique, se débandent et fuient vers Bedriacum avant de se rendre. La bataille a fait près de 40 000 morts et lorsque cette information atteint Othon, installé à Brixellum, non loin de là, il s’effondre. Il décide, afin de préserver plus de vies romaines et d’épargner à Rome les tourments de la guerre civile, de se suicider, le 16 avril, après seulement 3 mois de règne.
Vitellius, le troisième empereur (16 avril - 22 décembre)
Buste prétendu de Vitellius. Collection Grimani, Venise, Italie
Désormais débarrassé de son dernier concurrent, Vitellius est nommé empereur de Rome, de facto, par le Sénat. Resté en Gaule durant la bataille de Bedriacum, il arrive à Rome et déjà, il doit faire avec une opinion négative de la part des Romains. En effet, la route vers Rome est jonchée des cadavres et des exactions des vitelliens sur les civils. Dès que ces derniers refusaient de complaire aux ordres de Vitellius, ils étaient exécutés. Pire encore, en passant devant Bedriacum, il refuse que les honneurs funèbres soient donnés aux morts, un rite pourtant obligatoire dans la religion romaine.
Vitellius se rend aussi très impopulaire par son comportement une fois sur le trône impérial. Il festoie sans considération, donne des pots-de-vin aux fonctionnaires et hommes politique et n’hésitent pas à exécuter ceux qui lui déplaisent. Ses méfaits sont à ce titre entrés dans l’histoire grâce à la plume des auteurs comme Tacite qui n’hésite pas à mettre en avant son poids excessif, visible aussi dans les bustes à son effigie, sa gloutonnerie, sa lubricité, etc., autant de pêchers qui ne siéent guère à la figure d’un empereur selon les standards romains.
Très vite, en juillet, son pouvoir est remis en question par un autre général, cette fois dans l’est de l’empire, Vespasien. Ce dernier gouvernait la Judée, alors en proie à une rébellion des juifs depuis 66. Vespasien est en outre soutenu par les provinces d’Égypte, de Syrie, de Mésie, de Pannonie et d’Illyrie, soit près d’un tiers des provinces de l’empire. Les troupes du Danube (Pannonie et Illyrie), avec l’accord de Vespasien et sous le commandement de Marcus Antonius Primus, décident à leur tour de marcher sur Rome à l’automne 69.
Empire romain en 69. Provinces en faveur de Galba (marron), Othon (bleu clair), Vitellius (grises) et Vespasien (bleu foncé)
La situation devient de plus en plus critique pour Vitellius. Valens tombe grièvement malade et ne peut pas conduire son armée. Cæcina, quant à lui, rallie finalement le camp de Vespasien. Ce dernier comptait rejoindre le port de Ravenne pour ensuite partir pour la Judée et parvenir jusqu’à Vespasien. Mais il n’est pas suivi par ses troupes et emprisonné.
Le 24 octobre, les vitelliens rencontrent les troupes de Primus à Crémone (on parle aussi de seconde bataille de Bedriacum, le lieu étant presque le même) où ils sont cette fois vaincus. La nouvelle de la défaite et de la reddition d’une armée de renfort crée un intense climat d’instabilités à Rome. Vitellius est poussé à l’abdication par le préfet de la ville Titus Flavius Sabinus, qui se trouve être le frère de Vespasien. C’est alors que les troupes de Vitellius à Rome décident de créer un soulèvement général pour sauver Vitellius. S’il venait à tomber, qui sait ce qu’il adviendrait des hommes qui l’avaient mis sur le trône. En décembre, les vitelliens s’attaquent à Sabinus et aux partisans de Vespasien dans Rome. Ces derniers se réfugient sur le Capitole, l’une des collines de Rome et où se trouve le temple de Jupiter. Sabinus n’échappe malheureusement pas à ses assiégeants mais parmi les assiégés, se trouvait aussi le fils cadet de Vespasien, Domitien, qui parvient miraculeusement à trouver refuge dans le temple de Jupiter et survit à son incendie déclenché le 19 décembre par les vitelliens.
Mort de l'empereur Vitellius par Gustave Housez, 1847
Le 22 décembre, face à l’avancée inexorable de Primus, Vitellius décide de fuir Rome. Il se déguise et tente de passer incognito par l’une des portes de la ville. Il est malgré tout reconnu et trainé dans la rue par des soldats et des passants. Son corps est mutilé, il est lynché par la foule et finalement décapité. Sa tête est promenée dans la ville et son corps jeté dans le Tibre.
Vespasien et la fin de l'année des quatre empereurs (22 décembre 69 - 23 juin 79)
Buste de Vespasien. D'après un original du Louvre, Paris, France
L’année des quatre empereurs touche à sa fin avec l’arrivée au pouvoir de Vespasien. Occupé à mater la révolte des juifs en Judée, il n’arrive sur le trône qu’en septembre 70. Entre temps, c’est son fils Domitien qui occupe le trône. Son aîné, Titus, est avec son père en Judée.
Titus Flavius Vespasianus (dit Vespasien) n’est pas un parvenu arrivé miraculeusement sur le trône impérial. Il s’est très tôt illustré au sein de la haute société, notamment après sa participation à la conquête de la Bretagne sous l’empereur Claude et après son gouvernement en Afrique. Sous Néron, Vespasien est un habitué de la cour. Il est cependant tombé en disgrâce après avoir osé dormir lors d’un récital de l’empereur et s’exile pour échapper à la mort. En 66, il est rappelé par Néron pour commander la répression de la révolte juive en Judée après la mort du gouverneur local. Vespasien rencontre plusieurs succès sur place et pour les légionnaires et sénateurs, c’est un signe de compétence. En septembre 70, il revient à Rome en général vainqueur après la capitulation de Jérusalem.
Une fois sur le trône, Vespasien inaugure un règne marqué par le retour à la stabilité. Il embellit Rome, ramène les jeux dans le quotidien des Romains et remplit les caisses de l’empire avec des taxes parfois étonnantes comme celle sur l’urine des latrines. Son règne est couronné par la construction du Colisée en 79, symbolique sans commune mesure de la grandeur de Rome et de son exceptionnel ingéniosité. Le règne de Vespasien inaugure, enfin, l’arrivée de la première dynastie après la fin des Julio-Claudiens, celle des Flaviens, poursuivie par ses fils Titus (79 – 81) et Domitien (81 – 96).
Une fois sur le trône, Vespasien inaugure un règne marqué par le retour à la stabilité. Il embellit Rome, ramène les jeux dans le quotidien des Romains et remplit les caisses de l’empire avec des taxes parfois étonnantes comme celle sur l’urine des latrines. Son règne est couronné par la construction du Colisée en 79, symbolique sans commune mesure de la grandeur de Rome et de son exceptionnel ingéniosité. Le règne de Vespasien inaugure, enfin, l’arrivée de la première dynastie après la fin des Julio-Claudiens, celle des Flaviens, poursuivie par ses fils Titus (79 – 81) et Domitien (81 – 96).
Publié par Adrien RASATA le 16/11/2024
Sources
Articles internet :
• The Year of the Four Roman Emperors Explained. (s. d.). History Skills. [en ligne] Consulté le 15 novembre 2024, à l’adresse https://www.historyskills.com/classroom/ancient-history/anc-4-emperors-reading/
• Cavalier, T. (2024, 2 mai). L’année des quatre empereurs (68-69). César Culture G - Blog. [en ligne] Consulté le 15 novembre 2024, à l’adresse https://cesarcultureg.com/annee-des-quatre-empereurs
• Cnaudin. (2023, 14 février). Vespasien, empereur romain (69-79). Histoire-pour-tous. [en ligne]Consulté le 15 novembre 2024, à l’adresse https://www.histoire-pour-tous.fr/dossiers/3613-vespasien-empereur-romain-69-79.html
• Kamil, M.,(2023, 27 novembre). The Year of the Four Emperors, Ancient Rome& # 039 ; s Epic Saga. Ancient Origins Reconstructing The Story Of Humanity’s Past. [en ligne] Consulté le 15 novembre 2024, à l’adresse https://www.ancient-origins.net/history-famous-people/year-four-emperors-002052
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• Monteil, P. (s. d.). L’année des quatre Empereurs (69). Histoire-fr.com. [en ligne] Consulté le 15 novembre 2024, à l’adresse http://www.histoire-fr.com/rome_haut_empire_3.htm
• Neyret, E. (2024, août 17). Trahison, suicide, guerre civile : comment l’Année des 4 empereurs a plongé Rome dans l’instabilité au Ier siècle. Historia.fr. [en ligne] Consulté le 15 novembre 2024, à l’adresse https://www.historia.fr/histoire-du-monde/europe-de-l-ouest/trahison-suicide-guerre-civile-comment-lannee-des-4-empereurs-a-plonge-rome-dans-linstabilite-au-ier-siecle-2113690
• Vermeulen, M. (2023, 13 septembre). Year of the Four Emperors : A Complete Overview. TheCollector. [en ligne] Consulté le 15 novembre 2024, à l’adresse https://www.thecollector.com/year-of-the-four-emperors-overview/
• Wasson, D. L. (2021, avril 15). Année des Quatre Empereurs et Perte de Quatre Légions Romaines [The Year of the Four Emperors & the Demise of Four Roman Legions]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1724/annee-des-quatre-empereurs-et-perte-de-quatre-legi/
Article Wikipédia :
• Contributeurs au projet Wikimédia. (2024, 9 octobre). Année des quatre empereurs — Wikipédia. Wikipédia. [en ligne] Consulté le 15 novembre 2024, à l’adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Année_des_quatre_empereurs
Vidéos YouTube :
• 08. L’Année des quatre empereurs (Galba, Othon, Vitellius, Vespasien), par la chaîne CAPVT MVNDI, mise en ligne le 8 novembre 2023 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/eYij9x50apM
• Histoire des Empereurs Romains #6 : De Galba à Vespasien, l’Année des quatre Empereurs (68/69), par la chaîne Temps Anciens, mise en ligne le 15 novembre 2023 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/bRHo1IUsxeA
• L’année des 4 Empereurs, la Guerre Civile à Rome !, par la chaîne Minutes d’Histoire, mise en ligne le 20 février 2023 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/S3EyQSeEedg
• Les métamorphoses de l’empire (#2) : l’Année des 4 Empereurs, première date symbolique, par la chaîne William Mallowney, mise en ligne le 24 mai 2023 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/TRQEv2LGV4I
• Life of Emperor Galba #6 – The Oldest Emperor, Roman History Documentary Series, par la chaîne The SPQR Historian, mise en ligne le 8 août 2019 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/OYmoEvx8ZSQ
• Life of Emperor Otho #7 – The Shortest Reigning Roman Emperor, Roman History Documentary Series, par la chaîe The SPQR Historian, mise en ligne le 5 novembre 2019 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/e25mCkmh3Bw
• Life of Emperor Vitellius #8 – The Gluttonous Emperor, Roman History Documentary Series, par la chaîne The SPQR Historian, mise en ligne le 19 novembre 2019 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/Q_7B1sQCZOM
• Vespasien : l’empereur qui apporta stabilité et prospérité à Rome – Les Empereurs Romains, par la chaîne Histoire et Mythologie en BD, mise en ligne le 12 décembre 2022 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/k0gxWMyj3UM
• The Year of the Four Emperors Explained, par la chaîne World History Encyclopedia, mise en ligne le 6 juin 2023 [en ligne] [visionnée le 15/11/2024]. Disponible sur : https://youtu.be/2NzYZct8qpk
Crédits images :
1) Aurei des empereurs Galba, Othon, Vitellius et Vespasien. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Year_of_the_Four_Emperors.jpg
2) Buste de Néron. Musée du Capitole. Rome. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Nero_1.JPG
3) Buste de Galba. Musée des Antiquités Gustave III à Stockholm, Suède. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Roman_emperor_Galba,_Gustav_III%27s_Museum_of_Antiquities,_Stockholm_(20)_(35867773310)_edited.jpg
4) Illustration de l’assassinat de Galba par des soldats. Image générée par intelligence artificielle grâce au logiciel Freepik pour cet article.
5) Buste d’Othon. Palais Médici-Riccardi à Florence. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Arte_classicista,_busto_di_ottone,_XVI-XVII_sec_03.JPG
6) Illustration de la bataille de Bedriacum, 14 avril 69, par Sean O'Brogain. Disponible sur : https://arrecaballo.es/edad-antigua/alto-imperio-romano/el-ano-de-los-cuatro-emperadores-69/
7) Buste supposé de Vitellius. Palais du Louvre. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Pseudo-Vitellius_Louvre_MR684.jpg
8) Carte de l’empire romain durant l’année des quatre empereurs. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Roman_Empire_69_de.svg
9) Mort de Vitellius représentée par Gustave Housez en 1847. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Housez_Mort_de_Vitellius.jpg
10) Buste de Vespasien. D'après un original du Louvre, Paris, France. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Vespasianus01_pushkin.jpg
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