L'impératrice Théodora, la courtisane devenue impératrice

Théodora, la courtisane devenue impératrice. Peu dans l’histoire ont eu un destin aussi atypique. Fille du peuple, elle a su s’extraire de sa condition par des relations multiples et par le destin qui a mis sur sa route Justinien, futur empereur de l’Empire romain d’Orient. Théodora, c’est une histoire complexe, longtemps méconnue mais qui aujourd’hui se laisse dévoiler et qui offre ici de nombreuses leçons.

 

Detail mosaique de san vitale theodora

Mosaïque représentant l'impératrice Théodora. Basilique Saint-Vital, Ravenne, Italie.

 

Une femme du peuple

Théodora (dont le nom signifie « don de Dieu ») nait vers 495/500, dans une famille d’artistes de rue de Constantinople. Son père, Akakios est dresseur d’ours et sa mère, dont on ignore le nom, est danseuse. La famille se produit essentiellement durant les événements qui ont lieu à l’hippodrome de Constantinople. Entre deux courses de chars, il était courant d’avoir une présentation artistique pour continuer d’entretenir l’intérêt du public. Le père de Théodora meurt peu de temps après sa naissance, vers 503. Sa mère se remarie et son nouveau père prend la succession en tant que dresseur d’ours. Pour aider sa famille, Théodora participe aux spectacles en proposant des numéros de danse, d’acrobaties et de théâtre, notamment avec ses sœurs, Comito et Anastasie.

 

Course de chars dans l hippodrome de constantinople

Course de chars dans l'hippodrome de Constantinople. © WORLD HISTORY ARCHIVE/ALAMY STOCK PHOTO


Le chroniqueur Procope de Césarée, contemporain de Théodora, raconte également un événement marquant de la vie de Théodora. La vie à Constantinople était très tournée vers le divertissement et les plus riches comme les plus pauvres, utilisaient les jeux pour affirmer leur statut social. Étant d’extraction populaire, la famille de Théodora travaillait pour la faction du peuple, les Verts, qui s’opposaient à la faction aristocratique, les Bleus. Un jour, le chef des Verts licencie le beau-père de Théodora, laissant la famille sans revenu. La mère décide de faire appel à cette décision dans l’hippodrome, devant la faction verte. Elle ne reçoit que le silence mais en face, la faction bleue réagit et propose de recueillir la famille, en donnant un emploi au beau-père. Rejetée par les siens et acceptée par l’aristocratie, voilà la cause qui aurait, selon Procope, amené Théodora à mépriser une partie du peuple lorsqu’elle monta sur le trône.  

 

Les débuts dans la haute société

À 12 ans, Théodora est autorisée par sa mère à participer aux démonstrations théâtrales au côté de ses sœurs, notamment Comito, qu’elle suit partout. Elle y apprend beaucoup et commence à côtoyer des milieux de plus en plus mondains, Comito ayant du succès auprès de l’aristocratie. Théodora se distingue également lors de ces représentations dans l’hippodrome en se présentant quasi-nue, ce qui révulse Procope qui n’hésite pas, dans son œuvre Histoire secrète, à la présenter comme une prostituée aux mœurs légères dès qu’elle devient adolescente. Il faut savoir également que le théâtre n’est pas un art très apprécié par la société de l’époque et les acteurs et actrices sont vus comme des dépravés qui ne cherchent rien d’autre que montrer leur corps pour attirer des clients.


Il était à ce propos courant à l’époque que les actrices travaillent aussi comme courtisanes auprès de patrons fortunés afin de s’extraire de la mendicité et de la pauvreté qui régnaient dans le milieu théâtral. Lorsque Théodora a 14 ans, elle commence à accompagner Comito dans certains rassemblements mondains où elle découvre la vie de la haute société. C’est notamment au cours de ces rencontres, qu’à 16 ans, elle s’attire les faveurs d’un fonctionnaire syrien nommé Hékébolos et en devient la maîtresse.

Theodora au colisee benjamin constant

Théodora au Colisée par Benjamin Constant, XIXe siècle

Le voyage en Égypte

Lorsque Hékébolos est fait gouverneur de la province libyenne de Pentapolis, Théodora accompagne ce dernier dans son périple jusqu’à Apollonia. Elle vit quatre ans avec Hékébolos mais ce dernier la traite mal et refuse de la voir et de la désigner comme sa femme légitime. Découragée et se languissant de Constantinople, Théodora quitte la Libye et se dirige vers l’Égypte et finit à Alexandrie où elle se rapproche de l’Église en cherchant asile. À Alexandrie, elle se forme et apprend à lire, à écrire et à évoluer dans la société de son époque. Elle fait en outre la connaissance du patriarche Thimothée IV qui la marque profondément. Ce dernier est membre de l’Église monophysite, c’est-à-dire ne reconnaissant que l’essence divine de Jésus-Christ, contrairement aux dyophysites, pour qui le Christ est divin et humain. Convaincue par ses dires, Théodora se convertit au monophysisme.

 

Rencontre et mariage avec Justinien

Après son voyage en Égypte, Théodora prend la route d’Antioche. Elle y fait la rencontre d’une autre courtisane devenue aussi voyante, Macedonia. Sa nouvelle amie lui fait intégrer les hautes sphères de la société d’Antioche en l’amenant fréquemment dans des rassemblements de la noblesse byzantine. De retour à Constantinople vers 522, elle continue, grâce à son amie Macedonia, à tisser des liens dans la haute société locale. Un jour, elle finit par la faire la rencontre d’un certain Justinien, le neveu de l’empereur byzantin Justin Ier.  Justinien tombe amoureux de Théodora malgré la différence de statut et d’âge, il en a 40 et elle seulement 22. Malgré tout, il fait d’elle sa maîtresse.


Justinien, complètement sous le charme de Théodora, veut l’épouser mais il doit d’abord faire face à trois défis. Le premier, c’est le statut de Théodora, c’est une femme issue du peuple. Ce n’est pas un soucis pour Justinien qui lui donne en 524 le rang de patricienne, elle appartient désormais à la haute noblesse byzantine. Le deuxième, sa famille refuse qu’il épouse une ancienne courtisane, sa mère et sa tante, l’impératrice Euphémie, y sont farouchement opposées. Il peut cependant compter sur le soutien de son oncle Justin Ier. Lorsque la mère et la tante décèdent la même année, il ne lui reste plus qu’un seul obstacle, la loi. Il était alors interdit de se marier avec d’anciennes courtisanes. Grâce à l’aide de l’empereur, Justinien parvient à faire abroger cette loi et peut se marier avec Théodora à l’été 525. En 527, l’empereur Justin Ier meurt et c’est Justinien qui est désigné pour lui succéder. Grâce à son mariage, Théodora, ancienne courtisane, devient impératrice de l’Empire romain d’Orient. D’autre part, son royal mari la fait également sacrer lorsqu’il prend la pourpre impériale dans l’église Sainte-Sophie de Constantinople. Elle obtient alors le titre d’Augusta, montrant ainsi son importance dans le pouvoir byzantin.

 

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Portrait de Justinien Ier, Basilique Saint-Vital, Ravenne, Italie, VIe siècle

Une femme de pouvoir et d'initiatives

Plus qu’une simple reine consort, Justinien fait de Théodora une actrice à part entière du pouvoir. Elle participe au gouvernement en secondant son mari. Ainsi, le nom de Théodora est apposé à côté de celui de Justinien sur certains actes administratifs ou des nominations de fonctionnaires. Procope de Césarée mentionne dans ses écrits la complicité qui anime le couple impérial qui ne faisait rien sans l’autre. Justinien demandait sans cesse l’avis de Théodora, qui était présente lors des grands conseils.


Théodora participe également à la construction politique de l’Empire en développant certains points du droit romain. En 528, Justinien fait publier le Code (aussi dit Code Justinien) qui compile toutes les lois romaines depuis le règne d’Hadrien au IIe siècle de notre ère afin d’unifier le droit. Parmi les actes du Code, Théodora participa à la rédaction de certains, notamment ceux traitant de la condition des femmes. Elle fit en sorte que les femmes acquièrent plus de droits comme celui de percevoir une partie de l’héritage familial, de demander le divorce, les veuves ont davantage de protection concernant leur dot, la « traite des blanches » est interdite, les peines pour adultères sont allégées pour les femmes, etc. Les courtisanes privilégient aussi des faveurs de Théodora. Des mesures de protection sont créées, la prostitution des mineures est prohibée, les bordels sont fermés et le proxénétisme interdit.


Selon certains historiens comme Virginie Girod ou Paolo Cesaretti, bien que Théodora soit à l’initiative de ces innovations il faut aussi y voir le début d’une christianisation des mœurs qui met fin à certaines pratiques issues de l’Empire romain païen. Il faut en outre voir Théodora comme une femme de son temps qui agit cependant plus que les autres grâce à sa place au plus près du pouvoir.

 

Theodora et justinien illustration

Théodora régnant avec Justinien

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Impératrice Théodora par Benjamin Constant, fin XIXe siècle

Théodora tisse d’autre part un puissant réseau d’influence au sein du palais et dans l’empire. Pendant sa jeunesse, elle fit la connaissance d’une courtisane nommée Antonina qui devint son amie et fut ensuite la femme du général Bélisaire, l’un des plus grands généraux de l’Empire. Lorsque les relations entre les deux femmes se tarissent et que Bélisaire semble prendre trop d’importance, au cours des années 540, Théodora le faire revenir d’une campagne en Italie et le démet de ses fonctions, lui faisant au passage perdre tous ses privilèges. Ce n’est qu’avec les projets d’expansion de Justinien que Bélisaire obtient sa réintégration tout en entretenant un profond mépris pour l’impératrice.


Théodora a aussi pris part aux transformations religieuses de son temps. S’étant convertie au monophysisme, elle fait en sorte de protéger ce courant lorsqu’il est menacé par d’autres, notamment le dyophysisme, devenu la foi principale après le concile de Chalcédoine de 451. Lorsque Justinien, dyophysite, cherche à appliquer ce courant dans tout l’empire pour renouer ses liens avec la papauté à Rome, il doit faire face à une opposition farouche de sa femme et finalement, renonce à son uniformisation religieuse. De son côté, Théodora parvient à protéger certains proches monophysites comme les patriarches d’Alexandrie et de Constantinople, Théodose et Anthime. Cette protection va jusqu’à participer à la destitution du pape Silvère en faveur de Vigile (537-555), un monophysite.


Pour ses actions religieuses, mais pas seulement, Théodora, tout comme Justinien, devient un saint de l’Église orthodoxe, qui prend la suite de l’Église monophysite d’Oriente. Elle est célébrée tous les 14 novembre avec son mari.

L’événement de la sédition Nika

Parmi les nombreuses actions politiques de Théodora, celle réalisée durant la sédition Nika en 532 a particulièrement marqué ses contemporains. Justinien a entrepris depuis plusieurs années la reconquête des terres de l’empire romain avec de nombreux succès. Mais à Constantinople, les tensions montent car ces expéditions sont coûteuses en or et en vies. De plus, les tensions aristocratiques et populaires se font de plus en plus fortes, les uns reprochant sa politique à Justinien, les autres s’attaquant à Théodora en utilisant son passif de courtisane comme justification d’une mauvaise conduite des questions politiques. En janvier, alors que le couple impérial préside une course de chars dans l’hippodrome, le peuple se révolte. Les Bleus comme les Verts, pourtant fortement opposés les uns aux autres, forment une alliance et annoncent la déchéance de Justinien. Sous les cris de Nika (« sois vainqueur » ou « remportons la victoire), formule normalement utilisée pour encourager les coureurs, la foule bondit sur la piste de l’hippodrome et dans une furie sans nom, dévaste le lieu et les quartiers environnants de la ville. Des feux éclatent et les destructions sont nombreuses comme celle de l’église Sainte-Sophie. Entre-temps, un nouvel empereur est désigné, Hypatios, neveu de l’ancien empereur Anastase Ier (491 – 518). 

 

Sedition nika illustration

 

Théodora et Justinien sont escortés loin de la foule par leur garde jusqu’au Palais impérial. Face à la foule déchaînée, Justinien faiblit, se dit prêt à renoncer au pouvoir et à se rendre. C’est alors, selon les quelques récits parvenus jusqu’à nous, que Théodora aurait prononcé ces paroles :


« Ne sommes-nous pas tous voués à la mort dès notre naissance ? Ceux qui ont porté la couronne ne doivent pas survivre à sa perte. Je prie Dieu qu'on ne me voie pas un seul jour sans la pourpre. Que la lumière s'éteigne pour moi lorsqu'on cessera de me saluer du nom d'impératrice ! Toi, autokrator (en désignant l'Empereur), si tu veux fuir, tu as des trésors, le vaisseau est prêt et la mer est libre ; mais crains que l'amour de la vie ne t'expose à un exil misérable et à une mort honteuse. Moi, elle me plaît, cette antique parole : que la pourpre est un beau linceul ! » [1]


La sédition Nika est ensuite rapidement matée. Le général Bélisaire marche sur les révoltés et les ramènent vers l’hippodrome. Il procède ensuite à un immense massacre qui fait plus de 30 000 morts. Hypatios l’usurpateur est quant à lui exécuté. Cette révolte qui s’est terminée dans le sang a ravagé Constantinople mais elle a aussi montré le rôle de soutien et l’esprit fort de Théodora auprès de Justinien. C’est également après la sédition Nika que l’église Sainte-Sophie est reconstruite et c’est cette nouvelle église qui a servi de base à la construction de la mosquée Ayasofia lors de la conquête ottomane, encore là aujourd’hui.

 

Justinien et theodora reprimant la sedition nika

Justinien et Théodora répriment la sédition Nika, artiste inconnu.

 

[1] Cette citation n'est sans doute pas celle que prononça Théodora mais cette dernière a quand même participé à la stabilité du pouvoir dans ce moment de crise. "Que le pourpre est un beau linceul" semble être une citation de Denys de Syracuse.

 

Mémoire et récits de la vie de Théodora

Théodora meurt finalement en 548 d’un cancer. Son mari Justinien lui survit jusqu’en 565, sans jamais reprendre de femme, preuve de l’amour qu’il lui portait. Le couple n’a pas eu d’enfant. Sa nièce, Sophie, épousera plus tard, grâce à l’influence de sa tante, le futur empereur Justin II. Théodora est enterrée dans l’église Sainte-Sophie et Justinien fera installer son cercueil à ses côtés.


Bien qu’elle ait marqué son temps, Théodora a laissé une image contrastée à la postérité. Il existe peu de traces écrites en dehors de celles des auteurs Procope de Césarée et Jean d’Éphèse. Chez le premier, le portrait de Théodora a évolué dans le temps. Procope a produit trois écrits mentionnant Théodora. Dans les deux premiers, Histoires sur les Guerres et Sur les monuments, il met en avant les grandes actions de Théodora, dressant un portrait élogieux du couple impérial. Mais dans son dernier récit, Histoire secrète, l’image est totalement inversée. Il met en avant les défauts de Théodora avec comme arguments phares ses origines et son passé de courtisane. Dans ce pamphlet, l’auteur n’hésite pas à dénigrer Théodora, mais aussi Justinien, en la qualifiant de tous les noms et parfois en inventant des bouts d’histoire pour renforcer son propos. Il faut certes prendre la source qu’est Procope avec prudence, car son dernier livre paraît après le décès de Théodora et il est posthume à l’auteur. Également, Procope fait partie de ceux qui dénigrent ouvertement les femmes de pouvoir dans la société byzantine de l’époque, d’autant plus lorsqu’elles ont un lien avec le milieu des plaisirs et de la nuit.


Pour ce qui est de la description de Théodora, Procope en donne aussi une image, parfois peu flatteuse, mais un portrait, idéalisé, est toutefois parvenu jusqu’à nous. En effet, dans la basilique Saint-Vital (San Vitale en italien) de Ravenne, on peut apercevoir une mosaïque représentant Justinien et en face Théodora accompagnée d’une suite.

 

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Mosaïque de la basilique Saint-Vital de Ravenne représentant Théodora et sa suite. VIe siècle. Italie.

 

Le personnage de Théodora disparaît ensuite, malgré une impératrice éponyme au IXe siècle, jusqu’à réapparaître au XIXe siècle dans des pièces de théâtre. En 1884, le dramaturge Victorien Sardou met ainsi en scène sa pièce Théodora, une adaptation de l’histoire de l’impératrice, interprétée par la star du moment, Sarah Bernard. Elle poursuit son aventure culturelle en intégrant ensuite les lieux de tournage du cinéma dès les années 1910 avec une adaptation cinématographique de la pièce de Victorien Sardou par Henri Pouctal. En 1952, sort Théodora, impératrice de Byzance de Riccardo Freda, avec Gianna Maria Canale dans le rôle principal. Elle devient également le sujet de nombreuses œuvres picturales comme celles de Benjamin Constant, peintes à la fin du XIXe siècle, en pleine vague orientalisante. Théodora garde dans la culture contemporaine cette image d’impératrice à la fois mystérieuse mais aussi douée d’un charisme insoupçonné et où le fort caractère marque les représentations.


En conclusion, l’histoire de Théodora montre le destin atypique d’une femme du peuple qui a travaillé pour s’extraire de sa condition et qui, grâce aux hasards du destin a su se hisser au sommet de la société. Bien que la chance ait sa place, il faut aussi rendre à César ce qui est à César et admettre son œuvre législative et ses actions fortes qui montrent qu’elle a pris pleinement part au pouvoir et a su user des talents qu’elle a développés depuis sa jeunesse. Théodora, c’est aussi une figure qui inspire encore aujourd’hui, femmes comme hommes, à la fois pour ses actions et sa vie romanesque. Petit à petit, son histoire sort de l’ombre, grâce notamment à des historiennes et historiens comme Virginie Girod qui publie une biographie en 2018, Théodora, prostituée et impératrice de Byzance (éd Tallandier).

 

Jennie churchill dans le role de theodora

Lady Randolph Spencer-Churchill habillée en Théodora. 1897.
Photographie de James Lafayette

Publié par Adrien RASATA, le 27/11/2024

Bibliographie

Articles internet :

•    Aziza, C. (2018). Théodora, beauté fatale. lhistoire.fr. [en ligne] Consulté le 27 novembre 2024, à l’adresse
https://www.lhistoire.fr/théodora-beauté-fatale
•    Cartwright, M. (2018, avril 03). Impératrice Théodora [Empress Theodora]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. [en ligne] Consulté le 22 novembre 2024 à l’adresse
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•    Choppin, B. (2021). Théodora, impératrice d’Orient | Odysseum. [en ligne] Consulté le 27 novembre 2024, à l’adresse
https://odysseum.eduscol.education.fr/theodora-imperatrice-dorient
•    Gathelier, N. (2013, 7 juin). Théodora et les dignitaires de la cour par - œuvre d’art analysée en images | Panorama de l’art. Panorama de L’art. [en ligne] Consulté le 27 novembre 2024, à l’adresse
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•    Lamant, S. (2021, 3 avril). Théodora : la saltimbanque devenue impératrice. Histoires Royales. [en ligne] Consulté le 22 novembre 2024, à l’adresse https://histoiresroyales.fr/histoire-imperatrice-theodora-byzance-cirque/
•    Lavie, M. (s. d.). Sainte impératrice Théodora (VIe s., épouse de Justinien) - Αγία Θεοδώρα (gr.) - icone grecque byzantine orthodoxe traditionnelle. [en ligne] Consulté le 27 novembre 2024, à l’adresse
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•    Le Roy, A. (2018, 16 avril). Maîtresse de l’Empire byzantin : Théodora, iconique. ActuaLitté.Com. [en ligne] Consulté le 27 novembre 2024 à l’adresse https://actualitte.com/article/19670/chroniques/maitresse-de-l-empire-byzantin-theodora-iconique

•    Petitot, M. (2022, 17 février). Théodora, auguste impératrice de Constantinople. Plume D’histoire. [en ligne] Consulté le 27 novembre 2024, à l’adresse https://plume-dhistoire.fr/theodora-auguste-imperatrice-de-constantinople/


Articles Wikipédia :
•    Contributeurs aux projets Wikimedia. (2024b, novembre 17). Sédition Nika. [en ligne] Consulté le 27 novembre 2024, à l’adresse
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sédition_Nika
•    Contributeurs aux projets Wikimedia. (2024, 21 octobre). Théodora (impératrice, épouse de Justinien Ier). [en ligne] Consulté le 27 novembre 2024, à l’adresse
https://fr.wikipedia.org/wiki/Théodora_(impératrice,_épouse_de_Justinien_Ier)

 

Vidéos YouTube :
•    Alain Decaux Raconte – Théodora, impératrice de Byzance, par la chaîne L’Histoire racontée, mise en ligne le 25 mai 2023 [en ligne] [visionnée le 27/11/2024]. Disponible sur :
https://youtu.be/p8Fo-QNt-Ik
•    L'incroyable ascension sociale de THEODORA de l'Empire Byzantin, par la chaîne House Longbow, mise ne ligne le 22 décembre 2022 [en ligne] [visionnée le 27/11/2024]. Disponible sur :
https://youtu.be/2B1ysAXbflQ
•    Retour sur un mythe féminin de Virginie Girod : « Théodora, prostituée et impératrice de Byzance » par la chaîne La Grande Librairie – France Télévisions, mise en ligne le 11 mai 2018 [en ligne] [visionnée le 27/11/2024]. Disponible sur :
https://youtu.be/-jIB8iEOXGg
•    Theodora : The Byzantine Empress – History Documentary, par la chaîne The Synthetic Saga, mise en ligne le 20 août 2023 [en ligne] [visionnée le 27/11/2024]. Disponible sur :
https://youtu.be/FMEV9VSr29s
•    Théodora, impératrice de Byzance, par la chaîne Tout sur l’histoire avec Damien, mise en ligne le 30 avril 2023 [en ligne] [visionnée le 27/11/2024]. Disponible sur :
https://youtu.be/zHfRP49X1_o
•    Théodora. Prostituée et impératrice de Byzance | Historiquement Show | L’Histoire, par la chaîne Theodora Sabbatius, mise en ligne le 7 mars 2018 [en ligne] [visionnée le 27/11/2024]. Disponible sur :
https://youtu.be/oF_NgPm4Hfk
•    Théodora une ancienne prostituée devenue impératrice ? par la chaîne Anita Historia, mise en ligne le 18 juin 2022 [en ligne] [visionnée le 27/11/2024]. Disponible sur : https:
//youtu.be/YHP2HOBsvZo

 

Crédits images :
1)    Portrait de l’impératrice Théodora dans la basilique Saint-Vital de Ravenne, Italie. Mosaïque. VIe siècle. Disponible sur :
https://www.britannica.com/biography/Theodora-Byzantine-empress-died-548
2)    Illustration d’une course de chars dans l’hippodrome de Constantinople. Artiste et source inconnus. Disponible sur :
https://toutistanbul.com/hippodrome-de-constantinople-istanbul/
3)    L’impératrice Théodora au Colisée. Jean-Joseph Benjamin-Constant, fin XIXe siècle. Wikimedia Commons. Disponible sur :
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Benjamin-Constant-L’Imperatrice_Theodora_au_Colisée.jpg
4)    Portrait de Justinien dans la basilique Saint-Vital de Ravenne, Italie. VIe siècle. Mosaïque. Wikimedia Commons. Disponible sur :
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Mosaic_of_Justinianus_I_-_Basilica_San_Vitale_(Ravenna)_(1).jpg?uselang=fr
5)    Illustration montrant Théodora et Justinien gouvernant. Auteur et source inconnus. Disponible sur :
https://fr.pinterest.com/pin/293015519496611126/
6)    Portrait de l’impératrice Théodora par Jean-Joseph Benjamin-Constant, 1887. Wikimedia Commons. Disponible sur :
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:La_Emperatriz_Theodora_-_Jean-Joseph_Benjamin-Constant.jpg
7)    Illustration de la sédition Nika, Artiste et source inconnus. Disponible sur :
https://byzantium-blogger.blog/2020/05/27/roman-and-byzantine-empire-comparison-series-part3-life-and-culture/slaughter-in-the-hippodrome-at-constantinople-in-ad-532/
8)    Illustration de la répression de la sédition Nika par Justinien. Artiste et source inconnus. Disponible sur :
https://novoscriptorium.com/2020/03/11/justinian-ascends-to-the-imperial-throne-the-sedition-of-nika/comment-page-1/
9)    Mosaïque de la basilique Saint-Vital de Ravenne figurant Théodora et sa suite. VIe siècle. Disponible sur :
https://www.dailyartmagazine.com/san-vitale-mosaics/
10)    Jennie Churchill habillée en impératrice Théodora. Photographie de James Lafayette, 1897. V&A Lafayette Archive. Disponible sur :
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Jennie_Churchill_Theodora.jpg

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