1940 - Les Cadets de Saumur
Alors que la bataille de France résonne pour le public comme l’une des plus grandes humiliations de l’histoire militaire française, les combats de Saumur inversent la tendance. Sur les rives de la Loire, se sont battus plus de 2 000 hommes pour ralentir l’avancée allemande entre les 19 et 21 juin 1940. Parmi ces hommes, on trouve des élèves officiers, ceux que l’histoire a nommé les « cadets de Saumur ». Inexpérimentés et en infériorité numérique, des élèves et des soldats ont combattu jusqu’au bout. Retour sur un épisode méconnu mais qui est à l’origine d’une légende et d’une fierté pour la région de Saumur.
Photographie d'une promotion de l'école de cavalerie de Saumur
La guerre arrive en France
Le 3 septembre 1939, la France déclare la guerre à l’Allemagne d’Hitler après son invasion de la Pologne, deux jours plus tôt. Mais les combats ne commencent qu’en mai 1940, après ce que les historiens ont nommé la « drôle de guerre ». L’attaque allemande a totalement surpris le dispositif français, retranché derrière la ligne Maginot. Les Allemands se sont faufilés à travers la forêt des Ardennes et ont pu contourner les armées présentes dans le nord-est et dans le nord de la France. Alors qu’une partie des forces françaises tentent de contenir l’avancée ennemie, elles finissent par chercher à prendre la mer à Dunkerque pour aller trouver refuge en Angleterre. Mais pour les autres, les combats continuent. La Bataille de France se déplace toujours plus au sud, notamment après la perte de la ligne de défense Somme-Aisne, le 10 juin, puis de Paris le 14 juin. Désormais, il faut organiser une ligne de défense, avec comme élément de relief, la Loire.
Pour cela, le commandement militaire divise le fleuve en différents secteurs où se concentrent des villes, de plus ou moins grandes importances, mais, surtout, des points de passage comme des ponts routiers et ferroviaires. L’un de ces secteurs se concentre autour de Saumur, allant du Thoureil, au nord-ouest, jusqu’à Candes-Saint-Martin, au sud-est, soit un secteur de près de 40 km de long. Le colonel Charles Michon (voir portrait ci-contre) est nommé comme chef de secteur et il a sous ses ordres, non pas une unité combattante traditionnelle, mais les élèves de l’École de cavalerie de Saumur. Ce sont de futurs officiers, des jeunes d’à peine vingt ans.
Portrait du colonel Charles Michon
Saumur et la défense de la Loire
Le secteur de Saumur est tout à fait stratégique. Il comprend quatre ponts : un double pont à Gennes, deux à Saumur, un routier et un ferroviaire, et un à Montsoreau. Avant même le début des combats, le haut commandement décide de retirer ses troupes de ce secteur pour aller plus au sud, à Montauban, plus défendable. L’avancée allemande, rapide et en supériorité numérique et matérielle, ne laisse que peu d’espoir pour les défenseurs. Pour autant, le colonel Michon, à la fois en tant que chef de secteur mais aussi vétéran de la Grande Guerre et fervent patriote, refuse de quitter Saumur. Cela risquerait d’ouvrir une poche dans la ligne de défense. Sa décision est soutenue par les membres de l’École de cavalerie qui choisissent, tous, élèves et instructeurs, de participer aux combats. Le 17 juin, le maréchal Philippe Pétain, alors président du Conseil des Ministres, annonce le début de pourparlers pour obtenir l’armistice. Michon, ainsi que les élèves et les officiers, sont outrés et, portés par la fougue de la jeunesse et l’honneur du soldat, se lèvent pour défendre leur terre contre les Allemands.
Malgré les protestations du maire de Saumur, Robert Amy, la ville, qui comptait au départ se constituait ville-ouverte et être épargnée, est transformée avec des postes de défenses sur les rives nord et sud de la Loire. Bien que téméraire, le colonel Michon fait tout de même partir les éléments non-combattants ou en incapacité du secteur pour Montauban. Les Saumurois qui restent, ainsi que ceux de Gennes et Montsoreau, doivent s’attendre aux destructions à venir.
Carte de la bataille de Saumur avec les positions des différentes troupes. ©Patrick de Gmeline
Pour organiser la défense, sont présents des élèves-officiers de l’École de Saumur (alors appelée l’École d'application de la cavalerie et du train), aussi appelés élèves aspirants de réserve ou E.A.R. Ils sont environ 800 (550 pour la cavalerie et 240 pour le train), accompagnés de leurs officiers et instructeurs, avec à leur tête le colonel Michon. À leurs côtés se trouvent des éléments éparses mêlant des groupes armés locaux comme des corps francs, des tirailleurs algériens (200), le 1er Corps Franc motorisé du capitaine Neuchèze, les E.A.R de l’École d’infanterie de Saint-Maixent et, enfin, 260 cavaliers du 19e régiment de dragons, ce qui fait un total d’environ 2 500 hommes. C’est peu et il faut également prendre en compte la pauvreté matériel des Français. Les armes dont ils disposent sont vétustes, comme les mousquetons ou les radios, et en trop faibles quantités. Les munitions vont vite manquer et les armes de soutien comme les mitrailleuses, les canons et obusiers sont eux-aussi en effectifs restreints, sans oublier l’absence d’une couverture aérienne. En tout, on compte 24 blindés, 5 canons de 75 mm, 13 canons anti-char de 20 et 30 mm et 15 mortiers
Sur tout le long du fleuve, des petites brigades sont positionnées, majoritairement sur la rive sud, avec des mitrailleuses et des canons, pour observer et empêcher le passage aux troupes ennemies. Des explosifs sont posés sur les ponts pour les faire sauter. À Gennes et Saumur, les défenseurs doivent faire avec une île au milieu du fleuve. Elles sont fortifiées avec les moyens du bord mais elles sont aussi envisagées comme des bastions de résistance. Concernant les habitants qui sont restés, des consignes de protection passive sont distribuées, comme la localisation des abris les plus proches.
Position défensive française au-dessus des ponts de Gennes. Dessin original de Geoffroy de Navacelle, cadet de Saumur
Le dévouement des cadets de Saumur
Entre les 17 et 18 juin, les préparatifs se font, tandis que les Allemands se rapprochent, inexorablement. Les défenseurs ont face à eux la 1re division de cavalerie allemande, commandée par le Generalmajor Kurt Feldt, ainsi que les 1re et 11e divisions d’infanterie des Generalmajor Kleffel et von Böckmann, pour un total d’environ 40 000 hommes, 150 blindés, 300 pièces d’artillerie et le soutien d’avions de la Luftwaffe.
Les premiers affrontement ont lieu au matin du 19 juin. Une colonne allemande est repérée à 00h15 et des éclaireurs sont repoussés sur la rive nord. Tout au long de la journée, les différents ponts sont dynamités, le premier à Saumur à 00h20 et le dernier à Montsoreau à 23h50. Désormais, les Allemands doivent franchir le fleuve à la nage. Toutefois, les troupes présentes sur les îles de Gennes et de Saumur (respectivement les brigades Desplats et Buffévent) sont désormais isolées.
Durant toute la journée du 19, des combats ont lieu sur tout le pourtour du secteur. Les Français parviennent à tenir leurs positions et à repousser les Allemands mais subissent aussi le feu nourri des pièces d’artillerie. Au soir, aucune percée allemande n’a été signalée.
Tout change dans la nuit du 19 au 20 juin. Les combats sur l’île de Gennes se sont intensifiés avec un important barrage d’artillerie. Les Français offrent une résistance héroïque mais ils sont petit à petit submergés par les assaillants. Le lieutenant Desplats organise les quelques foyers de résistance et pour galvaniser ses soldats leur dit : « On fait une fois le sacrifice de sa vie. Après, on est un soldat… » Malheureusement, il est tué par un obus quelques temps après. Les quelques survivants, épuisés, se rendent aux Allemands. Ceux présents sur la rive sud se replient sous les ordres du lieutenant Roimarmier mais il est à son tour tué par un obus. Sous le commandement du capitaine Folz, les brigades résistent puis finissent par décrocher en se dirigeant vers Gennes et Argenton où ils offriront une résistance éphémère pendant quelques jours supplémentaires. Le système défensif du colonel Michon est désormais enfoncé.
Une situation similaire a lieu à Montsoreau. Les Allemands bombardent la position et des barques sont posées sur le fleuve. Malgré le feu nourri des mitrailleuses françaises, des soldats allemands parviennent à prendre pieds sur la rive sud. Des rumeurs parlent également de soldats infiltrés parmi les civils, faisant craindre à un contournement grâce à des espions, la fameuse « cinquième colonne ». Finalement, la position de Montsoreau est abandonnée le 20 juin en début de soirée. Les hommes rejoignent ensuite Chavigny, lieu de repli désigné pour toutes les brigades.
Cadets de Saumur au pont de Montsoreau © Site internet ville de Saumur
Il ne reste plus que le secteur de Saumur. Le 20 juin, les combats sont eux aussi terribles. La ville est bombardée par un important feu d’artillerie et des barques allemandes sont placées sur la Loire. Malgré la riposte des défenseurs, les assaillants commencent à prendre pieds à Saumur et dans ses environs. Les chars, les canons et les avions allemands paralysent les positions françaises qui communiquent difficilement. Les radios ne fonctionnent plus et les communications doivent se faire par messages transmis par motos, souvent visées par les soldats ennemis. À Saumur, la brigade du lieutenant Buffévent tente une percée au nord de la Loire mais le lieutenant est tué dans l’opération et les quelques survivants parviennent à revenir au sud. La supériorité allemande est écrasante et les Français reculent sans cesse. Une résistance s’organise à la ferme d’Aunis, aux environs de Dampierre. Des escadrons de Saint-Maixent tiennent la place et sont menacés d’encerclement par les Allemands. Malgré l’envoi de blindés par Michon, la position est finalement intenable. Après une opposition farouche, les soldats français, menés par le capitaine Bleuze et encore en état de combattre, sont évacués vers Chavigny. Les blessés sont malheureusement laissés sur place et faits prisonniers.
Au soir du 20 juin, les défenses du colonel Michon sont totalement enfoncées. Malgré le courage de ses hommes, il ne peut pas tenir la position et organise la retraite vers le sud. Depuis le château de Chavigny, la troupe forme une colonne et entame la retraite. Cette dernière ne se fait pas sans heurts. L’arrière-garde est attaquée à Loudun et des soldats sont faits prisonniers. Le 21, le reste de la colonne est fait prisonnier et escorté sous bonne garde jusqu’à Saumur, où ils arrivent le 30 juin. La guerre était terminée pour les hommes du colonel Michon.
Illustration des combats de la ferme d'Aunis par Geoffroy de Navacelle. On y voit des soldats français qui tentent de rejoindre la ferme, encerclée par les Allemands
La légende des cadets de Saumur est née
Bien que les combats aient pris fin à Saumur, l’histoire des soldats du secteur n’est pas terminée. En effet, le commandant Feldt décide, le 3 juillet, de laisser ses prisonniers franchir la ligne de démarcation à Loches afin d’entrer en France libre et de retrouver leurs camarades à Montauban. Pour montrer son admiration des Français, Fledt donne l’ordre de leur rendre les honneurs militaires. Bien qu’en infériorité, les Français se sont battus avec une bravoure qui a marqué leur adversaire. Encadrés par leurs officiers et armés, les Français passent la ligne de démarcation en recevant les honneurs militaires de la part des Allemands.
Mais ce qui a durablement marqué l’histoire, outre les actes guerriers, c’est bien l’acquisition du nom des « Cadets de Saumur ». Ce terme n’appartient pas au vocabulaire militaire français. Il fut emprunté à l’allemand après la reddition de la ferme d’Aunis. Voyant le jusqu’au-boutisme des élèves aspirants de Saint-Maixent et de Saumur, un officier allemand se serait exclamé « Kavalleriekadetten, tapfere Soldaten », traduit en français par : « Cadets de Cavalerie, braves soldats ». L’origine de cette appellation est parfois attribuée à d’autres acteurs comme Feldt ou bien le général von der Konach qui l’utilise lors de son rapport sur les combats le 3 juillet. Quoiqu’il en soit, depuis les combats de Saumur, les élèves aspirants de réserve sont devenus les cadets de Saumur et leur nom est entré dans l’histoire de la France.
Les Allemands rendent les honneurs militaires aux défenseurs de Saumur lors de leur passage à Loches. Dessin de Geoffroy de Navacelle
Une fois la paix signée, les soldats du secteur de Saumur furent récompensés par une citation à l’Ordre de l’armée par le général Weygand :
"Sous le commandement du colonel Michon, reflétant l’âme de son chef, l’Ecole Militaire de la Cavalerie et du Train, a combattu les 19, 20 et 21 juin 1940, jusqu’à l’extrême limite de ses moyens de combat, éprouvant de lourdes pertes, prodiguant les actes d’héroïsme et inscrivant dans les fastes de la Cavalerie, une page digne entre toutes de son glorieux passé. A suscité, par sa bravoure, l’hommage de son adversaire."
On remarque que l’histoire des cadets de Saumur fait peu de cas des autres soldats comme les tirailleurs algériens mais aussi les sapeurs, les troupes blindées, les cavaliers du 19e dragons ou bien des E.A.R de Saint-Maixent. Cet article est là pour que leur histoire ne finisse pas encore une fois aux oubliettes.
Pour ce qui est du bilan des combats, les Français accusent les pertes les plus lourdes avec 250 morts (dont 79 pour les E.A.R de Saumur) et des dizaines de blessés. En face, les Allemands dénombrent tout de même 132 pertes. Ainsi, bien que les Français comptent nombre de soldats inexpérimentés et en infériorité numérique et matérielle, ils ont su mettre en place une résistance suffisante pour stopper l’avancée allemande pendant 2 jours.
Destructions dans la ville de Saumur. Photographie anonyme
Pour rappeler le souvenir de ces sacrifices, l’appellation « Cadets de Saumur » est désormais adoptée pour les élèves de Saumur et, tous les 5 ans, des cérémonies militaires ont lieu pour commémorer les combats de juin 1940. Des reconstitutions ont lieu et des vétérans sont invités pour l’occasion. Malheureusement, le dernier des cadets, Yves Raynaud, est décédé en septembre 2023, à l’âge de 104 ans. D’autre part, en 2016, le pont parisien de Grenelle a été rebaptisé « Pont de Grenelle-Cadets de Saumur » et plusieurs promotions d’élèves officiers portent le nom des cadets de Saumur. L’une d’elles est, à ce titre, nommée « colonel Michon ».
Les combats de Saumur ont été, comme vus ci-dessus, décidés bien avant d’avoir commencés. Ce récit peut être identifié à la bataille des Thermopyles avec un ennemi infiniment plus nombreux et mieux équipé. Cependant, l’histoire des cadets de Saumur inspirent encore aujourd’hui par le devoir qui animait ces hommes, aussi bien les vétérans de 14-18, les officiers de l’armée devenus instructeurs que les cadets qui n’avaient jamais connu les combats. Cette bataille fut menée pour la France et dans une stratégie plus globale de maintenir le front pour organiser la contre-attaque. Ainsi, contre les ordres de Philippe Pétain de déposer les armes pour l’armistice, ces soldats les ont pris pour combattre pour ce qu’ils trouvaient juste. De cette façon, ils ont marqué l’histoire.
Publié par Adrien RASATA, le 08/07/2025
A lire :
Focus sur les combats des cadets de Saumur, écrit par la ville de Saumur. Voir sur : https://www.ville-saumur.fr/bataille-des-cadets-de-saumur
Sources
Articles internet :
- Arquus Defense. (s. d.). La légende des cadets de Saumur. Aarquus Defense. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://www.arquus-defense.com/fr/la-legende-des-cadets-de-saumur
- Chemins de mémoires. (s. d.). Les combats de la Loire Juin 1940 | Chemins de mémoire. Chemins de Mémoires. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://www.cheminsdememoire.gouv.fr/index.php/fr/les-combats-de-la-loire-juin-1940
- Chemin de mémoires. (s. d.). Les combats de Saumur | Chemins de mémoire. Chemin de Mémoires. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/les-combats-de-saumur
- Cochin, H. (s. d.). cadets. cavaliers.blindes.free.fr. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse http://cavaliers.blindes.free.fr/cadets.html
- De Pignerolle, M. D. B. (2024, 9 mai). Le Mémorial visite les Cadets de Saumur. Mémorial des Bunkers de Pignerolle. Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://memorial-bunkers-pignerolle.org/le-memorial-visite-les-cadets-de-saumur
- Le kiosque le journal. (2023, 10 septembre). Histoire locale. Les combats de Saumur : 19 juin 1940 & # 8211 ; 21 juin 1940. Saumur Kiosque - Saumur | Doué-la-Fontaine | Longué | Baugé | Thouars | Loudun | Chinon | Avoine | Bourgueil. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://www.le-kiosque.org/histoire-locale-les-combats-de-saumur-19-juin-1940-21-juin-1940/
- Pinard Legry, A. (2020, 18 juin). Juin 1940, la résistance héroïque des cadets de Saumur. Aleteia. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://fr.aleteia.org/2020/06/18/juin-1940-la-resistance-heroique-des-cadets-de-saumur/
- Theatrum Belli. (2025, 19 juin). 19 juin 1940 : Les élèves-aspirants de réserve (EAR) de cavalerie et du train de Saumur se battent pour l’honneur et stoppent la progression de 40 000 soldats allemands. Theatrum Belli. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://theatrum-belli.com/19-juin-1940-les-eleves-aspirants-de-reserve-ear-de-cavalerie-et-du-train-de-saumur-se-battent-pour-lhonneur-et-stoppent-la-progression-de-40-000-soldats-allemands/
- Ville de Saumur. (s. d.). La bataille des Cadets de Saumur. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://www.ville-saumur.fr/bataille-des-cadets-de-saumur
Articles de presse :
- Ouest-France. (2025, 19 juin). Il y a 85 ans, les Cadets de Saumur résistaient à l’Allemagne nazie. Courrier de L’Ouest. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025 à l’adresse https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saumur-49400/il-y-a-85-ans-les-cadets-de-saumur-resistaient-a-lallemagne-nazie-un-hommage-leur-a-ete-rendu-5a70102e-4d0d-11f0-a713-daeef56bef5e
- Georget, Y. (2024, 22 juin). La mémoire des Cadets de Saumur honorée 84 ans après les combats. Courrier de L’Ouest. [en ligne] Consulté 8 juillet 2025 à l’adresse https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saumur-49400/la-memoire-des-cadets-de-saumur-honoree-84-ans-apres-les-combats-7482aa72-2e27-11ef-b70d-a349109d0370
- Gourin, D. (2025, 30 mai). En juin 1940, le sacrifice des Cadets de Saumur face à l’armée allemande. Ouest-France.fr. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025 à l’adresse https://www.ouest-france.fr/culture/histoire/en-juin-1940-le-sacrifice-des-cadets-de-saumur-face-a-larmee-allemande-fe3bd8f0-3b06-11f0-88b0-943c4d024772
Articles Wikipédia :
- Contributeurs aux projets Wikimedia. (2025f, juin 20). Combats de Saumur. [en ligne] Consulté le 8 juillet 2025, à l’adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Combats_de_Saumur
Vidéos YouTube :
- [Websérie] Episode 6 – Les cadets de Saumur, sauver l’honneur, par la chaîne Ministère des Armées, mise en ligne le 20 juin 2020 [en ligne] [visionnée le 08/07/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/rQoavYS8DLc?list=PLyESjGDOZ3Y66ObkVEbb2ubOQnmc3nAwZ
- 1940 – La Résistance héroïque des cadets de Saumur, par la chaîne Mythes et Histoire, mise en ligne le 5 janvier 2024 [en ligne] [visionnée le 08/07/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/Enh-A6wRw1A?list=PLyESjGDOZ3Y66ObkVEbb2ubOQnmc3nAwZ
- La Bataille des Cadets de Saumur, par la chaîne Office de Tourisme – SAUMUR VAL DE LOIRE, mise en ligne le 16 juin 2020 [en ligne] [visionnée le 08/07/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/GictrhuktdM?list=PLyESjGDOZ3Y66ObkVEbb2ubOQnmc3nAwZ
- Les Cadets de Saumur – FRANCE GLORIEUSE #11, par la chaîne Résistance Historique mise en ligne le 27 mai 2021 [en ligne] [visionnée le 08/07/2025]. Disponible sur : https://youtu.be/wXJaG75Zrx0?list=PLyESjGDOZ3Y66ObkVEbb2ubOQnmc3nAwZ
Crédits images :
- Photographie anonyme d’une promotion d’élèves aspirants de réserve à Saumur. Disponible sur : https://www.info-militaire.fr/index.php/regiments/ecoles-militaires-de-saumur
- Portrait anonyme du colonel Michon avant 1940. Disponible sur : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Colonel_Michon_c1935.png
- Carte de la bataille de Saumur avec les positions des différentes troupes. ©Patrick de Gmeline
- Position défensive française au-dessus des ponts de Gennes. Dessin original de Geoffroy de Navacelle, cadet de Saumur. Disponible sur : https://theatrum-belli.com/19-juin-1940-les-eleves-aspirants-de-reserve-ear-de-cavalerie-et-du-train-de-saumur-se-battent-pour-lhonneur-et-stoppent-la-progression-de-40-000-soldats-allemands/
- Illustration anonyme des combats de Saumur. Auteur et source inconnus. Disponible sur : https://ufacbagnolet.over-blog.com/article-juin-1940-les-cadets-de-saumur-face-a-l-invasion-allemande-2-2-50746044.html
- Cadets de Saumur au pont de Montsoreau © Site internet ville de Saumur. Disponible sur : https://www.defense.gouv.fr/terre/actualites/ceremonie-dhommage-aux-cadets-saumur-juin-1940
- © Reproduction d'un dessin original avec l'autorisation de la famille de Geoffroy de Navacelle, Cadet de Saumur. Disponible sur le Focus sur la bataille des cadets de Saumur, écrit par la ville de Saumur
- Les Allemands rendent les honneurs militaires aux défenseurs de Saumur lors de leur passage à Loches. Dessin de Geoffroy de Navacelle. Disponible sur : https://les-epees.tumblr.com/post/646437108838514689/sous-le-commandement-du-colonel-michon
- Destructions de la ville de Saumur. Photographie anonyme. Disponible sur : https://pictures.abebooks.com/inventory/22386415855.jpg
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