William Wallace
Popularisé par le film Braveheart de 1995, William Wallace est un héros de l’Ecosse qui a combattu, à la fin du XIIIe siècle, pour la liberté de son pays vis-à-vis de l’Angleterre. Ses actions, ses victoires et sa mort ont créé un récit qui le place au-dessus des autres grands de son époque comme Robert Bruce. Son nom a dépassé ses frontières pour devenir une icône de l’Ecosse, mais peu connaissent vraiment son histoire, en dehors du mythe proposé par le cinéma. Retour sur l’un des personnages les plus célèbres de l’Ecosse.
Statue de William Wallace à Aberdeen
L’Écosse à la fin du XIIIe siècle
Portrait anonyme d'Edouard Ier (XIXe siècle)
L’Écosse de la fin du XIIIe siècle est marquée par de profonds changements politiques. En 1286, le roi Alexandre III meurt, sans enfant encore en vie pour lui succéder. C’est sa petite fille, Marguerite, qui hérite du trône. Malheureusement, elle meurt en 1290. La succession du royaume est désormais l’affaire des « gardiens de l’Écosse », des seigneurs particulièrement influents qui ont le devoir de veiller sur le pays et le protéger. Pour arbitrer ce choix sur la succession, ils font appel au roi d’Angleterre Edouard Ier (voir portrait ci-contre). Depuis déjà plusieurs années, Edouard lorgne sur l’Écosse. Bien qu’il ne puisse y régner personnellement, il décide de placer sur le trône un souverain fantoche, à sa cause. C’est dans cette optique qu’il choisit Jean Balliol (John Balliol en anglais) en 1292.
Le règne de Jean Balliol n’est pas des plus glorieux. Le roi est faible, la présence anglaise se fait de plus en plus sentir et les seigneurs écossais envisagent de plus en plus d’entrer en rébellion. Pour renforcer sa position, le roi d’Écosse signe un traité d’alliance en 1295 avec la France, le grand ennemi de l’Angleterre. Intitulé The Auld Alliance (« Vieille alliance »), il est l’un des premiers de son genre et lie les deux pays dans une assistance mutuelle dans le cas d’une attaque de l’Angleterre sur l’un des deux membres. Finalement, en 1296, Jean Balliol met fin à son lien avec Edouard Ier. Il ne veut plus être son laquais.
Voyant la maîtrise de l’Écosse lui échapper, Edouard Ier prend les choses en main et envahit l’Écosse en mars 1296. Après plusieurs pillages, comme le tristement célèbre massacre de Berwick où 11 000 civils sont tués, il vainc Balliol à la bataille de Dunbar en avril. Il le fait prisonnier et l’enferme dans la Tour de Londres. Il met en place un gouvernement anglais avec des barons et, ce qui a choqué les Ecossais, vole la Pierre de Scone, aussi appelée Pierre du Destin, une pierre sacrée, symbole de la monarchie écossaise. Cela en est trop pour le peuple qui se révolte en plusieurs endroits et débute la première guerre d’indépendance écossaise (1296 – 1328).
William Wallace et la résistance écossaise
C’est dans ce contexte que grandit William Wallace, né aux environs de 1270. Les chroniqueurs médiévaux disent peu de choses sur son enfance. On sait qu’il naît dans une petite famille de propriétaires terriens, descendants d’immigrés gallois (Wallace ou le Waleys, une façon de dire Welsh, qui signifie gallois en français), habitant le village d’Elderslie, soit dans le Renfrewshire ou l’Ayrshire. Il reçoit une éducation basique mais, selon des récits comme celui d’Harry l’Aveugle (ou Henry le Ménestrel), un chroniqueur du XVe siècle, il fut éduqué par son oncle, un prêtre, dans une abbaye où il apprend les lettres, la philosophie et l’histoire.
Peu de choses nous sont parvenus sur ses relations amoureuses. Selon des chroniqueurs, plus ou moins fiables, il aurait eu une femme, ou tout du moins une amante, qui aurait porté le nom de Marion Braidfute. Cette dernière pourrait être liée au début de l’action résistante de Wallace contre les Anglais. En effet, en mai 1297, avec 30 compagnons, il se rend à Lanark où il tue le shérif, William Eselrig. Ce dernier aurait enlevé la femme de William et/ou l’aurait tuée. Quoi qu’il en soit, Lanark marque le début du combat de William contre l’envahisseur anglais. C’est également à partir de là que les chroniques écossaises le montrent en héros, là où leurs homologues anglaises le dépeignent en hors-la-loi sauvage, brutal et un vagabond de basse extraction.
Il mène plusieurs actions contre des garnisons anglaises, tuant les soldats et surtout les officiers. Il pille le trésor et part se cacher dans les forêts. Finalement, il quitte un jour la sécurité des forêts pour aller plus au nord et se joint à d’autres mouvements de résistance, comme celui porté par Andrew Murray (de son vrai nom sir Andrew Moray de Bothwell) qui bataillait dans le nord de l’Écosse. Ensemble, ils réussissent plusieurs coups, notamment à Scone puis à Dundee, dont le plus resplendissant est sans aucun doute la victoire de Stirling Bridge (pont de Stirling).
Portrait anonyme de William Wallace, XVIIIe siècle
La bataille du pont de Stirling
Les victoires écossaises minaient le pouvoir anglais. Alors que le roi Édouard Ier part en Flandres pour y mener bataille, il laisse le comte de Surrey, John de Warenne, pour s’occuper des affaires d’Écosse. Il place aussi son trésorier, sir Hugh de Cressingham, comme second administrateur dans la région. Ce dernier est particulièrement détesté car il fait augmenter les impôts, notamment pour payer les campagnes militaires d’Édouard. Lorsque des informations, disant que les rebelles Wallace et Murray s’étaient établis près du château de Stirling arrivent à l’oreille de Surrey, les deux hommes s’empressent de rassembler hommes et matériels et marchent vers le nord de l’Écosse.
Le 11 septembre 1297, les deux armées se font face. Les Écossais se trouvent au nord du fleuve Forth. Ils sont environ 2 500 avec 1 900 fantassins, 180 chevaliers et quelques cavaliers légers. En face, les Anglais se sont installés sur la rive sud du Forth, au pied du château de Stirling. Surrey et Cressingham sont venus avec 6 700 hommes soit 6 350 fantassins et 350 chevaliers. En d’autres termes, les Anglais sont bien supérieurs aux Écossais. Malgré tout, Murray et Wallace vont utiliser le terrain à leur avantage. Le fleuve n’est en effet traversable qu’à un seul endroit, un pont étroit qui ne peut faire passer que quelques hommes dans un seul sens à la fois.
Alors que les Écossais attendent sur les hauteurs de la colline d’Abbey Craig, les Anglais débutent la bataille en faisant traverser leur avant-garde, menée par Hugh de Cressingham. Alors qu’elle avance à la rencontre des rebelles, ces derniers fondent sur elle. Les Anglais sont assaillis par des centaines de lances tenues par les fantassins formés en shiltroms, des carré d’hommes qui se protègent de leurs longues lances (semblables aux formations des tercios espagnols et carrés de l’ère napoléonienne). Ces shiltroms mettent en pièces l’infanterie anglaise mais surtout les chevaliers dont les chevaux viennent s’empaler sur les pieux. Les Anglais sont repoussés jusqu’aux abords du pont. Son étroitesse entre alors en compte car il ne permet pas de faire venir des renforts en nombre suffisant. Pire que cela, sous le poids des hommes, le pont s’écroule, laissant l’avant-garde de Cressingham seule. Le chef anglais est en outre tué dans les combats, d’un coup de couteau alors qu’il tentait de se frayer un chemin pour fuir. Le reste des hommes est passé par le fil de l’épée tandis qu’une partie essaie de traverser le fleuve. Beaucoup finissent noyés à cause du poids de leur armure.
Illustration de la bataille de Stirling par Angus McBride
Face à la débâcle, Surrey renonce à poursuivre les combats et se retirent. La bataille se termine donc sur une grande victoire écossaise. Selon les chroniqueurs, les Anglais auraient perdu plus de la moitié de leurs hommes, certains avancent même le chiffre incroyable de 6 000 morts. La perte de Cressingham est terrible pour le pouvoir anglais qui descend encore plus dans l’estime des Écossais. De leur côté, les hommes de Wallace et Murray ont perdu peu d’hommes, mise à part Murray lui-même. Il fut mortellement blessé et décède quelques mois plus tard, en novembre 1297 (plus spécifiquement, son nom n’apparaît plus sur les correspondances anglaises à partir de là). La victoire est tellement retentissante qu’elle oblige le roi Édouard Ier à revenir précipitamment en Angleterre pour mener lui-même la guerre.
La bataille de Stirling est, enfin, liée à un épisode moins glorieux, ou moins digne de louange. Une fois la victoire assurée, le corps de Cressingham est retrouvé et dépecé. Sa peau aurait alors servi dans la confection de ceintures pour les hommes de Wallace. Bien que l’épisode soit sanglant, elle montre aussi le dédain des Écossais pour celui qui les assaillaient de taxes toujours plus importantes, et est à prendre dans le contexte des mœurs de l’époque.
Représentation de la bataille de Stirling. Gravure de l'ère victorienne (XIXe siècle). Auteur anonyme. On y voit le pont qui s'écroule au centre ainsi que la débacle anglaise
Le gardien de l’Écosse
Malgré qu’il s’agisse d’une victoire conjointe entre Andrew Murray et William Wallace, la mort du premier fait entrer le second au sommet de la résistance écossaise. De simple homme du peuple et rebelle isolé, il est devenu l’homme fort, le héros de la cause.
Il poursuit plus au sud de Stirling et prend le château de Cumberland et assiège Carlisle. Le manque d’engin de siège ne permet pas de prendre la ville mais il pille malgré tout la campagne environnante et se tourne ensuite de l’autre côté de l’Angleterre où il continue son pillage.
Les prouesses de Stirling et ses victoires militaires ont permis de faire entrer William Wallace dans les hautes sphères de l’Écosse. En mars 1298, il est adoubé chevalier par l’un des nobles entrés en rébellion. Selon certains, par Robert Bruce (selon certaines version Robert le ou de Bruce), l’un des grands nobles de l’époque et qui appartient à l’une des principales familles écossaises. En plus de son nouveau statut, il obtient le titre suprême de « gardien de l’Écosse ». Ainsi, il doit, par tous les moyens, protéger les terres et la couronne de l’Écosse. C’est notamment pour cela qu’il est fait gardien au nom du roi en exil, Jean Balliol. La continuité royale doit être préservée jusqu’à ce qu’un nouveau roi soit trouvé.
Falkirk et la fin de l’aventure Wallace
La victoire de Stirling avait remotivé les nobles écossais à poursuivre leur quête de liberté. De leur côté, les Anglais préparaient leur revanche. Édouard Ier revient dans son royaume et fait lever une grande armée de 10 000 hommes, avec 2 500 chevaliers qu’il fait voyager jusqu’à Édimbourg et Linlithcow, à quelques dizaines de kilomètres de Falkirk, là où s’est établi William Wallace afin de barrer le chemin des Highlands et, en premier lieu, de Stirling.
Pour contrer l’envahisseur, Wallace met sur pied une armée de 12 000 hommes avec 500 chevaliers. Avant la bataille, il met à sac la campagne d’Édimbourg, aussi appelé la pratique de la « terre brûlée », obligeant ainsi le roi anglais à chercher des provisions dans les villes et ports plus lointain.
Le choc entre les deux armées a lieu le 22 septembre 1298, aux environs de Falkirk, le champ de bataille exact n’a pas encore été identifié. Les Écossais sont positionnés au nord et ont formé quatre shiltroms au sommet d’une petite hauteur, avec des archers et une petite cavalerie. Les Anglais arrivent par le nord et commencent les hostilités par une double charge de cavalerie sur les flancs. Si les shiltroms résistent admirablement à la force des chevaux, la maigre cavalerie écossaise est mise très rapidement en déroute tout comme les archers. Pour venir à bout des piquiers écossais, Édouard Ier utilise ses archers, armés d’une nouvelle, le longbow (arc long en français). Il est redoutable car il a une grande portée et ses flèches peuvent transpercer des armures. Faiblement protégés, les Écossais succombent sous les volées de flèches. Les shiltroms s’écroulent et la cavalerie anglaise s’engouffre. La bataille est gagnée pour Édouard Ier. La très grande majorité de l’armée écossaise est tuée contre suelement 2 000 Anglais. William Wallace, quant à lui, est contraint de fuir. Cette défaite met un stop au projet de liberté de l’Écosse et anéantit la réputation du héros. Désavoué, il est contraint de renoncer à son titre de gardien et s’exile pendant un temps en Europe. Il n’existe pas de trace, ou alors très peu, de ce départ. Certains affirment qu’il est parti à la cour du roi de France Philippe IV pour demander du soutien, voire jusqu’à celle du pape à Rome.
Illustration de la bataille de Falkirk. On y voit l'évêque de Durham, Antony Bek, donnait la charge sur le shiltrom écossais. Illustration de James Grant (XIXe siècle)
Capture et exécution à Westminster
Son exil se termine en 1305. De retour en Écosse, il est capturé près de Glasgow, le 5 août, trahi par des amis et emprisonné par John de Mentheit, seigneur du château de Dumbarton, bien qu’Écossais également, il avait fait allégeance à l’Angleterre.
William Wallace, escorté jusqu'à Westminster pour y être jugé. Gravure d'un auteur anonyme (XIXe siècle)
Sous bonne garde, Wallace est emmené à Londres à la fin du mois d’août où il est jugé pour haute trahison et de nombreux autres crimes. Le 23 août, il est escorté hors de sa cellule jusqu’à Westminster’s Hall (aujourd’hui le palais du même nom). C’est là-bas qu’il est exécuté. Pour ses crimes, et pour marquer les esprits et les mémoires, il doit être pendu, éviscéré puis écartelé, le sort réservé aux traitres. Son exécution commence par le trajet de la Tour de Londres jusqu’à Smithfield, soit plusieurs kilomètres, où il est traîné par les pieds derrière un cheval. Il est ensuite pendu mais relâché juste avant la mort puis il est éviscéré, émasculé, écartelé et, enfin, décapité. Pour que tout le monde se rappelle son sort et évite de recommencer, sa tête est découpée et placée sur le pont de Londres. Ses quatre membres sont, eux, répartis à travers l’Écosse : Berwick, Stirling, Perth et Newcastle.
William Wallace (en blanc) lors de son jugement à Westminster. Peinture de Daniel Maclise (avant 1870)
Le souvenir de William Wallace
La mort de William Wallace est choquante en tout point de vue. Mais pour les Écossais, Wallace devient, grâce à cela, un martyr. Sa mort tragique galvanise les nobles, notamment Robert Bruce qui était l’un des seigneurs les plus hésitants dans sa prise de position. Il devient chef de file de la résistance. En 1306, il est fait roi d’Écosse et en 1314, il bat les Anglais à la bataille de Bannockburn. Cette victoire est suivie par l’indépendance de l’Écosse vis-à-vis de l’Angleterre. En 1320, les nobles d’Écosse déclarent officiellement l’indépendance dans la Déclaration d’Arbroath, envoyée au pape. En 1328, le traité d’Édimbourg-Northampton, entre le roi Édouard III et le fils et successeur de Robert Bruce, David Ier, reconnaît l’indépendance par le pouvoir anglais. Bien après sa mort, le rêve de William Wallace était accompli.
L’histoire et le souvenir de William Wallace sont restés en Écosse. Un siècle plus tard, en 1429, le poète Henry le Ménestrel (ou Harry l’Aveugle) compose The Actes and Deidis of the Illustre and Vallyeant Campioun Schir William Wallace (« Les Actes et Faits de l’Illustre et Vaillant Champion, sir William Wallace »). C’est d’ailleurs de cette histoire que proviennent la plupart des informations que l’on sait aujourd’hui, même si, pour beaucoup, elle relève d’un certain romantisme autour du héros. Il faut aussi faire avec les nombreuses correspondances anglaises de la période qui permettent de retracer nombre d’événements et d’acteurs. L'analyse des documents historiques met en lumière la double image que possède William Wallace. Pour les Ecossais, il est un héros sans aucun doute, potentiellement réécrit pour correspondre à l'image du justicier, qui, comme Robin des Bois, combat les Anglais pour son peuple. De l'autre côté, les Anglais ont misé très tôt sur le caractère clandestin, violent et isolé de son action. Il est vu comme un terroriste, même si le mot est tout à fait anachronique. Les chefs d'accusation de son procès reflète l'image noire qu'il a eu en Angleterre.
Sous l’époque victorienne (deuxième moitié du XIXe siècle), l’histoire de William Wallace est remise au goût du jour, tout comme le reste du Moyen Âge, dans ce que les historiens ont appelé le néo-gothisme. Des monuments sont construits à travers l’Écosse pour rappeler au peuple son champion passé. L’un d’eux est le Tour William Wallace à Stirling (voir ci-contre) en 1869. D’autres statues sont présentes à Aberdeen et au château d’Édimbourg.
Dans la culture populaire, le personnage de William Wallace est devenu un symbole mondial au moment de la sortie du film Braveheart en 1995 avec Mel Gibson dans le rôle principal. Bien que l’histoire soit fantasmée et qu’il y ait énormément d’anachronismes, le film traduit la place important qu’occupe Wallace dans les esprits. Il intègre également le monde de la musique avec des groupes comme Iron Maiden, Skiltron ou encore Civil War. Il apparaît également dans le monde du jeu vidéo avec une campagne dédiée dans le jeu Age of Empire II et est un personnage jouable dans les jeux de stratégie Medieval : Total War et Medieval II : Total War.
Cette statue de William Wallace se situe à côté de la tour de Stirling. Elle a été réalisé à partir du personnage joué par Mel Gibson dans Braveheart (1995) avec, en légende, le maître-mot de Wallace, Freedom (Liberté)
Publié par Adrien RASATA, le 09/08/2025
Articles similaires
Sources
Articles internet :
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Articles Wikipédia :
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Vidéos YouTube :
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- Profil Historique : William Wallace, Le Héros Ecossais (Histoire), par la chaîne La Minute d’Histoire et Mythologie, mise en ligne le 30 octobre 2021 [en ligne] [visionnée le 08/08/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/zOckQ0KkhsM
- Qui était le véritable WILLIAM WALLACE ?, par la chaîne HERODOC La Chaîne Histoire, mise en ligne le 17 avril 2024 [en ligne] [visionnée le 08/08/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/qLQehX7O1kA
- Who Was The Real William Wallace |Braveheart | Timeline, par la chaîne Timeline – World History Documentaries, mise en ligne le 28 janvier 2018 [en ligne] [visionnée le 08/08/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/pZcfyJOOyOc
- William Wallace : HEROS ou IMPOSTEUR ? La vérité CHOQUANTE ! | L’Histoire nous le dira #245, par la chaîne L’Histoire nous le dira, mise en ligne le 16 avril 2024 [en ligne] [visionnée le 08/08/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/WVI2vIzlqTE
- William Wallace à la bataille de Stirling Bridge, 1297 Première guerre d’indépendance écossaise, Part 1, par la chaîne HistoryMarche, mise en ligne le 16 novembre 2022 [en ligne] [visionnée le 08/08/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/-TThmA0I8nI
Crédits image :
- Statue de William Wallace. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:William_Wallace_Statue_,_Aberdeen2.jpg
- Portrait anonyme d’Edouard Ier. Source inconnue. Disponible sur : https://cosmovisions.com/EdouardIAngleterre.htm
- Portrait anonyme de William Wallace (XVIIe siècle). Source inconnue. Disponible sur : http://ironmaidencommentary.com/?url=album11_vxi/wallace&link=albums&lang=fra
- Illustration de la bataille de Stirling par Angus McBride. Disponible sur : https://www.focus-voyage.com/7911767/les-techniques-de-siege-medievales/
- Gravure anonyme de la bataille de Stirling. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:The_Battle_of_Stirling_Bridge.jpg
- Illustration de la bataille de Falkirk par James Grant, XIXe siècle. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:The_Bishop_of_Durham%27s_Charge_at_Falkirk.jpg
- Escorte de William Wallace jusqu’au palais de Westminster. Gravure anonyme du XIXe siècle. Disponible sur : https://www.thoughtco.com/william-wallace-biography-4156276
- Procès de William Wallace à Westminster. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:The_Trial_of_William_Wallace_at_Westminster.jpg
- Photographie de la tour de William Wallace ou Wallace Monument à Stirling. Disponible sur : https://fr.pinterest.com/pin/212232201175351424/
- Statue de William Wallace « Freedom » à Stirling. Licence Wikimédia Commons. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:William_Wallace_Statue.JPG
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