Lawrence d'Arabie
Avant d’être un personnage dans un film éponyme de 1962, c’est un soldat britannique de la Première Guerre mondiale. Parlant couramment l’arabe, il est envoyé, d’abord comme espion puis en tant que commandant militaire sur les arrières de l’Empire ottoman, dans l’actuelle Arabie. Là-bas, il met sur pied une troupe de guerriers arabes prêts à en découdre avec le pouvoir d’Istanbul. C’est ainsi que naît la légende de Lawrence d’Arabie.

Portrait de Lawrence d'Arabie par Augustus John
Un grand amateur d’histoire et d’archéologie
Lawrence naît sous le nom de Thomas Edward Lawrence, en 1888, au Pays de Galles. Son père est Thomas Chapman et sa mère Sarah Junner. Parce qu’il est issu d’une union illégitime, sa mère était la gouvernante de ses sœurs aînées, T. E. Lawrence eut une enfance marquée par les déplacements fréquents de son père pour échapper à la famille de son ex-femme. En 1896, ils déménagent en Angleterre pour venir vivre dans la banlieue d’Oxford et c’est, à partir de là, que la famille prend le nom de Lawrence.
Au cours de son enfance, T.E. Lawrence se passionne pour l’histoire. Il a un esprit aventureux et se plonge dans les récits médiévaux. Il veut poursuivre des études en histoire et en archéologie au Jesus College à Oxford, une annexe de l’université, très fréquentée par les Gallois. En 1907, il part en France, et parcourt le pays à vélo à la recherche des plus beaux châteaux forts. Cette recherche des récits anciens le mène à participer à plusieurs voyages archéologiques au Moyen-Orient, notamment sur les terres des anciens croisés en Palestine et en Syrie, territoires alors sous contrôle ottoman. Il visite de nombreux sites en Syrie comme le Krak des chevaliers en 1909, et le Liban avec Beyrouth en 1910. En 1911, il part à Karkemish, dans le nord de la Syrie pour une nouvelle expédition archéologique, sous la direction de Leonard Woolley. Ces recherches se termineront par une thèse intitulée « L'influence des croisades sur l'architecture militaire de l'Europe du Moyen Âge ».
Lors de ses différents voyages, il analyse des traces archéologiques, réalise des relevés topographiques et, surtout, trouve un nouveau centre d’intérêt dans les populations locales. Il est fasciné par les Arabes, leur culture, leurs traditions et leur langue. Leur mode de vie est si différent de celui de l’Angleterre du début du XXe siècle, qu’il y trouve un certain romantisme. Rapidement, il devient bilingue et rajoute l’arabe aux nombreuses langues qu’il maîtrisait déjà : latin, grec, français et turc.

T.E. Lawrence et le professeur Woolley lors d'une fouille archéologique
La guerre et ses débuts pour la cause arabe
En 1914, Lawrence est repéré par le bureau des renseignements britannique. Sous couvert d’une autre expédition archéologique, il est envoyé dans le Sinaï. Entre deux relevés topographiques, il doit mettre en avant la géographie de l’Empire ottoman. Le Royaume-Uni voit que la situation en Europe est vacillante et les tensions avec les Ottomans sont nombreuses. Dans le cas de leur rapprochement avec l’Allemagne, les Britanniques doivent envisager de faire la guerre contre leur voisin, depuis leurs terres égyptiennes.
Lorsque la guerre débute en juillet 1914, Lawrence intègre à plein temps les renseignements britanniques, mais passe les deux premières années de la guerre coincé dans les bureaux du Caire. Ce dernier venait de créer un Bureau arabe où Lawrence utilise judicieusement ses connaissances.

T. E. Lawrence en habits arabes. Photographie prise par Lowell Thomas en 1919
En octobre 1914, l’Empire ottoman entre dans la guerre qui ravage l’Europe, aux côtés de l’Allemagne et de l’Autriche-Hongrie. Pour bloquer le lien entre les trois alliés, la France et le Royaume-Uni veulent occuper les détroits turcs. Ainsi, en mars 1915, débute la bataille des Dardanelles. C’est un véritable échec, tant humain que stratégique et, surtout, politique pour les chefs qui l’avaient organisée, avec, en tête de liste, un certain Winston Churchill. Les Britanniques font donc, plutôt le choix, en 1916, de perturber les arrières ottomans en utilisant l’une des nombreuses populations soumises. Le choix s’est porté sur les populations arabes du Hedjaz, au nord-ouest de l’Arabie.
Sur place, les Britanniques trouvent le soutien du chérif de La Mecque, Hussein ben Ali, un fervent nationaliste arabe. Une délégation est envoyée avec, à son bord, Lawrence. Ses connaissances du monde arabe, et, surtout, le fait qu’il parle leur langue, s’avèrent des atouts précieux. En juin 1916, Hussein annonce le soulèvement de son peuple, ce qui devient, par la suite, la révolte arabe (1916-1918). Cependant, elle n’est pas suivie par la population de l’empire qui, pour la très grande majorité, est favorable au pouvoir ottoman. L’armée d’Hussein doit donc combattre seule, avec le soutien des Britanniques.

Carte de la révolte arabe. ©Fabrice Balanche, Atlas du Proche-Orient arabe, 2011
Lawrence est détaché auprès de l’un des fils d’Hussein, Fayçal. C’est un chef de guerre charismatique et respecté. Les deux hommes travaillent bien ensemble et deviennent amis avec le temps. Mais les relations sont plus difficiles avec le reste des troupes. Là où Lawrence pensait trouver des hommes disciplinés, à l’image de ses compatriotes britanniques, il découvre des guerriers farouches et braves mais incapables de travailler ensemble, refusant de s’organiser en véritable armée et au moral extrêmement bas. La simple présence d’un canon ou d’un avion pouvait rendre un détachement de cavaliers totalement inopérant. Pour y répondre, Lawrence improvise. Au lieu d’en faire une troupe réglementaire, il en fait un groupe de cavaliers légers qui vient harceler les points faibles ottomans et joue sur sa mobilité pour échapper aux poursuivants. Rapidement, les hommes de Lawrence se spécialisent dans les coups de force et dans le sabotage. À ce titre, la région du Hedjaz était traversée par une ligne de chemin de fer reliant Istanbul et Médine. Cette voie stratégique était une cible de choix pour les cavaliers arabes. Pour l’aider dans son entreprise, il reçoit du commandement britannique plusieurs canons de campagne ainsi que des armes et une grosse somme d’argent, plusieurs millions de livres sterling.
Lawrence fait tout pour s’intégrer à sa troupe. Il troque son uniforme britannique pour des habits blancs de bédouins et apprend à combattre à dos de dromadaire. Il parle arabe, vit comme un arabe et se met de plus en plus à penser aux intérêts arabes plutôt qu’à ceux de son pays natal. Durant toute la révolte, il est partagé entre son pays et ses compagnons d’armes.

Illustration anonyme d'une attaque d'un train menée par Lawrence d'Arabie (en bleu). © Look and Learn
Les prises d’Aqaba et de Damas
Les débuts de la révolte sont marqués par la prise de La Mecque en juillet 1916. Pour ce qui est de Médine, la place est bien protégée. Elle ne tombe qu’en 1919. Lawrence conseille à Fayçal de s’occuper, plutôt, des places fortes environnantes, moins bien gardées, afin d’affaiblir les éventuels renforts et lignes d’approvisionnement de la ville. Finalement, voyant que leurs efforts n’apportaient que peu de conséquences, les troupes de Fayçal prennent la route du nord et continuent leur harcèlement des positions ottomanes. C’est au cours de ces nombreuses opérations, de guérilla pour les Arabes, ou de terrorisme pour les Ottomans, que naît son surnom de Lawrence d’Arabie, appelé aussi El-Orens par les Arabes, ou « Aurans Iblis », le « Lawrence le Diable » par les Ottomans.
Malgré les succès des Arabes pour immobiliser une partie de l’armée ottomane dans le désert, Hussein ben Ali veut plus et le gouvernement britannique commence à douter de leur compétence. Pour changer la situation, et s’octroyer un grand fait d’arme personnel, Lawrence convainc Fayçal qu’ils doivent prendre le port d’Aqaba (dans l’actuelle Jordanie).
Avec près de 2 000 cavaliers, il prend la route du nord vers Aqaba en juillet 1917. Une première bataille a lieu à Abou el-Lissan où se trouvait une forteresse ottomane. Sous le commandement du chef arabe Aouda Abu Tayi, 600 Arabes parviennent à prendre la forteresse, affaiblissant grandement Aqaba qui ne peut désormais compter que sur ses propres forces. Sa garnison est relativement faible et ses principales défenses sont des canons côtiers tournés vers la mer. C’est cette configuration qui pousse Lawrence à faire un choix presque insensé, attaquer par la terre. Aqaba est entouré de massifs et un long couloir de sable s’étend sur plusieurs dizaines de kilomètres Avec quelques mitrailleuses, une charge de cavalerie entraînerait un grand massacre. Malgré le découvert du défilé, les cavaliers se lancent à l’assaut d’Aqaba. Submergée, la garnison ottomane se rend. En tout, entre la prise de la forteresse et Aqaba, les hommes de Lawrence n’ont perdu que deux soldats. Lawrence frôle cependant la mort lorsqu’il tue, malencontreusement, son dromadaire en lui tirant une balle dans la tête.

Lawrence d'Arabie et des combattants arabes lors de la bataille de Talifah (1918), par Giuseppe Rava
En novembre 1917, Lawrence subit une dure défaite à Tell el-Shehab. Il échoue à faire exploser le viaduc qui passe au-dessus du fleuve Yarmouk. À cela, vient s’ajouter une capture à Deraa où, selon ses dires, ce que les historiens réfutent et attribuent à une partie de fiction, il aurait subi des violences de la part du commandant ottoman local, allant jusqu’à affirmer avoir subi des sévices sexuels. Selon certains, ce traumatisme aurait profondément transformé Lawrence et expliquerait son laxisme lors de violences perpétrées par les Arabes sur des Ottomans après leur victoire lors de la bataille de Tafas en septembre 1918. En janvier 1918, il participe à la bataille de Talifah où il mène un groupe de bédouins dans une bataille rangée, une des rares fois où cela se passe. Pour ses efforts, il est récompensé du Distinguished Service Order et promu au rang de lieutenant-colonel.
À l’automne 1918, sous les ordres du général britannique Sir Edmund Allenby, il participe à l’offensive sur Damas. La ville possède une importance particulière pour les Arabes. Elle fut la capitale de l’empire arabo-musulman sous le califat des omeyyades (661 – 750) et les Arabes veulent en faire celle de leur empire, promis par les Britanniques. Contrairement à ce que Lawrence espérait, il n’entre pas le premier dans la ville, ce fut des Anglo-Australiens, mais son passage est salué par les troupes. Une fois Damas prise, Fayçal débute son projet de nouvelle capitale, mais l’histoire ne l’entend pas de cette oreille.

Lawrence d'Arabie entrant dans Damas à bord d'une Rolls-Royce Silver Ghost blindée Blue-Mist, 1918
La désillusion de Lawrence d’Arabie
Si Lawrence, désormais d’Arabie, avait aidé le prince Fayçal à créer un royaume arabe, le gouvernement britannique avait déjà prévu autre chose. Dès l’année 1916, les puissances alliées avaient envisagé le futur de l’empire ottoman après la guerre. Au cours de longues négociations qui aboutirent aux accords Sykes-Picot, le Moyen-Orient serait partagé en deux zones sous influence européenne, d’un côté, la France avec le Liban et la Syrie, de l’autre, le Royaume-Uni avec la Jordanie et l’Irak. Pire encore pour les Arabes, la déclaration de Balfour de 1917 envisageait la création d’une terre juive au Moyen-Orient, ce qui n’entrait pas dans les plans de Fayçal ou d’Hussein ben Ali. Profondément déçu par l’abandon des promesses faîtes, Lawrence décide de se retirer du Moyen-Orient. Il perd également la confiance de ses anciens frères d’armes, en particulier celle du prince Fayçal, pour qui, il est devenu un traitre.
Le 30 octobre 1918, l’Empire ottoman signe l’armistice de Moudros et se retire de la guerre. Il est suivi par les empires centraux en novembre. Lorsque les négociations de paix débutent en janvier 1919, Lawrence se rend à Paris pour tenter de donner sa voix au projet arabe. Il intègre ainsi la délégation du prince Fayçal. Mais tout ceci est vain. Le partage de Sykes-Picot est adopté et Lawrence perd définitivement tout soutien dans le monde arabe. Désabusé, il quitte l’armée, rapportant, au passage, de nombreuses citations et médailles comme la Légion d’honneur et la Croix de guerre.
De son côté, le prince Fayçal tente un coup de force en occupant Damas et en établissant un éphémère royaume arabe. Il est finalement contraint à la reddition par le général français Gouraud et part pour l’Irak, sous domination anglaise. Il y fonde en 1921 un royaume (1921 – 1958) et devient le roi Fayçal Ier (1921 – 1933).

Photographie de la délégation du prince Fayçal (au centre). On y voit Lawrence (deuxième rang, deuxième en partant de la droite)
L’après-guerre et la fin du héros
De retour en Angleterre, Lawrence tente de revenir dans la vie civile mais il est rappelé pendant un temps auprès de Winston Churchill. Il y reprend ses missions d’espionnage et de conseiller au sein du Colonial Office (bureau des Affaires coloniales). En 1922, il rentre en Angleterre et, là où il pensait trouver une vie tranquille, découvre la célébrité. Ses récits de bataille ont passionné les Britanniques. Lowell Thomas, un journaliste américain, a propagé les récits de ses aventures auprès du public anglophone, parfois avec un récit de première main, notamment pour la prise d’Aqaba où il était présent. Cette reconnaissance n’est pas au goût de Lawrence qui tente de fuir en s’engageant dans la Royal Air Force (RAF) sous un nom d’emprunt. En 1923, découvert, il part, encore sous un faux nom, dans le Royal Tank Regiment, où il sert jusqu’en 1925. Il refait un temps dans la RAF jusqu’à sa retraite en 1935.
C’est au cours de ce retour au pays qu’il écrit ses mémoires, parues sous le nom des Sept piliers de la sagesse (« Seven pillars of wisdom »). D’abord publié en 1922 à seulement dix exemplaires, elles rencontrent un grand succès après avoir fuité. Une nouvelle édition paraît en 1927 et une autre après sa mort. Il y raconte son implication lors de la révolte arabe et mêle faits avérés et inventions romanesques. L’analyse des historiens a permis en effet de remarquer des incohérences, des raccourcis et, parfois, des inventions pures et dures. Malgré tout, c’est un succès de librairie.
Démobilisé, bien malgré lui, Lawrence se retire dans un petit cottage du Dorset. Depuis son passage dans la RAF, il s’est passionné pour la mécanique et les machines. Adepte de la vitesse, il collectionne les motos. C’est cependant sur l’une d’elle, lors d’une balade le 13 mai 1935, qu’il est mortellement blessé lors d’un accident où il fait une sortie de route, selon certains récits, en essayant d’esquiver des cyclistes qui roulaient à contre-sens. Il meurt de ses blessures quelques jours plus tard, à 47 ans.

Lawrence d'Arabie sur sa Brough Superior entre 1925 et 1926
Légende et mémoires de Lawrence d’Arabie
De son vivant, Thomas E. Lawrence était devenu une légende de la Première Guerre mondiale, en tout cas pour les Européens. Du côté des acteurs arabes, leur ressenti était plutôt négatif. Celui qui était devenu Lawrence d’Arabie était désormais synonyme de tromperie et de traitrise. Dans son propre camp, des auteurs affirment qu’il n’a jamais pris le parti des Arabes et qu’il a toujours agi comme un représentant britannique. De son côté, Lawrence affirme avoir voulu devenir Arabe. Il se sentait plus proche de ses nouveaux alliés que de son peuple d’origine. Sa peau pale et sa naissance à l’étranger étaient, selon lui, les seuls freins à son identité arabe. Encore aujourd’hui, les véritables motivations de l’homme restent obscures.

Scène du film Lawrence d'Arabie (1962). Peter O'Toole y interprête Lawrence d'Arabie, au centre en blanc
Si les Sept Piliers de la sagesse font de Lawrence d’Arabie un grand auteur à succès, le film Lawrence d’Arabie de David Lean, sorti en 1962, consacre le personnage comme un héros d’aventures à grand spectacle. L’acteur Peter O’Toole, dans le rôle-titre, est, depuis, devenu le visage de Lawrence d’Arabie, surpassant même, parfois, l’original. Plus récemment, son histoire fut utilisée en 2016 dans le jeu vidéo Battlefield 1 où il est l’un des personnages de la campagne et guide le joueur dans les opérations montées arabes dans le Hedjaz. En 2019, il inspire le groupe de métal suédois Sabaton, qui produit une chanson, Seven Pillars of wisdom, pour son album The Great War.
Publié par Adrien RASATA le 26/10/2025
Articles similaires
Sources
Ouvrages et articles :
- Mousa, S. (2011, septembre). « Le rêve de Lawrence d’Arabie ». lhistoire.fr, Collection 52, 58‑61. [en ligne] Consulté le 24 octobre 2025, à l’adresse https://www.lhistoire.fr/le-r%C3%AAve-de-lawrence-darabie
Articles internet :
- BBC - History - Historic figures : TE Lawrence (1888 - 1935). (2011, 18 février). BBC.co.uk. [en ligne] Consulté le 24 octobre 2025, à l’adresse https://www.bbc.co.uk/history/historic_figures/lawrence_te.shtml
- Cardini, F. (2019, 25 juillet). Lawrence d’Arabie, l’agent secret fou de l’Orient. National Geographic. [en ligne] Consulté le 24 octobre 2025, à l’adresse https://www.nationalgeographic.fr/histoire/2019/07/lawrence-darabie-lagent-secret-fou-de-lorient
- Chaigne-Oudin, A. (2025). Lawrence d’Arabie. Les Clés du Moyen-Orient. [en ligne] Consulté le 24 octobre 2025, à l’adresse https://www.lesclesdumoyenorient.com/Lawrence-d-Arabie.html
- Iskandar, K. (2023). Thomas Edward Lawrence, dit Lawrence d’Arabie. Histoire Pour Tous. [en ligne] Consulté le 24 octobre 2025, à l’adresse https://www.histoire-pour-tous.fr/biographies/2739-la-biographie-de-lawrence-darabie-thomas-e-1888-1935.html
- Larané, A. (2019). Lawrence d’Arabie (1888 - 1935) - Le rêve brisé d’un visionnaire - Herodote.net. Herodote.net. [en ligne] Consulté le 24 octobre 2025, à l’adresse https://www.herodote.net/Le_reve_brise_d_un_visionnaire-synthese-1882.php
Articles de presse :
- Bonniel, M. (2015, 19 mai). Le 19 mai 1935, Lawrence d’Arabie meurt à l’âge de 46 ans. Le Figaro. [en ligne] Consulté le 24 octobre 2025, à l’adresse https://www.lefigaro.fr/histoire/archives/2015/05/18/26010-20150518ARTFIG00322-le-19-mai-1935-lawrence-d-arabie-meurt-a-l-age-de-46-ans.php
- Buitekant, E. (2021, août 31). « Qui était l’agent secret britannique Lawrence d’Arabie ? » Geo.fr. [en ligne] Consulté le 24 octobre 2025, à l’adresse https://www.geo.fr/histoire/qui-etait-lawrence-darabie-205595
Vidéos YouTube :
- L’agent secret le pus étrange de la 1ère Guerre mondiale (Lawrence d’Arabie), par la chaîne La Folle Histoire, mise en ligne le 31 mai 2020 [en ligne] [visionnée le 26/10/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/yvtnNky0wKQ
- Lawrence of Arabia, par la chaîne Yarnhub, mise en ligne le 20 juin 2020 [en ligne] [visionnée le 26/10/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/CMsd3NOmupw
- Seven Pillars of Wisdom - T. E. Lawrence of Arabia – Sabaton History 046 [Official, par la chaîne Sabaton History, mise en ligne le 19 décembre 2019 [en ligne] [visionnée le 26/10/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/J8alkFC6TnI
- T.E. Lawrence : The True Lawrence of Arabia, par la chaîne Biographics, mise en ligne le 13 juin 2022 [en ligne] [visionnée le 26/10/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/UBpXk3h1N9M
- T.E. Lawrence and How He Became Lawrence Of Arabie | WHO DID WHAT IN WW1?, par la chaîne The Great War, mise en ligne le 30 avril 2016 [en ligne] [visionnée le 26/10/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/iqvcjL6ObH0
Crédits images :
- Portrait de Thomas Edward Lawrence par Augustus John, 1919. Disponible sur : https://arthive.com/fr/artists/62058~Augustus_John/works/384572~Thomas_Edward_Lawrence_Lawrence_dArabie
- T.E. Lawrence et le professeur Woolley lors d'une fouille archéologique. Licence Wikimedia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:T_E_Lawrence_%281888-1935%29_Q73536.jpg
- T. E. Lawrence en habits arabes. Photographie prise par Lowell Thomas en 1919. Disponible sur : https://espritdepays.com/dordogne/histoire/lawrence-du-perigord
- Carte de la révolte arabe. ©Fabrice Balanche, Atlas du Proche-Orient arabe, 2011. Disponible sur : https://www.pressreader.com/france/carto/20171103/281689730084986
- Illustration anonyme d'une attaque d'un train menée par Lawrence d'Arabie (en bleu). © Look and Learn. Disponible sur : https://www.lookandlearn.com/history-images/A001306/Lawrence-of-Arabia
- Lawrence d'Arabie et des combattants arabes lors de la bataille de Talifah (1918), par Giuseppe Rava. Disponible sur : https://pinturas-gran-guerra.tumblr.com/post/105701295143/1917-lawrence-de-arabia-giuseppe-rava
- Lawrence d'Arabie entrant dans Damas à bord d'une Rolls-Royce Silver Ghost blindée Blue-Mist, 1918. Licence Wikimedia Commons. Disponible sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:T._E._Lawrence_in_Damascus_October_1918.jpg
- Thomas Edward Lawrence et la délégation du Prince Fayçal à Versailles, 1919 © corbis. Disponible sur : https://www.radiofrance.fr/franceinter/le-jour-ou-disparut-lawrence-d-arabie-2169756
- Lawrence d'Arabie sur sa Brough Superior entre 1925 et 1926. Licence Wikimedia Commons. Disponible sur: https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Lawrence_of_Arabia_Brough_Superior_gif.gif
- Scène du film Lawrence d'Arabie (1962). Disponible sur : https://www.senscritique.com/film/Lawrence_d_Arabie/423014/images
Ajouter un commentaire
