Les geishas
Les geishas (ou geikos à Kyoto) sont des femmes qui se sont spécialisées dans les arts traditionnels japonais comme la danse, le chant, les instruments de musique ou encore la cérémonie du thé. Parées de leur plus beaux kimonos, elles divertissent leurs clients et transmettent la culture japonaise à travers le temps. Elles font aujourd’hui partie des nombreux éléments définissant le Japon à l’étranger mais restent entourées entourées de mystères. De plus en plus connus, elles deviennent la cible, aussi, de clichés. Pourtant, leur histoire est méconnue et souvent mal interprétée. Retour sur l’une des icônes du Japon.

Maikos, des apprenties geishas dans les rues de Kyoto
À l’origine, des accompagnatrices de courtisanes
Les geishas sont des femmes artistes, gei signifiant « art » et sha « personne », littéralement les « personnes des arts ». Elles apparaissent pour la première fois au Japon sous l’ère Edo (1604 – 1868) mais des métiers similaires existaient depuis le VIIIe siècle, durant l’ère Heian (794 – 1185). Dans la noblesse japonaise, il pouvait être fréquent d’engager des musiciens et autres artistes pour divertir ses invités lors de réceptions comme des diners. Ils étaient appelés taikomochis (les joueurs de tambours) ou hokans. Au XIIe siècle, des femmes, maquillées mais vêtues avec des habits d’hommes, participaient à des représentations théâtrales. Elles étaient appelées les shirabyōshis.
Aux XVIIe et surtout au XVIIIe siècles, la société japonaise se développe. Depuis 1600-1604, le Japon est unifié sous la coupe du shogun Tokugawa Ieyasu. Débarrassée des affres de la guerre, elle se tourne massivement vers les arts et les plaisirs. C’est ainsi que naissent des quartiers dédiés aux plaisirs charnels, aux jeux et aux arts, les yūkaku (souvent traduits comme les quartiers des plaisirs ou red light district en anglais en référence aux décorations), principalement dans les grandes villes comme la capitale impériale, Kyoto, et la nouvelle capitale shogunale, Edo (future Tokyo). Le métier de geisha naît dans ces endroits, plus précisément dans les maisons closes ou les maisons de thés (ochaya). Au sein de ces maisons, se trouvaient des prostituées, de plus ou moins haut rang, avec au sommet les oirans ou yūjo. Elles peuvent être associées aux courtisanes européennes, ces femmes au raffinement marqué, tant dans le vêtement que dans la culture. Elles étaient désirées et des foules se pressaient contre les parois des maisons pour les admirer. Elles portaient pour cela de grands kimonos éblouissants avec des coiffures d’un grand raffinement. Elles incarnaient l’idéal de féminité, mettant à la fois en scène la beauté et la sensualité.

Une scène du quartier de Yoshiwara par Kitagawa Utamaro. On y voit les oirans au rez-de-chaussée et les geishas à l'étage
Pour divertir les clients en attendant la disponibilité de l’oiran, les propriétaires des maisons font appel à des artistes. On y trouve des musiciens mais aussi des chanteurs, des danseurs, des personnes qui organisent des parties de jeu, etc. Ce sont ces personnes qui prennent, les premiers, les noms de geishas. À l’origine, le terme n’a pas de genre et désignait surtout des hommes. Lorsque des femmes jouaient ce rôle, elles devenaient des onna geisha (des femmes des arts). Au XVIIIe siècle, elles deviennent plus nombreuses et s’approprient le nom de geishas. Lorsque des hommes sont alors appelés otoko (hommes) geisha, ce qui marque la mutation dans l’image et la population des geishas.

Geishas jouant de la musique sur un balcon. Kitagama Utamaro
La codification progressive du statut de geisha
Les geishas et les oirans sont très similaires dans leur apparence mais pas dans leur métier. Les deux portent un maquillage blanc, rouge et noir sur le visage, avec un kimono coloré et décoré, et sont présentes dans le même bâtiment. Cependant, les geishas se distinguent vite des oirans car elles ne lient pas intrinsèquement leur service avec un acte sexuel. Ce dernier est même progressivement écarté. La geisha est une artiste et doit être reconnue pour cela. C’est ainsi qu’est mis en place, en 1779, un registre national des geishas, le kenban (ou bureau d’enregistrement). Pour exercer le métier de geisha, il faut y être inscrit, ce qui permet également de recevoir ses paiements pour les prestations.
Si les quartiers des plaisirs continuent d’exister jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’un des plus célèbres et derniers étant celui de Yoshiwara à Edo, fermé en 1958, les geishas commencent à se rassembler dans des quartiers spécifiques, les hanamachis (les « rues des fleurs », un nom inspiré du fait que les geishas étaient souvent assimilées à des fleurs « hana » dans la région de Kyoto). C’est dans ce quartier qu’habitent les geishas, au sein des okiya, et où elles travaillent principalement, notamment dans des maisons de thé (ochaya) ou des restaurants (ryotei).

Geishas jouant de plusieurs instruments de musique. Kusakabe Kimbei vers 1880
Devenir geisha, un processus long et rigoureux
Pour devenir geishas, les jeunes Japonaises doivent suivre une formation de plusieurs années. Au départ, la plupart commençaient aux environs de l'âge de 5 ans. Elles débutaient en assistant leurs aînées et participaient à l’entretient de l’okiya. Mais depuis les années 1950, le travail des mineurs à plein temps est devenu illégal et les Japonaises doivent attendre 17 ans avant de commencer à se former en tant que geisha.
Selon où l’on se trouve au Japon, le nom de ces apprenties change mais la formation reste la même. Si, à Tokyo, elles sont appelées des hangyokus, à Kyoto, la capitale de la culture traditionnelle japonaise, elles portent le nom de maikos (c’est surtout ce nom qui est connu à l’international et que je vais utiliser ici).
Lorsqu’une Japonaise décide de devenir geisha, elle doit trouver une okiya, dirigée par une femme que les geishas appellent « mère » ou okāsan. Cette métaphore de la famille se retrouve aussi dans le nom que se donnent les pensionnaires entre elles. Les plus jeunes doivent appelées les plus âgées « grandes sœurs » ou oneesan. Ce rapport familial instaure une hiérarchie mais aussi un lien fort entre les membres de l’okiya. Les grandes sœurs enseignent aux petites sœurs et leur donnent d’ailleurs leur nom de scène, créant ainsi une lignée de geishas. Le nom peut posséder un idéogramme en commun, afin de rappeler leur filiation.
Une fois une okiya intégrée, les apprenties commencent par apprendre les bases pour devenir geishas. Elles doivent maîtriser des instruments de musique comme des tambours (les taiko) et des instruments à cordes comme le shamisen ou le koto. Elles apprennent la danse (buyo), le chant, l’art de tenir une conversation, la composition florale (ikebana) et la cérémonie du thé (chanoyu). Suivant ce qu’elles font, elles prennent des noms différents. Celles qui sont spécialisées dans les prestations à genoux, par exemple en jouant du shamisen, sont appelées les jikatas et celles debout, les tachikata. Si la polyvalence est encouragée, il est possible de se spécialiser dans un art en particulier. Elles suivent également des cours de culture générale pour être capable de parler de tout avec leurs clients. On leur enseigne également à se maquiller et à revêtir un kimono. Cette période de formation initiale dure environ un an. Une fois celle-ci terminée, les apprenties commencent à sortir de l’okiya et à réaliser le travail de geisha, c’est là qu’elles deviennent des maikos. Toute cette formation, ainsi que le gîte et le couvert, est prise en charge par l’okāsan. Ce faisant, les prestations de la maiko et de la geisha servent à rembourser cet investissement.

Geishas et maiko (deuxième en partant de la gauche), marchant dans les rues de l'hanamachi de Gion, Kyoto. ©MyKyotophoto
Si les plus jeunes sortent peu de l’okiya, les maikos, elles, sortent au grand jour, notamment en fin de journée. Elles utilisent la matinée et la début d’après-midi pour continuer de se former. Elles apprennent à connaître leur quartier, à marcher comme une geisha et se font remarquer auprès de potentiels clients. Certains peuvent devenir mécène auprès d’une maiko et/ou d’une geisha, c’est le danna. Il l’entretient financièrement et participe à la création d’un réseau de clients. Bien que la tâche coûte cher, elle permet aussi au mécène d’acquérir une bonne réputation, une chose importante dans la société japonaise.
Techniquement parlant, la carrière d’une geisha ne se termine qu’à la mort de celle-ci. Il est ainsi possible de voir, surtout dans les campagnes et petites villes japonaises, des femmes qui ont déjà passé l’âge légal de la retraite. Si une geisha veut sortir de l’okiya, par exemple lorsqu’elle veut se marier, elle doit d’abord avoir la capacité de rembourser l’investissement de la mère. À ce moment-là, une grande cérémonie a lieu où elle dit adieu à sa vie passée. Pour être geisha, les jeunes Japonaises doivent maintenir leur célibat, garant d’une certaine pureté dans l’idéal culturel de la geisha. À cela, il faut ajouter, et préciser, le rapport ambigu entre le sexe et les geishas. Bien que la chasteté ne soit pas un absolu, le sexe est mal vu. Si des rapports charnels entre une geisha et son client ont lieu, ils sont choisis, ponctuels, et ne constituent pas une norme. Il est également possible que la geisha perde sa réputation et soit ainsi contrainte de démissionner. C’est donc un interdit officieux plus qu’officiel.

Geisha jouant à un jeu d'adresse avec un touriste dans une maison de thé
L’apparence de la geisha, entre raffinement et traditions
Les maikos doivent sortir maquillées et habillées de manière spécifique. Pour le maquillage, ce dernier a peu changé depuis les premiers temps. Il se compose d’une couche de poudre blanche, le oshiroi, aujourd’hui de la poudre de riz et autrefois à base de plomb, qui vient recouvrir tout le visage et le haut du dos. Les sourcils, les joues et les lèvres sont maquillées en rouge pour donner un visage jovial mais également très cérémonieux et sensuel. Il fut un temps où les geishas peignaient leurs dents en noir pour éviter qu’elles ne ressortent trop jaunes par rapport à leur visage d’un blanc éclatant. Aujourd’hui, la pratique a quasiment disparu.

Portrait d'une maiko
À ce maquillage, les maikos et geishas doivent porter une coiffure précise. Chez les maikos, elle est plus extravagante et plus sobre chez les geishas. Elle est généralement accompagnée d’ornements comme des bijoux tels que des broches. Les maikos doivent être vues et reconnues et la coiffure joue ce rôle de marqueur dans la foule. Cette coiffure, complexe, est faite pour durer une semaine et requiert souvent l’aide d’un spécialiste extérieur. Pour éviter qu’elle ne s’écrase en dormant, les maikos posent leur tête sur un repose nuque, le takamakura. Les geishas expérimentées, quant à elles, utilisent plutôt des perruques et peuvent dormir comme elles le veulent.

Maiko et geisha ensemble. On y voit les nombreuses différences. Image génrée par l'IA
Concernant les habits, des différences existent aussi entre maikos et geishas. La première est, comme pour les cheveux, dans l’apparence du kimono. Il est plus coloré et raffiné chez les maikos, avec des motifs floraux ou animaliers, que chez les geishas, la sobriété étant alors vu comme une vertu de l’âge. Le kimono est une œuvre d’art à part entière et, selon les spécialistes, parce qu’il est fait de manière artisanale, coûtent plusieurs milliers d’euros. Il se compose d’un assemblage de tissus noués à la ceinture par le obi, aussi en tissu, dont le nœud se trouve à l’arrière. Cette distinction est importante car elle permettait de distinguer la geisha de l’oiran, qui portait aussi un kimono mais qui se nouait par devant. Chez les maikos, le obi est plus grand. Le nœud remonte jusqu’au haut des épaules et pend ensuite jusqu’aux chevilles, créant ainsi un pan de tissu qui se balance au rythme de la marche de la maiko. Chez les geishas, il est, encore une fois, bien plus modeste. Le kimono est décolté sur l'arrière, laissant la nuque découverte. De plus, lors du passage de maiko à geisha, les apprenties reçoivent un nouveau col pour marquer leur diplôme. De rouge, il passe à blanc, comme pour symboliser la pureté et l'accomplissement.
Pour marcher, enfin, les maikos doivent faire avec des sandales en bois hautes de plusieurs centimètres, les okobos. Leurs semelles étaient creuses avec des grelots accrochés pour que les passants les entendent arriver. Chez les geishas, les okobos disparaissent pour des sandales plus basses et confortables appelées geta.
Les geishas dans la société japonaise actuelle
Si à l’époque Edo les geishas composaient un corps important de la société, allant jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de membres, aujourd’hui, elles sont quelques centaines. La société a évolué avec son temps et le métier a perdu de son utilité ou de sa reconnaissance, notamment durant la reconstruction du Japon après 1945. À Kyoto, il n’existe plus qu’environ 200 geishas et une centaine de maikos. Cependant, les statistiques montrent une hausse des maikos après une chute brutale pendant la période de la Covid-19. Mais ailleurs au Japon, les maikos disparaissent des rues et les dernières okiyas voient leur population vieillir inexorablement.

Marines américains essayant de séduire des geishas à Kyoto en 1945
Avec l’indépendance sociale et financière des Japonaises, le métier de geisha attire de moins en moins. La plupart y voit un reliquat d’une époque où les femmes étaient surcontrôlées et prisonnières de leur statut. Le maintien du célibat étant un argument de poids dans ce sens. Face à la société mondialisée, le métier de geisha est un pas de côté et l’un des derniers vestiges de la société traditionnelle. Ceci est à la fois une force pour son prestige dans la société mais aussi la source de nombreux soucis liés au tourisme de masse. L’explosion de la culture japonaise avec des films à succès comme La mémoire du Geisha (2005), la littérature et, plus récemment, les réseaux sociaux, a créé l’image de la geisha à l’international. Les touristes viennent les voir, les prendre en photos et éventuellement louer leur prestation. Si certains le font en respectant les codes de la courtoisie japonaise, beaucoup viennent photographier sans permission et en gênant les geishas dans leurs trajets. Les maikos sont des cibles de choix car elles correspondent au fantasme de la geisha avec leurs habits colorés et leurs bijoux. Ce cliché est né dans l’après-guerre. A ce moment-là, les soldats américains découvrent la culture japonaise et les geishas. Certaines prostituées usent de l’image de la geisha en cherchant à lui ressembler et ainsi attirer les soldats crédules, créant ainsi un lien fort, mais faux, entre prostitution et geisha. Le stéréotype est ensuite propagé par la culture et les réseaux sociaux.
De nos jours, certains hanamachis existent encore comme ceux de Gion ou de Ponto-Cho à Kyoto ou Asakusa à Tokyo. Il est possible de croiser des geishas dans les rues de ces hanamachis, ainsi que lors de festivals ou spectacles de danse comme les odoris, tels que le Kamogawa odori ou le miyako odori. Avec les nouvelles méthodes d’information numérique, les geishas se mettent aussi sur les réseaux. Certaines montrent leur quotidien et font découvrir leur métier, tandis que d’autres réalisent des prestations par visio-conférences. Le monde change et les geishas se mettent à la page.

Maikos dansant devant une foule à Nagoya
Publié par Adrien RASAT, le 31/10/2025
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Sources
Articles internet :
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Vidéos YouTube :
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Crédits images :
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- Une scène du quartier de Yoshiwara par Kitagawa Utamaro. Disponible sur : https://histoiredujapon.com/2024/03/15/histoire-geisha/
- Geishas jouant de la musique sur un balcon. Kitagama Utamaro. Disponible sur : https://ukiyo-e.org/image/mfa/sc219583
- Geishas jouant de plusieurs instruments de musique. Kusakabe Kimbei vers 1880. Disponible sur : https://www.proantic.com/656395-kusakabe-kimbei-1841-1934-playing-samsen-tsudzumi-fuye-amp-taiko-japon-vers-1880.html
- Geishas et maiko (deuxième en partant de la gauche), marchant dans les rues de l'hanamachi de Gion, Kyoto. ©MyKyotophoto. Disponible sur : https://mykyotophoto.com/hatsuyori-gion-kobu/
- Geisha jouant à un jeu d'adresse avec un touriste dans une maison de thé. Auteur et source inconnus. Disponible sur : https://www.japan-guide.com/e/e2102.html
- Portrait d’une maiko. Auteur et source inconnus. Disponible sur : https://peda.net/p/ella.volotinen%40edu.jns.fi/japani/hvjk/img_1378-jpg
- Portrait d’une maiko et d’une geisha. Image générée par intelligence artificielle. Auteur et source inconnus. Disponible sur : https://en.motenas-japan.jp/geisha_history/
- Marines américains essayant de séduire des geishas à Kyoto en 1945. Disponible sur : https://www.ww2online.org/image/soldiers-try-out-their-japanese-two-geisha-girls-kyoto-japan-september-1945
- Maikos dansant devant une foule à Nagoya. Auteur et source inconnu. Disponible sur : https://aichinow.pref.aichi.jp/en/spots/detail/2822/
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